L’anti-âge naturel: le muscle

✅Vous êtes en préménopause ? 

✅Vous traversez la ménopause ? 

✅Vous avez l’impression que votre corps ne répond plus de la même manière qu’avant ? 

✅Vous ressentez une baisse d’énergie, de la fatigue, ou vous remarquez que vos muscles se relâchent malgré vos efforts ? 

✅Vous avez du mal à contrôler votre poids, ou vos articulations semblent plus fragiles qu’auparavant ?

Si vous vous reconnaissez dans l’une de ces situations, sachez que vous n’êtes pas seule.

La ménopause est une étape naturelle de la vie, mais elle est souvent entourée de confusion, de désinformation, et malheureusement, d’une pénurie de connaissances même parmi les professionnels de santé. 

Beaucoup d’entre nous n’ont jamais reçu les bons conseils pour bien vivre cette transition. Pourtant, une approche naturelle et efficace existe pour contrer les effets du vieillissement : maintenir et développer le muscle.

La nutrition est un pilier essentiel mais non suffisant.

À partir de 30 ans, nous perdons environ 3 à 8 % de notre masse musculaire chaque décennie. Ce processus, appelé sarcopénie, s’accélère drastiquement à la ménopause, avec une perte pouvant atteindre jusqu’à 1 % par an après 50 ans. Il est donc inévitable que notre masse musculaire diminue avec l’âge, mais cette réalité ne doit pas être une fatalité. En comprenant mieux les mécanismes de cette perte musculaire, vous pouvez ralentir ce processus et préserver votre force, votre vitalité et votre santé globale.

Pourquoi le muscle est-il essentiel ?

Le muscle n’est pas seulement une question d’apparence physique. Il joue un rôle central dans la santé globale, surtout à la ménopause :

  • Préservation de la densité osseuse : Après la ménopause, la perte osseuse s’accélère, augmentant le risque d’ostéoporose. Des muscles forts aident à soutenir et à protéger vos os.
  • Gestion du poids : Chaque kilogramme de muscle brûle plus de calories au repos que le tissu adipeux. Plus vous avez de muscle, plus votre métabolisme de base est élevé, facilitant le contrôle du poids.
  • Énergie et vitalité : Des muscles bien entretenus augmentent votre endurance, réduisent la fatigue et améliorent la qualité de vie.
  • Protection contre les maladies chroniques : Les études montrent que la sarcopénie est associée à un risque accru de maladies métaboliques, telles que le diabète de type 2, et de maladies cardiovasculaires.

Un programme conçu pour vous par deux expertes dans leur domaine !

C’est pourquoi je suis en train de construire une nouvelle formation, et cette fois-ci, en co-création avec une experte médicale spécialisée dans ce domaine. Cette formation s’adressera à toutes les femmes dès la préménopause, et surtout à celles qui ne pratiquent pas le sport ou qui ne l’aiment pas particulièrement.

Nous comprenons que l’idée de faire du sport peut être décourageante, voire intimidante, surtout si ce n’est pas quelque chose que vous avez l’habitude de faire ou que vous appréciez. 

C’est pour cela que cette formation est spécialement conçue pour vous : elle vous montrera comment intégrer des gestes simples et des habitudes efficaces dans votre quotidien, sans pour autant vous transformer en athlète.

Cette formation, qui sera organisée dans les prochains mois (semaines), est née d’un constat : les femmes sont mal informées sur la ménopause et ses conséquences, et nous voulons changer cela. 

Notre objectif est de vous fournir les outils et les connaissances nécessaires pour vous sentir forte, confiante et prête à affronter cette nouvelle phase de votre vie, même si vous n’avez jamais aimé le sport.

Restez à l’écoute pour plus d’informations sur cette opportunité unique qui fera du muscle votre véritable garantie anti-âge.

On y travaille avec passion !

Toutes les informations seront données dans le groupe : https://www.facebook.com/groups/453745628296735/?ref=share_group_link

Flocons d’avoine: superaliment ou source de problèmes?

Il est indéniable que les flocons d’avoine jouissent d’une popularité croissante en tant que superaliment dans l’alimentation moderne. Cependant, il est important de rappeler que cette notoriété ne signifie pas qu’ils sont adaptés à tout le monde.

Alors pour qui ?

Les flocons d’avoine sont particulièrement bénéfiques pour les sportifs en raison de leur teneur élevée en glucides complexes, fournissant une source d’énergie durable. Ils contiennent également du bêta-glucane, une fibre soluble qui peut aider à réduire le cholestérol sanguin et à stabiliser la glycémie. Cependant, la majorité des personnes n’a pas nécessairement besoin d’une telle quantité de glucides complexes, surtout si elles ne mènent pas une vie active ou sportive.

L’avenine : Une protéine controversée

L’avenine est une lectine présente dans l’avoine. Les lectines sont des protéines qui se lient aux glucides et peuvent interagir avec les cellules de la paroi intestinale. Cette interaction peut provoquer une réponse inflammatoire chez certaines personnes, entraînant des symptômes digestifs tels que des ballonnements, des douleurs abdominales et des diarrhées. Ces effets sont particulièrement préoccupants pour les personnes souffrant de troubles gastro-intestinaux tels que le syndrome de l’intestin irritable (SII).

Les mécanismes exacts par lesquels l’avenine peut provoquer ces réactions ne sont pas entièrement compris, mais il est suggéré que cette lectine pourrait altérer la perméabilité intestinale, un phénomène souvent désigné comme « leaky gut » ou intestin perméable. Une perméabilité intestinale accrue peut permettre le passage de substances indésirables dans la circulation sanguine, ce qui peut déclencher des réponses immunitaires et inflammatoires. Bien que l’avoine soit souvent tolérée par les personnes sensibles au gluten, il est crucial de noter que l’avenine peut encore poser des problèmes similaires.

Autres inconvénients potentiels

1. Allergie : Bien que rare, certaines personnes peuvent être allergiques à l’avoine, avec des symptômes tels que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des troubles respiratoires et des douleurs abdominales.

2. « Contamination » croisée : L’avoine est naturellement sans gluten, mais elle est souvent cultivée, transportée et transformée à proximité de céréales contenant du gluten comme le blé, l’orge et le seigle. Cela peut entraîner une « contamination » croisée, ce qui est particulièrement problématique pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque ou sensibles au gluten.

3. Phytates : L’avoine contient des acides phytiques (phytates), qui peuvent se lier à certains minéraux comme le fer, le zinc et le calcium, et en réduire l’absorption. Bien que cela soit rarement un problème pour ceux qui consomment une alimentation variée, cela pourrait affecter les personnes ayant des besoins nutritionnels spécifiques ou des régimes alimentaires limités.

Les flocons d’avoine précuits: vigilance

Il est également important de signaler que la consommation de flocons d’avoine précuits, couramment trouvés dans les produits instantanés, peut être problématique pour les personnes ayant des troubles de la régulation de la glycémie, comme le diabète ou la résistance à l’insuline. Les flocons d’avoine précuits ont un indice glycémique plus élevé en raison de leur processus de précuisson, ce qui peut entraîner des augmentations rapides et importantes de la glycémie. Ces fluctuations peuvent être particulièrement préjudiciables pour les individus qui ont des difficultés à gérer leur glycémie, exacerbant ainsi les complications métaboliques.

Individualisation de l’alimentation : une nécessité

Il est essentiel de souligner que l’alimentation doit être personnalisée. Les flocons d’avoine, bien que bénéfiques pour certains, peuvent ne pas convenir à d’autres en raison de leurs effets sur la glycémie ou des réactions à l’avenine.

Chaque individu a des besoins nutritionnels spécifiques qui doivent être pris en compte pour une alimentation saine et équilibrée. Pour cette raison, il est recommandé de consulter un professionnel de la nutrition (un vrai, pas un/une pseudo coach auto proclamé qui a perdu du poids avec des produits « miracles ») pour déterminer les aliments les plus adaptés à votre situation personnelle.

En conclusion, il est essentiel de reconnaître que la nutrition, à l’instar de bien d’autres domaines, n’est pas régie par une vérité unique et universelle.

Chaque individu possède des besoins spécifiques et réagit différemment aux aliments, rendant illusoire l’idée d’un régime alimentaire parfait pour tous.

En somme, la nutrition est une science de nuances, où l’écoute de son propre corps et le recours à des conseils professionnels jouent un rôle fondamental pour atteindre un bien-être optimal.

Si la nutrition et le mindset t’intéressent, tu peux rejoindre mon groupe ici 👈🏻

4 raisons psychologiques pour lesquelles vous mangez en cachette

Il n’est pas rare pour des femmes de manger dans leur voiture ou seule à la maison lorsque les enfants sont couchés….

Voici 4 raisons qui peuvent l’expliquer

L’anxiété sociale liée à l’alimentation

Manger devant d’autres personnes peut provoquer de l’anxiété sociale, souvent exacerbée par la peur des jugements externes et des commentaires sur vos choix alimentaires. Cette situation est courante chez les individus ayant des antécédents de frénésie alimentaire en secret. L’anxiété sociale peut conduire à des comportements d’évitement, comme manger en cachette, pour réduire le stress perçu et protéger son image personnelle.

L’effet de la projection et de l’auto-jugement

Les personnes qui jugent sévèrement leurs propres comportements alimentaires projettent souvent ces jugements sur les autres, croyant à tort qu’elles sont observées et critiquées de la même manière. Ce phénomène psychologique est appelé projection. Pour réduire ce sentiment de jugement, elles préfèrent manger en secret, loin du regard des autres.

La théorie du plaisir anticipé en isolement

Certaines personnes pensent qu’elles peuvent mieux savourer leur nourriture lorsqu’elles sont seules, sans risque de remarques extérieures. Cette croyance peut être liée à la théorie du plaisir anticipé, qui suggère que les individus s’attendent à une plus grande satisfaction alimentaire en l’absence de distractions sociales. Cependant, lors de crises de frénésie alimentaire, le plaisir gustatif est souvent absent, car la consommation rapide et compulsive empêche la réelle appréciation des saveurs.

Les rôles sociaux et l’internalisation des étiquettes

Les femmes qui se sont assignées, ou qui ont accepté des étiquettes sociales telles que « la personne dynamique » ou « celle qui est toujours au régime », ressentent une pression pour maintenir cette image en public. Cette pression sociale interne les pousse à éviter de consommer des aliments perçus comme malsains en présence des autres, favorisant ainsi des comportements alimentaires en secret pour préserver leur rôle social et éviter la dissonance cognitive.

Surmonter la tendance à manger en secret nécessite de développer une relation plus saine et moins critique avec l’alimentation, d’apprendre à gérer l’anxiété sociale et de remettre en question les étiquettes sociales internalisées. Une meilleure conscience de ces dynamiques psychologiques peut aider à adopter des comportements alimentaires plus équilibrés et moins chargés émotionnellement.

Rejoignez-nous dans ce groupe :Les astuces de Delphine et ses copines

Les racines émotionnelles des troubles alimentaires

En tant que psychonutritionniste, j’ai malheureusement souvent l’occasion de rencontrer des femmes qui luttent avec des troubles alimentaires.

Il est essentiel de comprendre que derrière chaque comportement alimentaire désordonné se cache une histoire profondément personnelle et souvent douloureuse.

Ces comportements ne sont pas des caprices ou des choix délibérés, mais des mécanismes de survie face à des expériences traumatisantes.

La plupart des « troubles alimentaires » ne sont pas des troubles en soi. Ce sont des tentatives de reprendre le contrôle après une enfance marquée par la trahison, la violation ou la négligence émotionnelle.

Si vous avez été régulièrement violée, contrainte ou négligée, il est compréhensible que vous essayiez de reprendre le contrôle de votre corps en vous adonnant à des crises de boulimie ou en vous restreignant.

Si vous avez souvent été témoin de disputes intenses, de trahisons familiales et que vous n’avez pas reçu de soutien émotionnel durant ces moments, il est logique que la nourriture devienne un moyen de réguler vos émotions.

Les recherches montrent que les enfants qui subissent des abus sexuels ou des abus émotionnels sont 4 fois plus susceptibles de développer un trouble alimentaire.

Derrière les troubles alimentaires se cache souvent de la rage. C’est un désir de se déconnecter de notre corps parce que nous ressentons tant de honte et de dégoût.

Mais cette honte ne nous appartient pas. Elle provient de la manière dont quelqu’un nous a traités. De la façon dont nous avons été sévèrement punis physiquement. Ou du fait que nous n’avons jamais été touchés affectueusement.

Cette honte provient des avances non désirées, des limites qui ont été violées et des adultes qui nous ont montré que notre corps n’était pas en sécurité.

La suralimentation (ou le fait de se priver de nourriture) est une tentative d’enterrer cette honte, d’oublier des souvenirs douloureux ou de s’assurer que personne ne voudra plus jamais nous violer.

Le cycle de la restriction alimentaire nous offre une distraction nécessaire. Cela nous donne quelque chose sur quoi nous concentrer et obséder, pour ne pas avoir à affronter le chagrin et la douleur non résolus.

En comprenant ces dynamiques, nous pouvons commencer à guérir et à retrouver une relation plus saine avec la nourriture et avec nous-mêmes.

Sachez qu’il est possible de surmonter ces défis. Avec le bon soutien et les bonnes ressources, chacun peut trouver le chemin vers la guérison.

Il est important de se rappeler que vous n’êtes pas seul dans ce parcours. Il existe des professionnels, des groupes de soutien et des proches prêts à vous aider. Chaque petit pas vers la compréhension de vous-même et de vos émotions est un pas vers la liberté et le bien-être. Ne perdez jamais espoir, car la guérison est toujours possible.

Mon groupe Facebook féminin

L’engagement fait la différence

Les gens qui viennent me voir portent souvent avec eux de grands espoirs, certains espérant même que j’aurai une solution magique pour éclaircir leurs soucis. Pourtant, ce qui se joue réellement en thérapie dépasse cette attente : elle requiert une symbiose entre le savoir-faire du thérapeute et l’engagement sincère du patient.

Cet engagement, c’est le courage de partager ses émotions les plus profondes, de considérer attentivement les conseils du thérapeute, et de mettre en pratique au quotidien les stratégies discutées lors des séances. Il s’agit d’une véritable collaboration, transformant chaque session en un partenariat dynamique où le patient devient co-auteur de son parcours de guérison. Ce rôle actif non seulement augmente son autonomie mais nourrit également sa motivation.

En prenant part activement à son processus thérapeutique, le patient ne suit pas simplement un chemin tout tracé; il façonne activement son avenir. Chaque petite victoire en thérapie est un pas vers une meilleure compréhension de soi et une capacité renforcée à naviguer les défis de la vie avec une résilience renouvelée.

Lien de mon groupe privé

Anxiété et fatigue, solitude : et si les causes étaient ailleurs ?

Dans notre société rapide et axée sur le progrès, nous avons souvent du mal à gérer nos émotions et à comprendre celles des autres.

Lorsqu’une personne vit un deuil ou une trahison, nous ne savons pas toujours comment réagir de manière appropriée. Cette difficulté à exprimer et à partager nos sentiments contribue à une certaine distance entre les individus.

Face à des événements difficiles, on attend des gens qu’ils reprennent rapidement leurs activités, sans vraiment leur laisser le temps de traiter leurs émotions. Cette approche peut renforcer le sentiment d’isolement et de déconnexion.

Cet état de fait a des conséquences notables : une augmentation de l’anxiété, de la fatigue et de la solitude. Nos interactions souvent superficielles ne remplacent pas le besoin d’un véritable soutien émotionnel.

Il est important de reconnaître la valeur des émotions dans notre vie et de travailler à améliorer notre capacité à communiquer sur nos sentiments.

En développant une meilleure compréhension et une plus grande ouverture envers les émotions des autres, nous pouvons contribuer à un environnement plus soutenant et moins isolant.

Cela pourrait nous aider à construire des relations plus profondes et à créer une société où le bien-être émotionnel est aussi important que le succès matériel.

J’accompagne les femmes à trouver d’autres mécanismes d’adaptation aux émotions envahissantes que l’utilisation de l’alimentation. Si cela vous parle, n’hésitez pas à rejoindre mon groupe pour être informée des prochains départs d’accompagnements.

Mon groupe de femmes

Changer son alimentation : besoin de courage ou de motivation?

L’idée que nous avons besoin de courage plutôt que de motivation pour adopter de meilleures habitudes alimentaires peut sembler surprenante au premier abord.

Souvent, nous attendons de ressentir une poussée de motivation avant de modifier notre manière de manger ou d’adopter un nouveau mode de vie.

Cependant, cette attente peut nous conduire dans une impasse, car la motivation n’est pas toujours disponible au moment où nous en avons le plus besoin. En réalité, c’est le courage qui joue un rôle clé dans le démarrage de nos actions en matière de nutrition, et de manière intéressante, c’est souvent l’action elle-même qui engendre la motivation nécessaire pour continuer.

Le courage, à la différence de la motivation, n’est pas une force soudaine qui nous envahit avec une énergie irrésistible. C’est plutôt la détermination de faire face à l’incertitude, au doute, et parfois à la peur, pour agir malgré tout. Cela signifie d’essayer un nouvel aliment ou de changer une habitude alimentaire sans garantie de résultat immédiat, ou même de planifier un repas sain quand on ne se sent pas tout à fait prêt. Le courage, c’est d’accepter d’être vulnérable et de prendre des risques, conscient que l’échec est possible mais pas inévitable.

Une fois que nous avons franchi le pas, que nous avons dépassé notre inertie initiale grâce au courage, quelque chose de remarquable se produit. L’action elle-même commence à générer de la motivation. Chaque petit choix sain que nous faisons nous donne un sentiment d’accomplissement qui alimente notre désir de continuer. Nous découvrons que la motivation est souvent le résultat de nos actions plutôt que leur cause. En agissant, nous créons une dynamique qui entretient notre motivation, transformant ce qui pouvait sembler être une tâche ardue en une série de réussites gratifiantes.

Cela ne signifie pas que la motivation n’a pas sa place. Elle est précieuse et c’est bien de s’y connecter, mais elle est éphémère et peut être influencée par de nombreux facteurs extérieurs hors de notre contrôle. En revanche, le courage est une ressource interne sur laquelle nous pouvons nous appuyer de manière plus constante. Il ne dépend pas de nos humeurs ou de notre environnement, mais de notre décision de faire face aux défis, malgré les obstacles.

En définitive, adopter une approche axée sur le courage plutôt que sur la recherche incessante de motivation peut transformer notre manière d’aborder nos objectifs nutritionnels et nos choix alimentaires quotidiens. Cela nous incite à agir, à prendre des initiatives et à nous engager pleinement dans notre parcours vers une meilleure santé, avec la confiance que la motivation suivra. Le courage nous pousse à commencer, et la motivation nous aide à persévérer.

Au quotidien, je fais tout pour entretenir votre motivation depuis plus de 4 ans, je suis présente quotidiennement dans mon groupe Facebook avec cette intention

Accès au groupe