Fatigue, rides précoces, perte d’énergie… Et si vos cellules vieillissaient trop vite ?

Depuis près de 30 ans, j’accompagne les femmes dans leur santé, leur énergie et leur bien-être. Ce que j’observe souvent, c’est que beaucoup attribuent leur fatigue, leurs rides ou leur baisse de vitalité uniquement à l’âge. Pourtant, la science est claire : nos cellules ne vieillissent pas toutes au même rythme. Certaines habitudes du quotidien les abîment silencieusement et accélèrent leur vieillissement.

La bonne nouvelle, c’est que nous avons une marge de manœuvre énorme pour ralentir ce processus et garder des cellules pleines de vitalité.

Les grands ennemis de nos cellules

🔹 Le sucre

En excès, il provoque la glycation. Les molécules de sucre se fixent sur nos protéines, notamment le collagène, et les rigidifient. Résultat : peau moins élastique, rides plus visibles et organes qui fatiguent plus vite.

🔹 Les graisses trans

Très présentes dans les biscuits industriels, les plats préparés ou certaines margarines, elles favorisent l’oxydation et entretiennent une inflammation sournoise. Cette inflammation chronique use notre organisme et vieillit prématurément nos cellules.

🔹 Le stress chronique

Sous stress permanent, le corps libère trop de cortisol. À long terme, cela accélère le raccourcissement des télomères, ces petits “capuchons” protecteurs de notre ADN. Des télomères trop courts = des cellules qui se divisent moins bien = un vieillissement accéléré.

🔹 Le tabac

Véritable bombe à radicaux libres, il attaque l’ADN, les membranes cellulaires et le collagène. C’est l’une des raisons pour lesquelles la peau des fumeuses paraît plus ridée et plus terne… mais les effets touchent en réalité tout l’organisme.

🔹 Le manque de sommeil

La nuit, nos cellules réparent leur ADN et éliminent les déchets accumulés la journée. Sans sommeil suffisant, ce processus de réparation est limité : fatigue persistante, peau ternie, risques accrus de maladies métaboliques et neurologiques.

🔹 Le soleil (UV)

Les rayons UV détruisent collagène et élastine, endommagent l’ADN et favorisent l’apparition de rides, de taches pigmentaires et parfois de cancers cutanés.

Et ce n’est pas tout…

✨ D’autres accélérateurs existent :

• La pollution atmosphérique : augmente le stress oxydatif et pénètre profondément dans nos tissus.

• L’alcool : déshydrate, surcharge le foie et génère des radicaux libres.

• La sédentarité : moins de mouvement = moins d’oxygène et de nutriments aux cellules.

• Les carences en antioxydants : sans vitamines, minéraux et polyphénols, nos défenses naturelles s’effondrent.

Le vieillissement cellulaire n’est pas qu’une fatalité : il est largement influencé par nos choix de vie. Une alimentation riche en antioxydants, du mouvement régulier, un sommeil réparateur et une gestion du stress sont des clés puissantes pour ralentir l’usure cellulaire et garder vitalité et énergie longtemps.

C’est exactement ce que je partage dans mon groupe Juste ici , un espace bienveillant entre femmes où tu trouveras conseils nutritionnels, astuces de santé et éclairages scientifiques pour prendre soin de toi au quotidien. Si tu veux avancer entourée et motivée, rejoins-nous 💚.

Le piège des régimes

Tu as peut-être déjà vécu cette situation : après un énième régime, tu perds du poids, avec une certaine satisfaction au départ.

Mais rapidement, ton quotidien devient rythmé par la restriction. Chaque repas est calculé, surveillé, contrôlé… jusqu’à ce que la frustration prenne le dessus. Ton corps commence à résister, ton énergie diminue, et malgré tous tes efforts, tu finis par craquer.

Cette perte de contrôle déclenche un profond sentiment d’échec et de culpabilité. Alors, pour compenser, tu recommences un régime, persuadée que cette fois, tu seras plus stricte, plus disciplinée.

Et pourtant, le cycle recommence : restriction → frustration → perte d’énergie → craquage → culpabilité → nouveau régime.

Si ces étapes te semblent familières, ce n’est pas une question de volonté. Ce n’est pas toi qui es en échec, c’est le système qui est défaillant.

Un processus physiologique et psychologique implacable

La restriction alimentaire prolongée entraîne des modifications biologiques bien documentées. Lorsqu’on impose à l’organisme un déficit calorique strict, il active des mécanismes de survie :

1. Diminution du métabolisme basal : Ton corps apprend à économiser l’énergie, ce qui rend chaque restriction de moins en moins efficace.

2. Augmentation de la faim et des pensées obsessionnelles autour de la nourriture : Ton cerveau libère davantage de ghréline (hormone de la faim) et diminue la production de leptine (hormone de la satiété), augmentant ainsi ton envie de manger.

3. Modification de la dopamine et du circuit de la récompense : Plus tu te prives, plus ton cerveau recherche des aliments hautement énergétiques, ce qui explique pourquoi les “craquages” portent souvent sur des aliments sucrés ou gras.

À ces mécanismes biologiques s’ajoute un impact psychologique profond :

• L’obsession de la perte de poids finit par dominer tes pensées.

• La culpabilité et la honte s’installent dès que tu t’éloignes des règles imposées.

• Ton estime de toi fluctue en fonction du chiffre sur la balance.

• Tu te sens en décalage avec ton entourage, tiraillée entre tes efforts et la frustration sociale.

Avec le temps, cette boucle répétitive engendre une fatigue mentale et émotionnelle, amplifiant la sensation d’échec et rendant chaque nouvelle tentative encore plus éprouvante.

Pourquoi ces régimes échouent-ils sur le long terme ?

La science est formelle : 80 à 95 % des personnes qui suivent un régime restrictif reprennent leur poids initial, voire plus, dans les cinq ans. Ce phénomène est connu sous le nom de “régain pondéral compensatoire”. Ton corps n’est pas programmé pour perdre du poids de manière drastique et prolongée. Au contraire, il cherche à te protéger contre ce qu’il perçoit comme une menace : la privation.

Chaque reprise de poids est vécue comme un échec personnel, alors qu’il s’agit en réalité d’une réaction biologique normale. Pourtant, au lieu de remettre en question la méthode, on a tendance à se remettre en question soi-même : Pourquoi je n’y arrive pas ? Pourquoi les autres semblent réussir ?

C’est là que la spirale devient toxique : plus tu essaies de contrôler ton poids par la restriction, plus ton corps résiste, et plus tu entres dans un cycle de frustration et de compulsions.

Sortir de cette spirale : une approche durable et respectueuse du corps

Si tu te reconnais dans ces schémas, il est peut-être temps d’envisager une autre approche. Une approche qui ne repose pas sur le contrôle excessif, mais sur une réconciliation avec ton alimentation et ton corps.

Plutôt que d’entrer dans une logique de privation, l’enjeu est d’apprendre à :

✅ Écouter tes signaux de faim et de satiété, pour manger selon tes besoins physiologiques et non par peur ou automatisme.

✅ Comprendre les besoins de ton corps, au lieu de suivre des règles rigides dictées par l’extérieur.

✅ Développer une relation apaisée avec la nourriture, en sortant du cycle frustration-culpabilité.

✅ Travailler sur les causes profondes de tes comportements alimentaires (stress, émotions, croyances limitantes).

✅ Rétablir un équilibre hormonal et métabolique, en soutenant ton corps plutôt qu’en l’épuisant.

La perte de poids durable ne passe pas par une lutte contre ton corps, mais par une collaboration avec lui. Ce n’est pas un manque de discipline qui empêche la réussite, mais une approche trop punitive qui mène à l’épuisement.

Il est possible de sortir de cette boucle et de retrouver un rapport plus serein avec ton alimentation. Et si, au lieu de te battre contre ton corps, tu apprenais à l’écouter et à manger en suffisance (mais évidemment pas n’importe quoi)

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Psychonutrition : faire la paix avec notre assiette.

En psychonutrition, l’un des objectifs essentiels est d’explorer et d’apaiser la relation complexe que de nombreuses femmes entretiennent avec la nourriture. 

Combien de fois t’es-tu retrouvée à culpabiliser après un repas, te reprochant de ne pas avoir été « raisonnable » ou d’avoir manqué de contrôle ? 

Peut-être connais-tu cette sensation de te juger sévèrement pour avoir cédé à une envie ou pour ne pas avoir suivi le plan parfait que tu t’étais fixé. Cette voix intérieure, souvent critique, peut devenir un fardeau au quotidien.

Ces pensées, ces jugements, ne surgissent pas par hasard. Ils sont souvent le fruit d’années de conditionnement :

– des injonctions sociales,

– des croyances familiales (« finis ton assiette », « ne mange pas trop si tu veux être mince ») ou

– des expériences personnelles qui ont façonné ta vision de l’alimentation et de ton corps. 

Ces moments où tu te dis : « Pourquoi je n’arrive jamais à m’y tenir ? » ou « Tout est ma faute », sont en réalité des manifestations d’un dialogue intérieur influencé par des schémas inconscients et émotionnels profondément enracinés.

La psychonutrition propose de libérer ces poids et de transformer ta relation avec la nourriture. Imagine pouvoir sortir de ce cercle vicieux où chaque écart se transforme en culpabilité, où chaque envie est perçue comme une faiblesse. 

La culpabilité alimentaire, par exemple, est souvent une stratégie de l’ego : elle te pousse à te définir à travers tes choix alimentaires, comme si ta valeur personnelle dépendait de ce que tu mets ( ou ne mets pas) dans ton assiette. Peut-être as-tu déjà ressenti cette pression, cette petite voix qui dit : « Si je mange sainement, je vaux quelque chose. Si je craque, je perds toute crédibilité. »

Mais voici la réalité : ce n’est pas toi qui es en faute. Ces comportements sont souvent des réponses inconscientes à des besoins émotionnels non exprimés.

Manger pour te réconforter après une journée difficile, sauter un repas pour « compenser », ou te lancer dans un régime strict pour regagner un sentiment de contrôle : tout cela reflète une tentative de ton corps et de ton esprit pour naviguer dans une vie parfois trop exigeante.

La psychonutrition, c’est t’aider à comprendre ces mécanismes et à t’en libérer. Ce n’est pas un simple programme alimentaire ou une liste de règles à suivre. C’est une démarche qui t’accompagne pour identifier ce qui te pousse à agir ainsi, pour te reconnecter à tes besoins profonds (qu’ils soient physiologiques ou émotionnels) et pour te permettre d’écouter ton corps sans jugement.

Peut-être te reconnais-tu dans ces phrases :

« Je mange parfois sans faim, juste pour me calmer, mais après, je me sens encore plus mal. »

« Je m’interdis certains aliments, mais ils finissent par me manquer tellement que je craque. »

« Je suis fatiguée de cette bataille constante avec la nourriture. Pourquoi est-ce si compliqué ? »

Ces luttes, tu n’as pas à les vivre seule. En psychonutrition, nous travaillons ensemble pour transformer ta relation à la nourriture en une source d’équilibre et de sérénité. L’objectif n’est pas de viser la perfection, mais de te permettre de dire un jour : « Je mange avec plaisir, sans culpabilité, et je me sens bien dans mon corps et dans ma tête. »

Cette approche va au-delà des repas : elle t’invite à te reconnecter à toi-même, à tes émotions, et à tes besoins. Parce que derrière chaque choix alimentaire se cache une histoire, et chaque histoire mérite d’être comprise, écoutée, et apaisée.

La psychonutrition te donne les clés pour écrire un nouveau chapitre : celui d’une relation plus libre, plus douce, et plus authentique avec toi-même et ton alimentation.

Si cela t’intéresse, tu peux lire l’histoire de Rose

Histoire de Rose

Le collagène : attention aux arnaques !

Il ne se passe pas une semaine sans que vous me posiez des questions sur le collagène :

« Est-ce vraiment utile ? Comment choisir un produit de qualité ? Quelle dose prendre ? Avec quoi l’associer ? »

Avec tout ce qu’on entend sur le sujet, je comprends que vous puissiez vous sentir un peu perdues. Alors, pour répondre à toutes vos interrogations (et pour éviter les erreurs ou les achats inutiles), voici un mini guide pour vous informer sur cette fameuse protéine : ses origines, ses bienfaits, les dosages recommandés, les précautions à prendre et les associations qui boostent ses effets.

Qu’est-ce que le collagène et pourquoi est-il important ?

Le collagène est une protéine fibreuse composée de glycine, proline, hydroxyproline et arginine. Elle constitue un élément clé de la peau, des articulations et des tissus conjonctifs. Cependant, dès la vingtaine (hé oui, déjà !), notre production naturelle diminue, accélérant l’apparition des rides, des douleurs articulaires et la fragilité osseuse.

Les types de collagène les plus courants :

• Type I : Présent dans la peau, les os et les tendons, il améliore la fermeté et l’élasticité de la peau.

• Type II : Essentiel pour le cartilage et la santé articulaire.

• Type III : Complémentaire du type I, il est associé à la peau et aux vaisseaux sanguins.

Pourquoi la taille moléculaire est-elle si importante ?

La taille des peptides de collagène, exprimée en daltons (Da), détermine leur absorption :

• >10 000 Da : Trop grands pour une absorption efficace.

• 3 000 à 5 000 Da : Taille idéale pour une biodisponibilité optimale.

• < 3 000 Da : Utile pour des besoins spécifiques comme les troubles intestinaux.

Les compléments les plus efficaces contiennent des peptides de collagène hydrolysé pesant entre 2 000 et 5 000 Da.

Origines et sources de collagène :

1. Collagène marin

• Source : Peaux et écailles de poissons.

• Avantages : Très biodisponible, idéal pour la peau, les cheveux et les ongles.

2. Collagène bovin

• Source : Cartilages et peaux de bovins.

• Avantages : Parfait pour les articulations et les tissus conjonctifs.

3. Alternatives végétaliennes (contrairement à ce que j’ai déjà vu)

• Il n’existe pas de collagène végétalien, mais des nutriments comme la vitamine C, le zinc et le silicium stimulent sa production naturelle.

Dosages recommandés :

• Peau et anti-âge : 2,5 à 5 g par jour (jusqu’à 10 g ou plus sur avis médical).

• Articulations : 10 g par jour, particulièrement en cas d’arthrose.

• Sport et récupération : 10 à 15 g par jour avant ou après l’effort.

Durée d’utilisation :

Une cure de 8 à 12 semaines est nécessaire pour constater des résultats. Une prise régulière est recommandée pour maintenir les bienfaits.

Associations bénéfiques pour booster la production de collagène :

Pour maximiser les effets du collagène, il est possible de l’associer à d’autres substances :

• Vitamine C : Indispensable à la synthèse du collagène, elle aide à stabiliser ses fibres.

• Silicium : Soutient la formation des tissus conjonctifs et améliore la structure du collagène.

• Zinc et cuivre : Favorisent la régénération des tissus et stabilisent les fibres de collagène.

• Acide hyaluronique : Complémente le collagène pour hydrater et renforcer l’élasticité des tissus.

• Soufre (MSM) : Soutient la souplesse des articulations et des tissus conjonctifs.

• Oméga-3 : Protègent le collagène des effets inflammatoires.

• Antioxydants (polyphénols, vitamine E, bêta-carotène) : Luttent contre les radicaux libres qui dégradent le collagène.

Conseils d’achat et précautions :

• Achetez des produits de qualité, idéalement en pharmacie ou recommandés par des professionnels qualifiés.

• Évitez les recommandations de personnes non formées (désolée, Tata Gilberte et cousine Eulalie, mais on ne joue pas avec la santé !).

• Vérifiez la traçabilité, les certifications et la taille moléculaire des peptides.

Pourquoi le collagène ne convient pas à tout le monde ?

1. Problèmes rénaux ou hépatiques : Une surcharge en acides aminés peut aggraver les dysfonctionnements de ces organes.

2. Hypercalcémie : Certains collagènes contiennent du calcium, à surveiller en cas de troubles métaboliques.

3. Allergies : Attention aux protéines animales ou marines.

4. Interactions médicamenteuses : Les anticoagulants ou certains compléments peuvent interagir avec le collagène.

5. Problèmes digestifs : Des ballonnements ou nausées peuvent survenir chez les personnes sensibles.

L’importance d’une analyse sanguine préalable :

Avant de commencer une supplémentation, une analyse sanguine peut évaluer votre état général :

• Protéines totales et albumine : État des réserves protéiques.

• Créatinine et urée : Fonction rénale.

• Calcium et phosphore : Métabolisme osseux et minéral.

Conclusion :

Le collagène peut être un allié précieux pour la santé de la peau, des articulations et des tissus conjonctifs. Cependant, sa supplémentation doit être adaptée à vos besoins et guidée par un professionnel qualifié. Privilégiez des produits de qualité et n’oubliez pas que votre santé mérite une analyse personnalisée par un professionnel de santé !

L’inflammation chronique : un pont entre corps et esprit

L’inflammation, alliée ou ennemie ?

L’inflammation est une réponse naturelle de notre corps face à une blessure, une infection ou un stress. C’est un mécanisme essentiel pour activer la réparation et renforcer nos défenses.

Mais lorsqu’elle s’installe dans la durée, l’inflammation devient problématique. Elle cesse de protéger et commence à perturber nos systèmes, favorisant l’apparition de maladies chroniques comme le diabète, les troubles cardiovasculaires ou même certains déséquilibres émotionnels comme l’anxiété et la dépression.

Prenons Sophie, 42 ans. Elle jongle entre un travail stressant, des enfants en bas âge et un mari souvent absent. Elle souffre de migraines fréquentes et de douleurs articulaires, mais elle ne fait pas le lien avec l’inflammation chronique que son mode de vie alimente.

Nous sommes des êtres profondément sociaux. La qualité de nos relations a un impact direct sur notre équilibre physique et émotionnel. Vivre dans un environnement bienveillant, où l’on se sent entendu et soutenu, réduit considérablement le stress, apaise notre système nerveux et limite l’inflammation.

Pour Caroline, 38 ans, c’est la relation tendue avec sa mère qui joue un rôle insidieux dans ses insomnies et ses problèmes digestifs. Chaque conversation se termine par un conflit ou des non-dits, laissant une tension qui s’accumule et pèse sur son corps.

En revanche, les tensions et les déséquilibres dans nos liens (que ce soit au sein du couple, de la famille ou des amitiés) peuvent créer un terrain propice au stress chronique. Ce stress invisible épuise nos ressources, affaiblit notre système immunitaire et alimente des inflammations persistantes.

Et si on reprenait les choses en main ?

Pour enrayer ce cercle vicieux, il est essentiel d’agir sur plusieurs fronts :

Apprendre à réguler ses émotions

Améliorer la communication

Développer une conscience de soi

Apaiser son système nerveux :

Se reconnecter à son corps

Quand nos relations deviennent plus équilibrées, ce ne sont pas seulement nos émotions qui en bénéficient : nos corps aussi s’apaisent. Des études montrent que des interactions bienveillantes réduisent le cortisol, limitent l’inflammation, et améliorent notre résilience face aux épreuves.

L’harmonie dans le foyer, l’harmonie dans le corps

Finalement, prendre soin de ses relations, c’est prendre soin de soi.

Plus nous cultivons des liens sains et authentiques, plus nous renforçons notre santé globale. Alors, faisons de l’harmonie dans nos foyers une priorité. C’est souvent dans les petits ajustements que naissent les grandes transformations. Car c’est aussi là, au cœur de nos relations, que se joue notre bien-être intérieur.

Lien vers mon groupe 👈🏻

L’engagement fait la différence

Les gens qui viennent me voir portent souvent avec eux de grands espoirs, certains espérant même que j’aurai une solution magique pour éclaircir leurs soucis. Pourtant, ce qui se joue réellement en thérapie dépasse cette attente : elle requiert une symbiose entre le savoir-faire du thérapeute et l’engagement sincère du patient.

Cet engagement, c’est le courage de partager ses émotions les plus profondes, de considérer attentivement les conseils du thérapeute, et de mettre en pratique au quotidien les stratégies discutées lors des séances. Il s’agit d’une véritable collaboration, transformant chaque session en un partenariat dynamique où le patient devient co-auteur de son parcours de guérison. Ce rôle actif non seulement augmente son autonomie mais nourrit également sa motivation.

En prenant part activement à son processus thérapeutique, le patient ne suit pas simplement un chemin tout tracé; il façonne activement son avenir. Chaque petite victoire en thérapie est un pas vers une meilleure compréhension de soi et une capacité renforcée à naviguer les défis de la vie avec une résilience renouvelée.

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La thyroïde: le chef d’orchestre de notre corps.

Imaginez que votre corps est une grande symphonie, et la thyroïde en est le chef d’orchestre.

Tout comme un chef d’orchestre assure l’harmonie et le tempo parfaits entre les différents instruments, la thyroïde régule de nombreuses fonctions corporelles en produisant des hormones. Si le chef d’orchestre est déréglé, la musique (votre métabolisme) peut devenir trop lente ou trop rapide, entraînant divers symptômes.

Si l’orchestre commence à jouer de manière désordonnée, vous le remarquerez immédiatement. De même, votre corps envoie des signaux d’alarme lorsque la thyroïde ne fonctionne pas correctement. Ces signaux incluent une fatigue persistante, des variations de poids, et un état émotionnel changeant, semblable à une musique tantôt trop lente, tantôt trop rapide.

Se fier uniquement à la TSH pour évaluer la fonction thyroïdienne, c’est comme juger la performance de toute l’orchestre en écoutant seulement le violon principal. La TSH est un indicateur important, mais elle ne donne pas une vue d’ensemble. Pour comprendre réellement comment la symphonie se joue, il faut également écouter les autres instruments, c’est-à-dire mesurer les niveaux de T4 et T3.

La T4 doit être transformée en T3, la forme active de l’hormone thyroïdienne, pour que la musique corporelle joue correctement. C’est comparable à l’arrangement d’une pièce musicale, où l’original doit être ajusté pour s’adapter parfaitement à l’orchestre. Si cette transformation est inefficace, la performance ne sera pas à la hauteur, entraînant des symptômes d’hypothyroïdie.

L’un des problèmes réside dans le fait que les tests standards se concentrent souvent sur la mesure de la TSH. Une TSH dans les limites “normales” ne garantit pas que les hormones thyroïdiennes T3 et T4 circulent en quantité suffisante dans le corps, ni que ces hormones sont efficacement utilisées par les cellules.

Cela est d’autant plus préoccupant pour les femmes, car elles sont plus susceptibles de développer une hypothyroïdie, en partie à cause des fluctuations hormonales liées au cycle menstruel, à la grossesse et à la ménopause. Ces périodes de changements hormonaux intenses peuvent masquer ou simuler les symptômes de l’hypothyroïdie, rendant le diagnostic encore plus complexe.

Prendre soin de votre thyroïde avec une bonne alimentation et des suppléments est comme accorder les instruments avant un concert. Des nutriments comme l’iode, le sélénium, et le zinc sont essentiels pour que la thyroïde joue sa partition correctement. Sans ces éléments, même le meilleur chef d’orchestre aurait du mal à créer une harmonie.

Pour maintenir une thyroïde saine, il est recommandé d’avoir une alimentation équilibrée et variée, riche en légumes, protéines maigres, et grains entiers, tout en faisant attention aux aliments qui peuvent interférer avec la fonction thyroïdienne, surtout si vous avez déjà un trouble de la thyroïde. On limite les produits laitiers (surtout le lait) et on réduit le gluten.

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