La psychonutrition : l’écoute de vos besoins pour une alimentation sur-mesure.

Rose, une femme souffrant d’hyperinsulinisme, est venue me voir récemment après plusieurs mois d’efforts infructueux pour améliorer sa santé. Inspirée par des conseils glanés dans un livre populaire et des tendances nutritionnelles, elle a supprimé son petit-déjeuner dans l’espoir de pratiquer un jeûne intermittent.

Elle a également intégré d’autres astuces, pensant bien faire. Pourtant, malgré son investissement, les résultats espérés n’étaient pas au rendez-vous, et le découragement s’est installé.

Ce que l’histoire de Rose nous apprend

Comme beaucoup, Rose a appliqué des recommandations génériques sans comprendre comment elles impactaient son métabolisme. Par exemple, supprimer un repas comme le petit-déjeuner peut sembler une solution simple, mais sans ajuster les autres apports alimentaires ni tenir compte de l’hyperinsulinisme, cela peut :

• Aggraver les déséquilibres hormonaux en créant des périodes prolongées de stress physiologique.

• Désynchroniser les rythmes biologiques, qui jouent un rôle clé dans la régulation de l’insuline.

Ces erreurs ne sont pas dues à un manque de volonté, mais à l’absence d’un cadre personnalisé et d’explications scientifiques adaptées.

Chaque femme est unique

Aucune méthode alimentaire ne convient à toutes. Chaque femme a un métabolisme, un rythme de vie, et des besoins spécifiques. L’hyperinsulinisme de Rose, par exemple, exige une gestion fine des apports glucidiques, des intervalles entre les repas et de la composition nutritionnelle de chaque plat. Une approche trop générale risque de passer à côté des ajustements essentiels, et c’est là que la frustration s’installe.

Lors de mes consultations, chaque échange est une occasion d’explorer votre histoire, vos besoins et vos objectifs. Plus qu’un simple partage de recommandations, c’est une démarche d’accompagnement où chaque choix est expliqué : comprendre comment certains aliments soutiennent votre métabolisme, pourquoi l’organisation des repas peut influencer votre bien-être, et comment adapter les approches en fonction de vos ressentis et des résultats observés.

C’est une démarche scientifique, mais aussi humaine, qui permet à chaque femme, comme Rose, de retrouver confiance et de mieux comprendre son corps.

Si, comme Rose, vous avez tenté de multiples approches sans succès, rappelez-vous que ce n’est pas un échec, mais un signe que votre corps a besoin d’une réponse sur mesure. La nutrition est un outil puissant, mais elle doit s’adapter à vous, et non l’inverse.

Parce que chaque femme mérite des réponses claires, personnalisées, et basées sur des données solides pour avancer en confiance vers une meilleure santé.

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Quand nos émotions dictent notre assiette

Il est fréquent d’entendre que les problèmes alimentaires viennent des aliments eux-mêmes. Pourtant, dans la majorité des cas, ce n’est pas une histoire de chocolat, de chips ou de pizza. Le véritable enjeu se trouve ailleurs : dans la relation complexe que nous entretenons avec nos émotions.

En réalité, nos choix alimentaires sont souvent influencés par deux mécanismes principaux :

1. Manger pour anesthésier ou combler un vide émotionnel.

2. Manger pour se connecter à une émotion ou recréer un souvenir positif.

1. Manger pour anesthésier ou combler un vide émotionnel

Avez-vous déjà remarqué que, dans les moments de stress, de tristesse ou de fatigue, votre main se tend instinctivement vers un paquet de biscuits ou une barre de chocolat ? Ce comportement n’est pas un hasard.

D’un point de vue scientifique, ce phénomène s’explique par le fonctionnement du système de récompense du cerveau. Lorsque nous consommons des aliments riches en sucre ou en graisses, le cerveau libère de la dopamine, une hormone du plaisir. Ce mécanisme procure un soulagement temporaire, presque comme un “anesthésiant” qui vient apaiser une émotion inconfortable.

Les aliments deviennent alors un moyen d’éviter ou de masquer une douleur émotionnelle, qu’elle soit liée à une journée stressante, un conflit, ou même un sentiment de vide intérieur. Plutôt que de ressentir pleinement ces émotions, nous les « mangeons », en espérant inconsciemment les faire disparaître.

Un exemple concret : Après une dispute avec un proche ou une surcharge de travail, il n’est pas rare de plonger dans un pot de glace ou de grignoter sans faim. Ce n’est pas l’aliment en lui-même qui est recherché, mais le réconfort et l’apaisement qu’il procure.

2. Manger pour se connecter à une émotion agréable 

D’un autre côté, nous mangeons parfois pour nous reconnecter à des souvenirs ou à des émotions agréables. Cela s’appelle la mémoire affective, et elle est profondément ancrée dans notre cerveau, notamment dans l’amygdale et l’hippocampe, deux zones impliquées dans la gestion des souvenirs et des émotions.

Par exemple, le goût d’un gâteau peut immédiatement rappeler des après-midis heureux passés chez une grand-mère. Ce n’est pas la faim qui pousse à manger, mais le désir de retrouver ce moment de confort et de chaleur. L’aliment devient un pont émotionnel, une façon de recréer une bulle de sécurité ou de joie.

Cette connexion peut aussi se manifester dans des contextes sociaux : partager un plat familial ou consommer une recette traditionnelle peut renforcer un sentiment d’appartenance, de lien ou de fête.

Un exemple fréquent : Lors d’une journée morose, un plat de lasagnes « comme à la maison » peut donner l’illusion de revenir à un moment de sérénité, loin des pressions du quotidien.

Les mécanismes biologiques derrière nos choix alimentaires

Les comportements alimentaires émotionnels reposent sur des interactions complexes entre les systèmes biologiques et psychologiques :

• La dopamine et le système de récompense : Les aliments riches activent ce système, procurant un plaisir rapide et intense.

• Le cortisol et le stress : En période de stress prolongé, le corps produit davantage de cortisol, ce qui augmente les envies de sucres et de graisses.

• La neuroplasticité et l’apprentissage : Les associations répétées entre certains aliments et des émotions renforcent ces comportements au fil du temps, créant des automatismes difficiles à briser.

Quand la nourriture devient un langage émotionnel

Ces mécanismes montrent que la nourriture, bien plus qu’un simple carburant pour le corps, joue un rôle central dans notre gestion des émotions. Ce n’est pas l’aliment en lui-même qui est problématique, mais la fonction qu’il remplit. Il devient une réponse inconsciente à des émotions non exprimées ou à des souvenirs auxquels nous cherchons à nous raccrocher.

Beaucoup de femmes se reconnaîtront dans ces comportements. Qui n’a jamais ouvert un placard après une journée difficile, ou savouré un dessert en pensant à un moment heureux du passé ? Pourtant, ces automatismes peuvent devenir pesants, surtout lorsqu’ils s’accompagnent de culpabilité ou d’un sentiment de perte de contrôle.

Dans ces moments, il peut être précieux d’explorer cette relation avec un regard extérieur. Un professionnel formé peut aider à comprendre les liens entre émotions et alimentation, et accompagner vers une relation plus apaisée et équilibrée avec la nourriture.

Manger est bien plus qu’un acte nutritionnel : c’est une conversation entre notre corps et nos émotions. Écouter cette conversation est une clé pour mieux se comprendre et, peut-être, pour se libérer de certains schémas.

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Batch cooking : pourquoi je choisis une autre voie

Le batch cooking, ou l’art de préparer ses repas pour toute une semaine en une seule session, séduit de nombreuses personnes par sa praticité. Et même si j’apprécie l’organisation et l’anticipation, j’ai du mal à envisager cette méthode, car je ne souhaite pas que cela se fasse au détriment du goût et de la qualité des repas.

En effet, consommer un plat préparé sept jours auparavant me semble difficile. Non seulement les saveurs et la texture risquent de s’altérer, mais la qualité nutritionnelle en pâtit également.

Certains nutriments essentiels sont particulièrement sensibles à l’oxydation et à la dégradation, même dans des conditions de réfrigération. Par exemple, la vitamine C, qui renforce notre système immunitaire, et les vitamines du groupe B, essentielles pour notre énergie et notre système nerveux, sont instables et commencent à se détériorer peu de temps après la cuisson. Cela signifie que, même si le plat est stocké au frais, les bienfaits nutritionnels se réduisent chaque jour qui passe.

Il est également prouvé que les acides gras polyinsaturés, présents dans les huiles végétales, les poissons gras et certaines noix, sont sensibles à l’oxydation et peuvent devenir rances avec le temps, même en réfrigération. Cela peut entraîner la formation de composés indésirables qui affectent le goût, l’odeur et la qualité nutritionnelle des repas. De plus, certains composés comme les antioxydants perdent aussi en efficacité avec le temps, réduisant leur capacité à protéger nos cellules contre les radicaux libres.

C’est pourquoi je privilégie une approche plus flexible en préparant les repas pour deux ou trois jours seulement. Cela me permet de préserver les saveurs, les textures, et la fraîcheur des aliments, tout en maintenant une organisation qui me simplifie le quotidien. Cette méthode me donne aussi la liberté de varier les menus en cours de semaine, en fonction des envies et des besoins.

En définitive, l’essentiel est de trouver un équilibre qui allie praticité, plaisir et nutrition. Pour moi, cette approche plus souple me permet de tirer le meilleur de chaque repas, sans sacrifier la qualité ni la fraîcheur, tout en respectant les besoins nutritionnels de notre corps.

Mais chacun doit bien sûr trouver la méthode qui lui convient le mieux, en fonction de ses priorités, de son style de vie et de ses besoins alimentaires.

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Entre désir et ras-le-bol : l’étrange dualité autour du poids

Ah, le poids ! Ce sujet inépuisable qui, bien souvent, occupe une place de choix dans nos pensées. On veut mincir, s’affiner, rentrer dans ce fameux jean du fond du placard… tout en suppliant qu’on nous fiche la paix avec nos kilos. C’est presque un sport national, non ? On oscille entre la quête du “corps parfait” et un ras-le-bol total des injonctions extérieures. 

Résultat : on se retrouve avec une surcharge mentale digne d’un sac de farine de 5 kilos. Et qu’est-ce qu’on fait quand la pression monte ? Spoiler : on prend du poids. Parce que oui, cette tension interne, ce conflit entre “je veux perdre du poids” et “laissez-moi tranquille avec ça” pèse lourd. Très lourd.

Sur le plan scientifique, cette situation est presque inévitable. La charge mentale et le stress liés à cette ambivalence déclenchent souvent une réponse biologique, notamment l’augmentation du cortisol. Et devinez quoi ? Le cortisol a une passion secrète pour le stockage des graisses, particulièrement autour de la taille. Donc, au lieu de mincir, on se retrouve piégées dans un cercle vicieux où le simple fait de penser au poids contribue à l’empêcher de s’échapper. Ironique, non ?

C’est pourquoi il est grand temps de changer notre façon de penser. Le poids ? Un débat inutile.

Ce n’est pas la question qui mérite d’être au centre de nos préoccupations. Ce qui compte, c’est la santé, la vraie.

Vous avez peut-être déjà entendu parler du syndrome TOFY (Thin Outside, Fat Inside). En d’autres termes, on peut très bien afficher une silhouette mince, tout en accumulant de la graisse viscérale bien cachée autour des organes internes, et ça, c’est bien plus dangereux que quelques rondeurs visibles. Ce syndrome nous rappelle que l’apparence n’est pas toujours synonyme de bonne santé.

Alors, arrêtons de nous faire du mal avec ce non-débat qu’est le poids. Le vrai sujet, c’est la santé globale, l’énergie, le bien-être. Une alimentation équilibrée, un mode de vie actif, et surtout, la paix mentale, c’est ça qui compte. Bref, on prend soin de soi, et on arrête de faire de la balance la juge suprême de notre bonheur. Après tout, qui a besoin de plus de stress quand on a déjà une tonne de choses à gérer au quotidien ?

Allez, on respire, on dépose ce fardeau mental, et on met la santé au centre de nos priorités. Parce qu’après tout, c’est la seule vraie victoire qui en vaille la peine ! …et on profite des contenus de ce groupe 😄

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Le pouvoir des pensées sur la santé

Tout comme fumer, manquer de sommeil ou consommer de la malbouffe, laisser les pensées négatives envahir ton esprit est un choix que l’on fait parfois inconsciemment. Pourtant, ce choix peut avoir des répercussions importantes sur ta santé.

Lorsque tu laisses les pensées négatives se répéter, ton cerveau entre dans un état de stress chronique.

Ce processus active l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA), responsable de la libération du cortisol, une hormone qui aide le corps à réagir au stress. Si cette activation est ponctuelle, elle peut être bénéfique, mais lorsqu’elle devient récurrente, comme dans le cas des pensées négatives répétitives, les niveaux de cortisol restent élevés sur le long terme. Cela peut avoir des effets négatifs : le cortisol affaiblit le système immunitaire, augmente la glycémie, favorise la prise de poids, surtout au niveau abdominal, et peut altérer la qualité du sommeil.

En plus de cela, un excès de cortisol est associé à une inflammation chronique de bas grade, qui est impliquée dans de nombreuses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires, le diabète de type 2 et même certains cancers. La santé mentale est également affectée : des études ont montré que les pensées négatives récurrentes augmentent le risque de dépression et d’anxiété, en plus de perturber les processus cognitifs, tels que la mémoire et la concentration.

Mais il y a une bonne nouvelle : tout comme tu fais des choix pour améliorer ton alimentation ou ton activité physique, tu peux aussi choisir d’agir sur tes pensées.

Cela ne signifie pas nier les émotions difficiles, mais plutôt apprendre à les réguler. Des techniques comme la pleine conscience, la méditation, et les exercices de relaxation ont démontré leur efficacité pour réduire le stress et diminuer les niveaux de cortisol. La gratitude, par exemple, peut activer des circuits neuronaux dans le cerveau liés au bonheur et au bien-être, contribuant ainsi à une meilleure régulation du stress.

Les recherches montrent également que prendre du recul face à des situations stressantes ou adopter des perspectives plus optimistes peut avoir un impact positif sur la santé globale.

Tout comme une alimentation équilibrée ou une bonne hygiène de vie, entretenir un état d’esprit positif peut réduire les risques de maladies chroniques, améliorer la qualité de vie et soutenir ton bien-être mental.

Alors, en prenant soin de ton esprit et en choisissant des pensées agréables, tu investis dans ta santé, tout comme tu le fais déjà pour ton corps. C’est un équilibre essentiel qui te permet de rester en pleine forme, tant physiquement que mentalement.

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La tyrannie des injonctions alimentaires

Dans notre société actuelle, l’alimentation est devenue un champ de bataille d’injonctions contradictoires : « Il faut manger keto », « Il faut consommer plus de graines », « Évitez les glucides le soir », « Ne mélangez pas les fruits avec les protéines ».

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Ces règles, souvent simplistes et décontextualisées, ne tiennent pas compte de la complexité des besoins individuels en matière de nutrition.

D’un point de vue scientifique, il est essentiel de reconnaître que chaque organisme possède un métabolisme unique influencé par une multitude de facteurs, tels que la génétique, l’âge, le niveau d’activité physique, et même le microbiote intestinal.

Des études montrent que le microbiote, cette flore intestinale propre à chaque individu, joue un rôle clé dans la manière dont nous digérons et métabolisons les aliments. Ce qui peut être bénéfique pour une personne pourrait être inefficace, voire nuisible, pour une autre.

Sur le plan psychologique, la rigidité des règles alimentaires peut engendrer une relation malsaine avec la nourriture, créant de l’anxiété et de la culpabilité autour des choix alimentaires. Les comportements alimentaires restrictifs, dictés par des règles extérieures plutôt que par des sensations internes de faim et de satiété, peuvent perturber notre connexion naturelle avec notre corps et mener à des troubles alimentaires.

Il est donc essentiel de prôner une approche individualisée qui repose sur l’écoute attentive des signaux internes du corps. Des indicateurs tels qu’un bon transit intestinal, un sommeil de qualité, et l’absence de douleurs ou d’inconfort digestif sont des signes que l’alimentation est bien adaptée à notre physiologie unique. 

Ces ressentis corporels sont des guides plus fiables que n’importe quelle règle alimentaire universelle.

Je vous invite à vous écouter davantage, à vous faire confiance, et à vous affranchir des diktats alimentaires. 

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Forte de près de 30 ans d’expérience dans le domaine de la psycho-nutrition, je suis convaincue que c’est en écoutant notre propre corps que nous pouvons véritablement trouver un équilibre alimentaire qui nous convient.

Si vous souhaitez que je vous accompagne…

Dans notre recherche de bien-être, il est naturel de solliciter l’aide d’un thérapeute, en particulier lorsqu’il s’agit de nutrition et de santé. Pourtant, il est essentiel de se rappeler que le chemin vers un changement durable ne passe pas simplement par l’application de méthodes prescrites sans réflexion ni compréhension. Chaque femme a le droit de comprendre les choix qu’elle fait pour son corps et sa santé, et de se sentir en mesure de prendre des décisions éclairées.

La science de la nutrition est complexe et en constante évolution. Chaque corps est unique, avec des besoins spécifiques, des réactions propres et un parcours distinct vers la santé. Un bon thérapeute ne devrait pas se contenter de transmettre des doctrines ou d’imposer des méthodes rigides. Au contraire, il devrait agir comme un guide, fournissant des explications claires et des connaissances basées sur des preuves, tout en respectant votre individualité et vos choix.

Pourquoi est-ce si fondamental ? Parce que pour qu’un changement soit durable, il doit être compris et intégré de manière personnelle. Lorsque vous comprenez pourquoi une recommandation particulière est faite, comment elle fonctionne et quel impact elle peut avoir sur votre corps, vous pouvez faire des choix qui vous ressemblent vraiment et qui respectent vos besoins et vos valeurs.

Il est également essentiel de reconnaître que chaque femme possède en elle une force immense, une capacité à se comprendre et à prendre soin de son bien-être. Cependant, il est parfois tentant de vouloir transférer ce pouvoir à un thérapeute, de croire qu’il ou elle détient toutes les réponses. Mais le véritable pouvoir de changement se trouve en vous. En reprenant ce pouvoir, en posant des questions, en cherchant à comprendre et en refusant de suivre aveuglément une méthode sans en saisir les fondements, vous pouvez véritablement transformer votre vie de manière significative et durable.

Sur le plan psychologique, il est prouvé que l’autonomie et la compréhension sont des facteurs clés de la motivation et du changement comportemental. Lorsque vous avez le sentiment de contrôler la situation, lorsque vous comprenez les raisons qui sous-tendent vos actions, vous êtes plus encline à maintenir ces comportements sur le long terme. En revanche, suivre aveuglément des directives sans les comprendre peut mener à la frustration, au découragement et, en fin de compte, à l’abandon des efforts.

Il ne s’agit pas de rejeter l’aide des thérapeutes, mais de veiller à ce que cette aide vous renforce plutôt que de vous priver de votre pouvoir personnel. Un bon thérapeute vous encouragera toujours à poser des questions, à explorer vos propres ressentis, et à participer activement à la création de votre propre chemin de bien-être.

Chères femmes, ayez confiance en votre capacité à comprendre et à diriger votre propre santé. Votre corps vous appartient, et personne d’autre ne le connaît mieux que vous. Utilisez les connaissances des experts comme des outils pour enrichir votre propre compréhension, et non comme des directives à suivre sans réflexion. Vous avez en vous la force de créer le changement que vous souhaitez, et ce pouvoir est à votre portée.

Avec tout mon amour 🩷

Delphine

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