L’engagement fait la différence

Les gens qui viennent me voir portent souvent avec eux de grands espoirs, certains espérant même que j’aurai une solution magique pour éclaircir leurs soucis. Pourtant, ce qui se joue réellement en thérapie dépasse cette attente : elle requiert une symbiose entre le savoir-faire du thérapeute et l’engagement sincère du patient.

Cet engagement, c’est le courage de partager ses émotions les plus profondes, de considérer attentivement les conseils du thérapeute, et de mettre en pratique au quotidien les stratégies discutées lors des séances. Il s’agit d’une véritable collaboration, transformant chaque session en un partenariat dynamique où le patient devient co-auteur de son parcours de guérison. Ce rôle actif non seulement augmente son autonomie mais nourrit également sa motivation.

En prenant part activement à son processus thérapeutique, le patient ne suit pas simplement un chemin tout tracé; il façonne activement son avenir. Chaque petite victoire en thérapie est un pas vers une meilleure compréhension de soi et une capacité renforcée à naviguer les défis de la vie avec une résilience renouvelée.

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Ces mécanismes de protection qui nous empêchent de progresser

Affirmer des choses telles que « Je suis comme ça » ou se coller des étiquettes telles que « Je suis une mangeuse de chocolat » « je suis une buveuse de café » « je ne tiens pas mes changements sur la longueur » peut souvent servir de mécanisme de protection.

Ces affirmations et ces étiquettes fonctionnent comme des boucliers psychologiques, protégeant l’individu des défis du changement et de l’auto-examen. En déclarant fermement ce que nous sommes, nous nous donnons la permission de ne pas remettre en question nos comportements ou nos attitudes, même lorsqu’ils pourraient être maladaptatifs ou limitants.

Ces étiquettes deviennent des aspects figés de notre identité. En les adoptant, nous pouvons éviter le risque et l’inconfort liés à l’exploration de nouvelles façons de penser ou de nouveaux comportements. Par exemple, une personne qui se dit « une mangeuse de chocolat » peut éviter de considérer des choix alimentaires plus variés ou sains, se privant ainsi de potentielles opportunités de croissance personnelle et de santé.

De plus, se coller des étiquettes peut également influencer la façon dont les autres nous perçoivent et interagissent avec nous, renforçant ainsi nos propres croyances sur nous-mêmes. Ce cycle de renforcement peut créer une réalité statique où le changement semble non seulement difficile, mais presque impossible.

Pour réellement évoluer, il est essentiel de se défaire de ces étiquettes et d’adopter une approche plus flexible et ouverte de l’identité personnelle.

Reconnaître la plasticité de notre propre nature peut ouvrir la porte à de nouvelles expériences, favoriser l’apprentissage et la croissance, et nous permettre de nous adapter plus facilement aux changements et aux défis de la vie.

En fin de compte, éviter de se limiter avec des étiquettes restrictives peut nous aider à nous épanouir davantage en nous ouvrant un champ illimité de possibilités de changements.

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Anxiété et fatigue, solitude : et si les causes étaient ailleurs ?

Dans notre société rapide et axée sur le progrès, nous avons souvent du mal à gérer nos émotions et à comprendre celles des autres.

Lorsqu’une personne vit un deuil ou une trahison, nous ne savons pas toujours comment réagir de manière appropriée. Cette difficulté à exprimer et à partager nos sentiments contribue à une certaine distance entre les individus.

Face à des événements difficiles, on attend des gens qu’ils reprennent rapidement leurs activités, sans vraiment leur laisser le temps de traiter leurs émotions. Cette approche peut renforcer le sentiment d’isolement et de déconnexion.

Cet état de fait a des conséquences notables : une augmentation de l’anxiété, de la fatigue et de la solitude. Nos interactions souvent superficielles ne remplacent pas le besoin d’un véritable soutien émotionnel.

Il est important de reconnaître la valeur des émotions dans notre vie et de travailler à améliorer notre capacité à communiquer sur nos sentiments.

En développant une meilleure compréhension et une plus grande ouverture envers les émotions des autres, nous pouvons contribuer à un environnement plus soutenant et moins isolant.

Cela pourrait nous aider à construire des relations plus profondes et à créer une société où le bien-être émotionnel est aussi important que le succès matériel.

J’accompagne les femmes à trouver d’autres mécanismes d’adaptation aux émotions envahissantes que l’utilisation de l’alimentation. Si cela vous parle, n’hésitez pas à rejoindre mon groupe pour être informée des prochains départs d’accompagnements.

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Finis ton assiette et reste mince : Le diktat imposé aux femmes

Dans notre société, les femmes sont constamment soumises à des injonctions paradoxales épuisantes, en particulier en ce qui concerne leur poids, leur alimentation et leur silhouette. On leur demande d’afficher une minceur presque irréelle, tout en célébrant la gourmandise et le plaisir de bien manger. Les publicités et les médias sociaux les bombardent de messages contradictoires : elles doivent savourer des repas riches et délicieux, mais en même temps, elles sont pressées de maintenir un corps parfaitement sculpté.

Le culte de la silhouette idéale les pousse vers des régimes restrictifs, mais simultanément, elles sont encouragées à s’accepter telles qu’elles sont. Cette dualité crée un conflit intérieur constant. La pression de paraître toujours en forme, tout en profitant de la vie, est une source de stress et d’anxiété. Chaque bouchée de nourriture devient un choix lourd de conséquences, et chaque variation de poids est scrutée et souvent jugée. Ce raz-le-bol émotionnel est un appel désespéré à la libération de ces attentes contradictoires, à la reconnaissance de la diversité corporelle et à l’acceptation de soi.

En tant que psycho nutritionniste, mon travail va au-delà de la simple gestion du poids ou de l’optimisation alimentaire. J’accompagne les femmes à se libérer de ces injonctions paradoxales qui pèsent lourdement sur elles. Ma mission est de les aider à trouver un équilibre sain et durable, où la nourriture n’est plus une source de stress mais un plaisir et un moyen de prendre soin de soi.

Je les guide depuis 28 ans vers une relation apaisée avec leur corps, en mettant l’accent sur l’écoute de leurs besoins réels plutôt que de se conformer à des idéaux inatteignables. Ensemble, nous travaillons à déconstruire les mythes autour de la « perfection » corporelle, en favorisant une approche bienveillante et personnalisée. Mon objectif est de les voir épanouies et libres de choisir leur propre voie vers le bien-être, loin des contraintes et des jugements extérieurs.

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L’énergie au féminin: la part négligée

Dans chaque femme réside une flamme sacrée, un éclat d’énergie et de lumière, qui habite un sanctuaire nécessitant affection et égards. La nourriture se mélange avec les éléments, et harmonise les énergies vives parcourant son être.

Se nourrir devient pour la femme un geste sacré, bien au-delà de l’apaisement d’une faim corporelle ; c’est une cérémonie qui enrichit son aura, ces ondulations énergétiques qui la drapent, échos de ses expériences, de ses joies et de ses chagrins.

Chaque bouchée est une invitation à retrouver l’harmonie, à se reconnecter avec sa véritable nature.

Le rapport qu’entretient la femme avec la nourriture est imprégné d’une complexité émotionnelle, nourri par les traditions culturelles et familiales. Des ombres peuvent parfois obscurcir son champ énergétique, des voiles de honte et de culpabilité qui influencent ses choix alimentaires et la perception de son corps.

Mais la guérison est à sa portée, lui offrant l’opportunité d’identifier ces barrières, de les accueillir avec douceur et de les transformer en éclats de lumière. En prenant conscience de ses corps subtils, elle fait des choix alimentaires qui résonnent avec elle.

L’acte de se nourrir devient une pratique méditative, un rituel empreint de conscience.

À l’écoute des murmures de son corps, elle interprète les signaux de son énergie et choisit des aliments qui vibrent en accord avec sa fréquence personnelle. Elle comprend que chaque aliment détient une force énergétique qui influence son équilibre intime.

En harmonisant sa relation avec la nourriture, la femme entreprend un parcours de métamorphose profonde. Elle renoue avec le savoir ancestral inscrit dans son corps, rend hommage à la terre qui la sustente et célèbre l’existence avec une gratitude ravivée. Son aura se pare de lumière, révélant l’éclat intérieur de son âme, et elle devient un vecteur de guérison, pour elle-même et pour les autres.

Dans cet équilibre retrouvé, la femme ne se contente pas de vivre : elle rayonne, elle inspire, et chaque pas vers son essence est un coup de tonnerre qui résonne avec la force des éléments, proclamant sa renaissance énergétique au monde.

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Magnésium et IPP: une histoire de désamour

Un sujet dont on parle trop peu et que je rencontre fréquemment dans ma pratique : l’importance de surveiller l’équilibre nutritionnel chez les patients qui prennent des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sur une longue période.

Ces médicaments, essentiels pour traiter divers troubles gastriques, peuvent avoir des conséquences non négligeables sur les niveaux de magnésium dans l’organisme, conduisant à une situation d’hypomagnésémie.

La baisse de la production d’acide gastrique induite par les IPP joue un rôle clé dans la réduction de l’absorption du magnésium, un minéral vital impliqué dans plus de 300 réactions enzymatiques dans le corps. Les études montrent une corrélation entre la prise à long terme d’IPP et une diminution de l’excrétion urinaire de magnésium, ce qui peut être attribué à une absorption intestinale amoindrie.

Le magnésium est moins soluble dans un environnement moins acide, et les IPP, en augmentant le pH gastrique, peuvent donc réduire la disponibilité du magnésium pour l’absorption. De plus, il a été observé des modifications dans le fonctionnement des protéines responsables du transport actif du magnésium.

Par conséquent, il devient impératif de prêter attention à l’alimentation des patients sous IPP. Les légumes à feuilles vertes, les noix, les graines et les céréales complètes sont d’excellentes sources de magnésium. Encourager l’inclusion de ces aliments dans le régime quotidien peut jouer un rôle crucial dans le maintien des niveaux adéquats de magnésium.

En complément, une supplémentation en magnésium pourrait s’avérer nécessaire pour contrer les effets des IPP.

Cela doit être fait en concertation avec un professionnel de santé, pour assurer une gestion optimale de l’apport en magnésium et prévenir les risques d’hypomagnésémie. Prendre ces mesures proactives est essentiel pour maintenir un équilibre nutritionnel et protéger la santé globale des patients sous traitement par IPP à long terme.

Petit rappel pratique : fractionnez vos prises de magnésium pour une meilleure absorption

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Comment j’ai accompagné Florence à retrouver son poids de forme et son énergie

Quand Florence* est venue me voir pour la première fois, elle était découragée par les régimes yo-yo qu’elle avait essayés et qui n’avaient apporté que de la frustration et des résultats temporaires. Elle cherchait une solution durable pour retrouver son poids de forme tout en boostant son énergie.

Dès notre première rencontre, qui a duré 2 heures, j’ai pris le temps de bien comprendre ses besoins, ses défis et ses attentes.

J’ai commencé par écouter attentivement les habitudes alimentaires et le mode de vie de Florence pour comprendre ses besoins spécifiques.

Sur base de la prise de sang et de l’anamnèse alimentaire, j’ai découvert que Florence était carencée en certains micronutriments. Nous avons donc ajusté son alimentation et introduit des compléments alimentaires adaptés pour pallier ces carences.

J’ai conçu un plan alimentaire adapté à son style de vie, ses préférences et ses besoins nutritionnels.

J’ai partagé à Florence l’importance de l’écoute de son corps. Au lieu de compter les calories, nous nous sommes concentrées sur les signaux de faim et de satiété de son corps.

Elle n’a rien dû peser, ni calculer.

Ensemble, nous avons créé des rituels quotidiens pour se nourrir d’amour et de sécurité, évitant ainsi le besoin de se remplir d’aliments en réponse à des émotions négatives.

Florence et moi avons également travaillé sur la réduction de son stress, car le stress peut avoir un impact sur le poids et l’énergie. Nous avons intégré des techniques de relaxation et de méditation dans son quotidien.

Au lieu de s’enfermer dans une routine d’exercices stricts, nous avons exploré différentes activités physiques qu’elle aime, comme la danse et la marche en plein air.

Suite à notre première séance, Florence est revenue pour trois suivis. En seulement quatre séances, elle a pu réaliser d’énormes progrès.

Au bout de ces rencontres, non seulement Florence a retrouvé son poids de forme, mais elle a également gagné en énergie et en confiance en elle. Sa transformation n’était pas seulement physique, mais aussi mentale. Et le plus beau dans tout cela ? Elle n’a ressenti aucune frustration et n’a suivi aucun régime restrictif.

Florence a accompli une incroyable transformation grâce à sa détermination exceptionnelle, au timing parfait, et à mes conseils basés sur mes 28 années d’expertise.

*nom d’emprunt

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