Femmes épuisées

En ce début d’automne, je remarque de plus en plus de femmes submergées par l’épuisement, prises dans un quotidien qui semble tourner en boucle, sans répit.

Les pressions s’accumulent, les obligations se succèdent… jusqu’à ce que le corps et l’esprit disent stop. Souvent, on croit pouvoir surmonter cette fatigue seule, en prenant un peu de repos ou en essayant de mieux organiser son emploi du temps. Mais, face à un tel épuisement, ces solutions se révèlent souvent insuffisantes.

Avec les années d’expérience, j’ai vu à quel point le stress chronique et la surcharge émotionnelle impactent la santé, tant physique que mentale.

Sommeil perturbé, manque de concentration, douleurs inexpliquées… Ce sont des signaux d’alerte que le corps envoie, et ils nécessitent une attention toute particulière. L’épuisement ne se résout pas par des mesures superficielles, mais par une véritable prise en main, où chaque détail de la vie compte.

C’est en considérant l’histoire de vie de chaque femme, ses besoins uniques, que l’on peut apporter des solutions durables. Une approche globale, qui redonne à la fois énergie et clarté, tout en permettant d’avancer plus sereinement dans son quotidien. L’équilibre se trouve souvent là où on ne l’attend pas, avec des changements adaptés et sur-mesure.

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1,5 l d’eau : Une règle imprécise pour s’hydrater

Le conseil classique de boire 1,5 L d’eau par jour, bien qu’utile, est trop général et ne prend pas en compte des paramètres essentiels tels que le moment de consommation, les besoins physiologiques spécifiques, et les conditions environnementales. En effet, les besoins en eau varient en fonction de nombreux facteurs comme l’âge, le niveau d’activité physique, la température ambiante, et même l’alimentation.

Le matin: Après une nuit de jeûne hydrique d’environ 7 à 8 heures, le corps entre dans un état de légère déshydratation. Durant le sommeil, il continue de perdre de l’eau par la respiration et la transpiration. Boire un verre d’eau le matin (250 à 500 ml) non seulement réhydrate l’organisme, mais aussi stimule la fonction rénale et le métabolisme. Des études ont montré que cette pratique peut augmenter le taux métabolique basal de 24 à 30 % sur une période de 30 à 40 minutes, favorisant ainsi une meilleure régulation des processus physiologiques au réveil.

Au cours de la journée: Une hydratation régulière en petites quantités est importante pour maintenir l’homéostasie corporelle. Boire par gorgées permet une meilleure absorption de l’eau au niveau cellulaire, tandis qu’une consommation excessive en une seule fois peut entraîner une diurèse rapide, limitant ainsi la rétention d’eau par les cellules. Il est recommandé de viser une consommation d’environ 150 à 250 ml toutes les 2 à 3 heures, ajustée en fonction de l’activité physique et de l’environnement (par exemple, augmenter l’apport en eau lors d’une activité sportive intense ou par temps chaud). L’eau participe également à l’équilibre électrolytique, au transport des nutriments, et à l’élimination des déchets métaboliques via les reins.

Avant les repas: Boire un verre d’eau (environ 200 à 300 ml) 30 minutes avant les repas est une pratique courante pour favoriser la digestion en stimulant la sécrétion des sucs gastriques. Cette hydratation pré-prandiale a un rôle clé dans la préparation du système digestif à recevoir et métaboliser les aliments. Cependant, il est déconseillé de boire de grandes quantités d’eau pendant les repas, car cela pourrait diluer les enzymes digestives telles que l’amylase salivaire et la pepsine gastrique, retardant ainsi la dégradation des nutriments et l’absorption des macronutriments essentiels. Une hydratation excessive pendant les repas peut également ralentir la vidange gastrique.

Le soir: Il est important de maintenir une hydratation équilibrée en soirée, mais il convient de la moduler pour éviter des perturbations du sommeil dues à des réveils nocturnes fréquents. La consommation d’environ 150 à 200 ml d’eau dans les heures qui précèdent le coucher est suffisante pour éviter une déshydratation nocturne sans provoquer de surcharge liquidienne dans la vessie. Cette hydratation doit aussi être ajustée en fonction des facteurs comme la température corporelle et la prise de repas salés ou épicés, qui augmentent la soif.

L’apport hydrique recommandé ne doit pas être uniformisé pour tous. Les besoins varient selon le sexe, l’âge, l’activité physique, l’indice de masse corporelle (IMC), et même la composition alimentaire. Par exemple, une alimentation riche en fruits et légumes fournit une part non négligeable d’eau (jusqu’à 20-30 % des besoins hydriques quotidiens). Les femmes enceintes, allaitantes ou les personnes âgées, ainsi que les athlètes, doivent ajuster leur apport en eau pour compenser des pertes hydriques accrues.

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Le pouvoir des pensées sur la santé

Tout comme fumer, manquer de sommeil ou consommer de la malbouffe, laisser les pensées négatives envahir ton esprit est un choix que l’on fait parfois inconsciemment. Pourtant, ce choix peut avoir des répercussions importantes sur ta santé.

Lorsque tu laisses les pensées négatives se répéter, ton cerveau entre dans un état de stress chronique.

Ce processus active l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), responsable de la libération du cortisol, une hormone qui aide le corps à réagir au stress. Si cette activation est ponctuelle, elle peut être bénéfique, mais lorsqu’elle devient récurrente, comme dans le cas des pensées négatives répétitives, les niveaux de cortisol restent élevés sur le long terme. Cela peut avoir des effets négatifs : le cortisol affaiblit le système immunitaire, augmente la glycémie, favorise la prise de poids, surtout au niveau abdominal, et peut altérer la qualité du sommeil.

En plus de cela, un excès de cortisol est associé à une inflammation chronique de bas grade, qui est impliquée dans de nombreuses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et même certains cancers. La santé mentale est également affectée : des études ont montré que les pensées négatives récurrentes augmentent le risque de dépression et d’anxiété, en plus de perturber les processus cognitifs, tels que la mémoire et la concentration.

Mais il y a une bonne nouvelle : tout comme tu fais des choix pour améliorer ton alimentation ou ton activité physique, tu peux aussi choisir d’agir sur tes pensées.

Cela ne signifie pas nier les émotions difficiles, mais plutôt apprendre à les réguler. Des techniques comme la pleine conscience, la méditation, et les exercices de relaxation ont démontré leur efficacité pour réduire le stress et diminuer les niveaux de cortisol. La gratitude, par exemple, peut activer des circuits neuronaux dans le cerveau liés au bonheur et au bien-être, contribuant ainsi à une meilleure régulation du stress.

Les recherches montrent également que prendre du recul face à des situations stressantes ou adopter des perspectives plus optimistes peut avoir un impact positif sur la santé globale.

Tout comme une alimentation équilibrée ou une bonne hygiène de vie, entretenir un état d’esprit positif peut réduire les risques de maladies chroniques, améliorer la qualité de vie et soutenir ton bien-être mental.

Alors, en prenant soin de ton esprit et en choisissant des pensées agréables, tu investis dans ta santé, tout comme tu le fais déjà pour ton corps. C’est un équilibre essentiel qui te permet de rester en pleine forme, tant physiquement que mentalement.

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Mincir: secouez les codes !

Si vous voulez mincir ou améliorer votre santé, l’exploration et la persévérance jouent un rôle clé, surtout lorsqu’il s’agit d’adopter de meilleures habitudes. 

L’exploration, c’est cette curiosité qui vous amène à tester de nouvelles recettes, à découvrir des aliments que tu n’avais jamais envisagés ou à revoir des habitudes alimentaires sous un nouvel angle. Cela permet d’identifier ce qui fonctionne pour votre corps, de comprendre ce qui fait du bien et ce qui pourrait freiner vos objectifs. Explorer, c’est aussi accepter que chaque corps est différent et qu’il faut parfois expérimenter pour trouver ce qui marche le mieux pour soi.

Mais une fois que vous avez découvert un rythme ou un style alimentaire qui vous convient, c’est la persévérance qui va vous aider à transformer ces découvertes en habitudes durables. La persévérance, c’est ce qui vous pousse à continuer même quand les résultats ne sont pas immédiats. Elle vous encourage à maintenir une alimentation équilibrée, à ne pas baisser les bras lors des écarts ou des moments difficiles. Car mincir ou mieux manger n’est pas une course rapide, c’est un marathon où la constance est souvent plus importante que la perfection.

Alors, posez-vous la question suivante :

Est-ce le moment d’explorer davantage, de tester de nouveaux plats ou méthodes, ou plutôt de persévérer et d’affiner ce que vous avez déjà mis en place ?

Si vous avez l’impression de stagner, d’avoir besoin de nouveauté pour vous remotiver, peut-être qu’un peu d’exploration est nécessaire.

Mais si vous sentez que vous êtes sur la bonne voie, même si c’est difficile, persévérez. Les résultats finiront par suivre avec de la patience et de la régularité.

L’essentiel est d’écouter votre corps et ses besoins actuels, tout en trouvant un juste équilibre entre découverte et engagement envers ce que vous avez déjà accompli.

Si tout cela vous parle, n’hésitez pas à rejoindre mon groupe Facebook Les astuces de Delphine et ses copines

Septembre : le meilleur mois pour reprendre sa santé en main !

Le mois de septembre est souvent synonyme de renouveau. Après les plaisirs estivaux, c’est le moment parfait pour reprendre de bonnes habitudes, notamment en matière de nutrition et de gestion de poids. 

Contrairement aux résolutions de janvier, souvent impulsives et rapidement abandonnées, septembre offre une opportunité plus stable et réaliste pour se concentrer sur des objectifs de perte de poids et de santé à long terme. 

Pourquoi ? Parce que la rentrée est une période de reprise de routine, ce qui peut être un avantage majeur pour établir de nouvelles habitudes alimentaires et un mode de vie plus actif.

Avant de commencer un nouveau plan alimentaire ou programme d’exercice, il est essentiel de comprendre pourquoi vous voulez perdre du poids. 

Selon la psychologie de la motivation, une raison intrinsèque, c’est-à-dire une motivation qui vient de l’intérieur, comme le désir de se sentir plus énergique ou de vivre plus longtemps, est souvent plus efficace qu’une motivation extrinsèque, telle que la pression sociale ou le désir de plaire aux autres. 

Cette idée est soutenue par les travaux de Martin Seligman, un pionnier de la psychologie positive, qui a montré que la motivation intrinsèque est souvent plus durable car elle est liée à notre bien-être personnel et à notre sentiment d’accomplissement.

Plutôt que de succomber aux régimes restrictifs et à la mode, qui promettent des résultats rapides mais sont souvent insoutenables, septembre est l’occasion de se tourner vers une alimentation équilibrée et durable. 

Les recherches en neurosciences, telles que celles menées par BJ Fogg, spécialiste en psychologie comportementale, soulignent l’importance d’introduire de petits changements progressifs pour créer de nouvelles habitudes durables

Septembre, avec sa structure et son retour à la routine, est un moment idéal pour commencer à intégrer ces petits ajustements.

En complément d’une alimentation saine, l’activité physique joue un rôle important dans la gestion du poids. Les experts recommandent au moins 150 minutes d’activité modérée par semaine, comme la marche rapide, le vélo ou la natation.

Les recherches en psychologie, notamment celles de William Bridges sur la gestion des transitions, montrent que ces périodes de changement sont idéales pour instaurer de nouvelles routines, y compris des habitudes d’exercice. L’activité physique régulière n’aide pas seulement à brûler des calories, mais elle améliore aussi le métabolisme, augmente la masse musculaire et améliore l’humeur, ce qui est essentiel pour rester motivé.

La perte de poids est souvent aussi bien mentale que physique. La psychologie du comportement montre que le soutien social peut être un élément clé du succès dans la gestion du poids. 

Cela peut signifier rejoindre un groupe de soutien, travailler avec un nutritionniste ou un coach personnel, ou simplement partager votre parcours avec des amis ou des membres de la famille. 

Septembre est un excellent moment pour établir ces réseaux de soutien, que ce soit en rejoignant une nouvelle communauté ou en réengageant des relations existantes.

Je vous invite à rejoindre mon groupe privé: il va y avoir des nouveautés très prochainement 😊

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