L’ennemi principal de notre santé : le sucre

Je ne vous apprends rien en vous disant que le sucre est une substance qui peut engendrer une forme de dépendance.

Les industriels ont identifié notre plus grande faiblesse : le sucre raffiné.
Associé à de la graisse et/ou a du sel, ils arrivent à nous rendre dépendants en ciblant la partie de notre cerveau responsable de l’addiction…

C’est pour cette raison, qu’aujourd’hui, vous n’arrivez pas à résister à l’appel du sucre sous différentes formes.

Le cerveau, déréglé, est constamment en recherche de sucre, car il est synonyme de plaisir pour lui.

Ce qui va amplifier votre besoin (dopamine) à vous en procurer comme une « droguée » en manque.

Plus vous consommez du sucre, plus votre corps vous en réclame.

Et plus on en consomme, plus le risque de développer certaines maladies ou problèmes augmente.

⁃ résistance à l’insuline

⁃ Prise de poids

– Dépression

⁃ Manque de concentration

⁃ Maladie cardiovasculaires

⁃ Hypertension

⁃ Obésité

⁃ Les caries

⁃ Inflammation

⁃ Reflux gastrique

– Réduction de l’immunité

⁃ Troubles intestinaux (déséquilibre du microbiote)

⁃ Diabète de type 2

⁃ Troubles cardio-vasculaires

⁃ Vieillissement prématuré de la peau

⁃ Humeur variable

⁃ Troubles de la concentration, de la mémorisation

⁃ …


C’est pour cela que vous devez AGIR maintenant !

Ce 16 janvier 2023, débute une nouvelle formation coaching LDS Libre du sucre dont le but est d’apaiser la relation au sucre.

Le prix est de 190€ si un acompte est réglé avant fin 2022. Le prix sera ensuite de 280€ dès 2023.

Cliquez ici pour le contenu

Un coaching qui allie

– Formation quotidienne pour comprendre accessible à vie. (vidéo, podcast, documents, recettes)

3 rendez-vous zoom en direct (accessibles en replay)

Un coaching de groupe pour le soutien

Pour obtenir le programme hyper détaillé , n’hésitez pas à me contacter. Le nombre de place est limité.

👉🏻Par mail: blondel.delphine@gmail.com

👉🏻Par messenger : Delphine Blondel

👉🏻Par sms: 0496255645

LDS

Les régimes ne sont pas la réponse !

Perdre du poids durablement sans un soutien d’amour de soi me semble compliqué. En tout cas, cela me paraît impossible à long terme.

Je veux dire que vous pouvez, mais ce ne sera pas une solution durable.

Comment êtes-vous arrivée à votre poids actuel ?

Ce n’est pas uniquement en mangeant, c’est moins simple que cela n’est-ce pas ? (on répète aux gens que pour maigrir « il suffit » de manger moins et de faire du sport).

Vous avez atteint le poids auquel vous êtes maintenant en vous abandonnant, en vous laissant tomber, en vous négligeant…

Au lieu d’être avec vos sentiments, vous les avez mangés et engourdis.

Au lieu de prendre soin de vous, vous avez fait passer les besoins des autres avant les vôtres. 

Et cela ne s’est pas passé qu’une seule fois ! Vous avez multiplié ces comportements parce que vous ne pensiez rien pouvoir faire d’autre.

Vous pouvez choisir d’en finir ici aujourd’hui et de choisir différemment pour la suite de votre vie.

Ce dont vous avez PROFONDÉMENT envie, ce n’est pas une perte de poids, c’est un retour à vous.

Vous voulez vous sentir à nouveau chez vous dans votre propre corps… ou peut-être, pour la première fois. 

Il ne s’agit pas d’un simple calcul de calories ou de regarder uniquement ce qui entre dans votre bouche.

Quand vous allez arrêter de vous anesthésier, de nombreuses choses vont remonter à la surface.

–       les peurs.

–       les sentiments. 

–       cette envie de saboter.

–       Tout ce malaise. 

–       Tous les motifs toxiques que vous avez évités et auxquels vous ne faites pas face. 

–       Tous les rêves que vous avez mis en attente. 

– Toutes les parties de vous-même que vous avez reniées, rejetées et occultées

–       Toutes les croyances que vous avez prises qui ne servent plus votre vision pour votre vie.

– Toutes les limites qui sont dépassées sans contrôle.

La perte de poids est un retour à vous et pour vous. 

C’est inconfortable ? Absolument. 

Est-ce que tu es capable d’affronter ce qui doit être affronté pour que tu n’aies plus jamais à te soucier de ton poids pour le reste de ta vie et pour que ce soit LA DERNIÈRE FOIS ? Je le souhaite de tout cœur.

Je vous invite pour la dernière fois cette année, à faire ce chemin, ENSEMBLE à l’occasion de la formation « mangeuse apaisée ». Il reste quelques places pour 2022.

Tu peux venir dans mon groupe

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Ou envoie-moi un mail: blondel.delphine@gmail.com

Le roi des antioxydants

Encore trop peu connu des professionnels de la santé, le gluthation est considéré comme le plus puissant des antioxydants.

Le glutathion est un regroupement de 3 acides aminés : la glycine, la cystéine et l’acide glutamique.

Il est naturellement fabriqué par notre organisme mais sa production diminue avec l’âge et le stress oxydant.

Après 50 ans, il serait réduit d’environ 40% et de plus de 90% après 60 ans.

Sa principale action est de ralentir le vieillissement de nos cellules.

Un corrélation est établie entre l’apparition de divers problèmes de santé et un taux bas de gluthation‌. Notamment, le stress chronique, l’anxiété et la dépression‌.

Il intervient dans de nombreuses réactions métaboliques et biochimiques dont la synthèse et la réparation de l’ADN, l’élimination de toxines et de métaux lourds.

Il est également un immunostimulant puissant et à ce titre, on l’utilise pour lutter contre de nombreuses maladies.

Voici un petit résumé des principales actions du gluthation

Antioxydant : protège les cellules contre le stress oxydatif, contribue à lutter contre le vieillissement et ses différents troubles associés: (diabète, Athérosclérose et hypercholestérolémie, Cataracte, glaucome, maladies neuro-dégénératives, déclin cognitif,…)

Immunostimulant

Détoxifiant du foie.

Élimination des toxines et métaux lourds

Anti-inflammatoire pulmonaire et digestif: protège également de l’inflammation du système digestif. Notamment dans les cas de (gastrite, ulcères de l’estomac et de pancréatite,colite, rectocolite et maladie de Crohn‌)

Le dosage varie en fonction de l’effet recherché: la prévention ou lors d’un traitement d’une pathologie avérée (où il joue le rôle d’adjuvant)

En prévention: 300 mg au coucher est très efficace.

Discutez-en avec votre nutrithérapeute ou votre médecin.

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Se battre contre son poids…

Si vous êtes frustrée ou que vous vous détestez de ne pas être là où vous voulez être, alors c’est que vous vous y prenez mal !

…… Laissez-moi vous expliquer.

Pour envisager un changement et une croissance, nous avons besoin

1. d’une vision claire

2. d’un environnement adéquat

3. de dépasser les résistances du mental (qui sont plus fortes chez les personnes qui réfléchissent beaucoup)

Or, lorsque vous vous détestez ou que vous enviez d’autres personnes, vous vous nourrissez de haine, de frustration, de jalousie…de quoi empêcher l’atteinte de vos objectifs.

Après avoir exclu un problème métabolique ou hormonal, j’entends des femmes me dire: « je ne comprends pas pourquoi je stagne », « je fais pourtant tout ce qu’il faut ».

Vouloir comprendre à tout prix dans cet état d’esprit, envier autrui, se victimiser ou se battre est exactement ce qui vous maintient coincée.

« Des années que je me bats avec mon poids », « des années que je lutte… »

Énergiquement, vous attirez ce que vous vibrez.

Vos pensées créent vos émotions qui modifient la chimie de votre corps.

Tentez plutôt de trouver de la compassion pour vous-même (ahhhh mais c’est difficiiiiiile pour soi et tellement facile envers les autres) et où vous êtes en ce moment.

Trouvez de l’empathie pour vous-même et pour tout ce que vous êtes et avez été.

La compassion envers vous est le nutriment dont vous avez besoin pour progresser. Se détester vous maintient dans une boucle de rétroaction négative sans fin.

Prenez le temps d’examiner en quoi vous êtes encore trop dure et exigeante avec vous-même et voyez si vous pouvez y placer de la

compassion à la place.

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N’essaie pas !

Une des stratégies les plus courantes de notre saboteur intérieur qui semble si inoffensive et innocente: c’est cette petite phrase « Je vais essayer » !

On l’a tous prononcée un jour…

On le dit pour:

– Prendre un rendez-vous

– Dire quelque chose d’important

– Pour se mettre au sport

– Pour changer d’habitudes alimentaires

– Pour trouver l’amour

S’il te plaît : n’essaie pas. Essayer ne fonctionne pas !

Essayer est la stratégie de votre saboteur qui sous-entend:

« Je vais voir comment ça évolue » …

„Je vais voir comment l’autre personne va s’engager  » …

„ Je vais voir comment le traitement, cette thérapie, cette alimentation va marcher pour moi » …

Essayer est l’illusion que tu t’impliques et que tu agis. Mais c’est un leurre !

Par conséquent : tu ne vis pas, tu essaies juste de vivre.

Ce n’est pas agir, c’est partir à la dérive !

Tu ne t’impliques pas, tu laisses juste les autres, le destin, le hasard… décider pour toi.

Si quelque chose est important pour toi, alors implique-toi à 100% !

Promets-toi que tu feras tout ce que tu peux et que tu passeras tout le temps nécessaire pour

(Par exemple):

Manger plus sainement

T’investir dans une relation qui compte

Te libérer de tes peurs et tes blocages

Améliorer tes finances.

Ta vie n’a pas de prix.

La clarification vient de l’engagement et de l’action.

Ce n’est que lorsque tu es pleinement engagée que tu pourras voir si cela fonctionne.

Sinon, tu erres sans but en perdant ton temps, ton énergie, ton argent et ton estime de soi.

Il n’est jamaise trop tard pour s’améliorer. Quel que soit ton âge ou ton passé.

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Le meilleur des coupe-faim

Pourriez-vous me conseiller un « coupe-faim »?

Cela fait partie des questions que j’ai le plus entendues en consultation.

Peut-être avez-vous déjà souhaité également consommer cette pilule miracle qui couperait ce que vous pensez être de la faim?

Sachez que c’est précisément PARCE QUE VOUS NE RESSENTEZ plus la faim que cette envie arrive ! (Si si je vous assure !)

Je m’explique

Les deux grandes explications à cette impression d’avoir faim tout le temps sont:

1. Manger tout le temps, et des aliments faisant varier fortement la glycémie

2. Manger pour anesthésier des émotions trop inconfortables.

3. Un mélange des 2 premières explications (le plus souvent)

Ce dont vous avez besoin n’est dès lors PAS d’un coupe-faim mais d’un OUVRE-FAIM ! (Je n’ai pas dit apéritif)

C’est en mangeant que vous couperez votre faim ….oui je sais cela fait un peu lapalissade mais en réalité cela ne l’est pas (voir point 1)

Comment faire ? Voici 3 astuces qui vous aideront sans aucun doute.

– Boire régulièrement et suffisamment d’eau (le conseil peut sembler banal et pourtant l’appliquez-vous?)

⁃ En mangeant de vrais aliments, le moins transformés possibles en ayant la sensation de faim. (Au début, sans compter ni peser mais en mangeant lentement).

⁃ En respectant votre corps, votre tube digestif en lui offrant un temps de repos suffisant sans manger. (À vous de modifier progressivement ce délai si besoin).

C’est surtout en mangeant mieux que l’on peut re paramétrer les vraies sensations de faim qui sont des informations utiles et nécessaires à ne pas confondre avec la faim émotionnelle.

Ah ces émotions qui nous dérèglent tellement de choses !

Et pourtant, quand on apprend à les écouter, à les ressentir sans s’identifier à elles, on peut en faire nos meilleures alliées.

C’est le thème de ma prochaine formation et si vous voulez être tenue au courant: rejoignez ma liste d’émail VIP.

https://delphineblondel.podia.com/

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L’hangxiety un nouveau mot pour un phénomène ancien

Nous vivons une période très anxiogène et ce, depuis un long moment.

En consultation, de nombreuses personnes m’expliquent avoir besoin de leur consommation d’alcool pour gérer leur anxiété.

Le piège est là…c’est que la consommation d’alcool est souvent suivie d’un lendemain accompagné d’anxiété… et pour gérer l’anxiété, il est tentant de boire…

Un cercle vicieux.

Le néologisme « hangxiety » décrit l’anxiété qui suit une soirée (trop) arrosée.

Cela arrive aux consommateurs réguliers comme à ceux qui exagèrent ponctuellement.

Tout cela s’explique en partie par une chute de dopamine, qui est un neurotransmetteur qui motive et met en joie.

Parallèlement, le taux de cortisol augmente et s’accompagne d’une sensation de stress.

À cela s’associent également des pertes en minéraux et vitamines.

Quant aux interactions avec la prise de médicaments, elles potentialisent les effets délétères de l’alcool sur le corps.

On peut sortir de ce cercle vicieux. Il faut parfois se faire aider.

Manger des aliments digestes, Consommer beaucoup d’eau et sortir s’aérer fait partie des choses que vous pouvez faire les lendemains d’excès.

Sur le long terme, la nutrithérapie va soutenir la chimie cérébrale: hydratation, omega3, acides aminés précurseurs de neurotransmetteurs,…

L’ingrédient de départ reste le souhait de se sentir mieux et de trouver des alternatives à l’anxiété.

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