Entre désir et ras-le-bol : l’étrange dualité autour du poids

Ah, le poids ! Ce sujet inépuisable qui, bien souvent, occupe une place de choix dans nos pensées. On veut mincir, s’affiner, rentrer dans ce fameux jean du fond du placard… tout en suppliant qu’on nous fiche la paix avec nos kilos. C’est presque un sport national, non ? On oscille entre la quête du “corps parfait” et un ras-le-bol total des injonctions extérieures. 

Résultat : on se retrouve avec une surcharge mentale digne d’un sac de farine de 5 kilos. Et qu’est-ce qu’on fait quand la pression monte ? Spoiler : on prend du poids. Parce que oui, cette tension interne, ce conflit entre “je veux perdre du poids” et “laissez-moi tranquille avec ça” pèse lourd. Très lourd.

Sur le plan scientifique, cette situation est presque inévitable. La charge mentale et le stress liés à cette ambivalence déclenchent souvent une réponse biologique, notamment l’augmentation du cortisol. Et devinez quoi ? Le cortisol a une passion secrète pour le stockage des graisses, particulièrement autour de la taille. Donc, au lieu de mincir, on se retrouve piégées dans un cercle vicieux où le simple fait de penser au poids contribue à l’empêcher de s’échapper. Ironique, non ?

C’est pourquoi il est grand temps de changer notre façon de penser. Le poids ? Un débat inutile.

Ce n’est pas la question qui mérite d’être au centre de nos préoccupations. Ce qui compte, c’est la santé, la vraie.

Vous avez peut-être déjà entendu parler du syndrome TOFY (Thin Outside, Fat Inside). En d’autres termes, on peut très bien afficher une silhouette mince, tout en accumulant de la graisse viscérale bien cachée autour des organes internes, et ça, c’est bien plus dangereux que quelques rondeurs visibles. Ce syndrome nous rappelle que l’apparence n’est pas toujours synonyme de bonne santé.

Alors, arrêtons de nous faire du mal avec ce non-débat qu’est le poids. Le vrai sujet, c’est la santé globale, l’énergie, le bien-être. Une alimentation équilibrée, un mode de vie actif, et surtout, la paix mentale, c’est ça qui compte. Bref, on prend soin de soi, et on arrête de faire de la balance la juge suprême de notre bonheur. Après tout, qui a besoin de plus de stress quand on a déjà une tonne de choses à gérer au quotidien ?

Allez, on respire, on dépose ce fardeau mental, et on met la santé au centre de nos priorités. Parce qu’après tout, c’est la seule vraie victoire qui en vaille la peine ! …et on profite des contenus de ce groupe 😄

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1,5 l d’eau : Une règle imprécise pour s’hydrater

Le conseil classique de boire 1,5 L d’eau par jour, bien qu’utile, est trop général et ne prend pas en compte des paramètres essentiels tels que le moment de consommation, les besoins physiologiques spécifiques, et les conditions environnementales. En effet, les besoins en eau varient en fonction de nombreux facteurs comme l’âge, le niveau d’activité physique, la température ambiante, et même l’alimentation.

Le matin: Après une nuit de jeûne hydrique d’environ 7 à 8 heures, le corps entre dans un état de légère déshydratation. Durant le sommeil, il continue de perdre de l’eau par la respiration et la transpiration. Boire un verre d’eau le matin (250 à 500 ml) non seulement réhydrate l’organisme, mais aussi stimule la fonction rénale et le métabolisme. Des études ont montré que cette pratique peut augmenter le taux métabolique basal de 24 à 30 % sur une période de 30 à 40 minutes, favorisant ainsi une meilleure régulation des processus physiologiques au réveil.

Au cours de la journée: Une hydratation régulière en petites quantités est importante pour maintenir l’homéostasie corporelle. Boire par gorgées permet une meilleure absorption de l’eau au niveau cellulaire, tandis qu’une consommation excessive en une seule fois peut entraîner une diurèse rapide, limitant ainsi la rétention d’eau par les cellules. Il est recommandé de viser une consommation d’environ 150 à 250 ml toutes les 2 à 3 heures, ajustée en fonction de l’activité physique et de l’environnement (par exemple, augmenter l’apport en eau lors d’une activité sportive intense ou par temps chaud). L’eau participe également à l’équilibre électrolytique, au transport des nutriments, et à l’élimination des déchets métaboliques via les reins.

Avant les repas: Boire un verre d’eau (environ 200 à 300 ml) 30 minutes avant les repas est une pratique courante pour favoriser la digestion en stimulant la sécrétion des sucs gastriques. Cette hydratation pré-prandiale a un rôle clé dans la préparation du système digestif à recevoir et métaboliser les aliments. Cependant, il est déconseillé de boire de grandes quantités d’eau pendant les repas, car cela pourrait diluer les enzymes digestives telles que l’amylase salivaire et la pepsine gastrique, retardant ainsi la dégradation des nutriments et l’absorption des macronutriments essentiels. Une hydratation excessive pendant les repas peut également ralentir la vidange gastrique.

Le soir: Il est important de maintenir une hydratation équilibrée en soirée, mais il convient de la moduler pour éviter des perturbations du sommeil dues à des réveils nocturnes fréquents. La consommation d’environ 150 à 200 ml d’eau dans les heures qui précèdent le coucher est suffisante pour éviter une déshydratation nocturne sans provoquer de surcharge liquidienne dans la vessie. Cette hydratation doit aussi être ajustée en fonction des facteurs comme la température corporelle et la prise de repas salés ou épicés, qui augmentent la soif.

L’apport hydrique recommandé ne doit pas être uniformisé pour tous. Les besoins varient selon le sexe, l’âge, l’activité physique, l’indice de masse corporelle (IMC), et même la composition alimentaire. Par exemple, une alimentation riche en fruits et légumes fournit une part non négligeable d’eau (jusqu’à 20-30 % des besoins hydriques quotidiens). Les femmes enceintes, allaitantes ou les personnes âgées, ainsi que les athlètes, doivent ajuster leur apport en eau pour compenser des pertes hydriques accrues.

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La tyrannie des injonctions alimentaires

Dans notre société actuelle, l’alimentation est devenue un champ de bataille d’injonctions contradictoires : « Il faut manger keto », « Il faut consommer plus de graines », « Évitez les glucides le soir », « Ne mélangez pas les fruits avec les protéines ».

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Ces règles, souvent simplistes et décontextualisées, ne tiennent pas compte de la complexité des besoins individuels en matière de nutrition.

D’un point de vue scientifique, il est essentiel de reconnaître que chaque organisme possède un métabolisme unique influencé par une multitude de facteurs, tels que la génétique, l’âge, le niveau d’activité physique, et même le microbiote intestinal.

Des études montrent que le microbiote, cette flore intestinale propre à chaque individu, joue un rôle clé dans la manière dont nous digérons et métabolisons les aliments. Ce qui peut être bénéfique pour une personne pourrait être inefficace, voire nuisible, pour une autre.

Sur le plan psychologique, la rigidité des règles alimentaires peut engendrer une relation malsaine avec la nourriture, créant de l’anxiété et de la culpabilité autour des choix alimentaires. Les comportements alimentaires restrictifs, dictés par des règles extérieures plutôt que par des sensations internes de faim et de satiété, peuvent perturber notre connexion naturelle avec notre corps et mener à des troubles alimentaires.

Il est donc essentiel de prôner une approche individualisée qui repose sur l’écoute attentive des signaux internes du corps. Des indicateurs tels qu’un bon transit intestinal, un sommeil de qualité, et l’absence de douleurs ou d’inconfort digestif sont des signes que l’alimentation est bien adaptée à notre physiologie unique. 

Ces ressentis corporels sont des guides plus fiables que n’importe quelle règle alimentaire universelle.

Je vous invite à vous écouter davantage, à vous faire confiance, et à vous affranchir des diktats alimentaires. 

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Forte de près de 30 ans d’expérience dans le domaine de la psycho-nutrition, je suis convaincue que c’est en écoutant notre propre corps que nous pouvons véritablement trouver un équilibre alimentaire qui nous convient.

Flocons d’avoine: superaliment ou source de problèmes?

Il est indéniable que les flocons d’avoine jouissent d’une popularité croissante en tant que superaliment dans l’alimentation moderne. Cependant, il est important de rappeler que cette notoriété ne signifie pas qu’ils sont adaptés à tout le monde.

Alors pour qui ?

Les flocons d’avoine sont particulièrement bénéfiques pour les sportifs en raison de leur teneur élevée en glucides complexes, fournissant une source d’énergie durable. Ils contiennent également du bêta-glucane, une fibre soluble qui peut aider à réduire le cholestérol sanguin et à stabiliser la glycémie. Cependant, la majorité des personnes n’a pas nécessairement besoin d’une telle quantité de glucides complexes, surtout si elles ne mènent pas une vie active ou sportive.

L’avenine : Une protéine controversée

L’avenine est une lectine présente dans l’avoine. Les lectines sont des protéines qui se lient aux glucides et peuvent interagir avec les cellules de la paroi intestinale. Cette interaction peut provoquer une réponse inflammatoire chez certaines personnes, entraînant des symptômes digestifs tels que des ballonnements, des douleurs abdominales et des diarrhées. Ces effets sont particulièrement préoccupants pour les personnes souffrant de troubles gastro-intestinaux tels que le syndrome de l’intestin irritable (SII).

Les mécanismes exacts par lesquels l’avenine peut provoquer ces réactions ne sont pas entièrement compris, mais il est suggéré que cette lectine pourrait altérer la perméabilité intestinale, un phénomène souvent désigné comme « leaky gut » ou intestin perméable. Une perméabilité intestinale accrue peut permettre le passage de substances indésirables dans la circulation sanguine, ce qui peut déclencher des réponses immunitaires et inflammatoires. Bien que l’avoine soit souvent tolérée par les personnes sensibles au gluten, il est crucial de noter que l’avenine peut encore poser des problèmes similaires.

Autres inconvénients potentiels

1. Allergie : Bien que rare, certaines personnes peuvent être allergiques à l’avoine, avec des symptômes tels que des éruptions cutanées, des démangeaisons, des troubles respiratoires et des douleurs abdominales.

2. « Contamination » croisée : L’avoine est naturellement sans gluten, mais elle est souvent cultivée, transportée et transformée à proximité de céréales contenant du gluten comme le blé, l’orge et le seigle. Cela peut entraîner une « contamination » croisée, ce qui est particulièrement problématique pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque ou sensibles au gluten.

3. Phytates : L’avoine contient des acides phytiques (phytates), qui peuvent se lier à certains minéraux comme le fer, le zinc et le calcium, et en réduire l’absorption. Bien que cela soit rarement un problème pour ceux qui consomment une alimentation variée, cela pourrait affecter les personnes ayant des besoins nutritionnels spécifiques ou des régimes alimentaires limités.

Les flocons d’avoine précuits: vigilance

Il est également important de signaler que la consommation de flocons d’avoine précuits, couramment trouvés dans les produits instantanés, peut être problématique pour les personnes ayant des troubles de la régulation de la glycémie, comme le diabète ou la résistance à l’insuline. Les flocons d’avoine précuits ont un indice glycémique plus élevé en raison de leur processus de précuisson, ce qui peut entraîner des augmentations rapides et importantes de la glycémie. Ces fluctuations peuvent être particulièrement préjudiciables pour les individus qui ont des difficultés à gérer leur glycémie, exacerbant ainsi les complications métaboliques.

Individualisation de l’alimentation : une nécessité

Il est essentiel de souligner que l’alimentation doit être personnalisée. Les flocons d’avoine, bien que bénéfiques pour certains, peuvent ne pas convenir à d’autres en raison de leurs effets sur la glycémie ou des réactions à l’avenine.

Chaque individu a des besoins nutritionnels spécifiques qui doivent être pris en compte pour une alimentation saine et équilibrée. Pour cette raison, il est recommandé de consulter un professionnel de la nutrition (un vrai, pas un/une pseudo coach auto proclamé qui a perdu du poids avec des produits « miracles ») pour déterminer les aliments les plus adaptés à votre situation personnelle.

En conclusion, il est essentiel de reconnaître que la nutrition, à l’instar de bien d’autres domaines, n’est pas régie par une vérité unique et universelle.

Chaque individu possède des besoins spécifiques et réagit différemment aux aliments, rendant illusoire l’idée d’un régime alimentaire parfait pour tous.

En somme, la nutrition est une science de nuances, où l’écoute de son propre corps et le recours à des conseils professionnels jouent un rôle fondamental pour atteindre un bien-être optimal.

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4 raisons psychologiques pour lesquelles vous mangez en cachette

Il n’est pas rare pour des femmes de manger dans leur voiture ou seule à la maison lorsque les enfants sont couchés….

Voici 4 raisons qui peuvent l’expliquer

L’anxiété sociale liée à l’alimentation

Manger devant d’autres personnes peut provoquer de l’anxiété sociale, souvent exacerbée par la peur des jugements externes et des commentaires sur vos choix alimentaires. Cette situation est courante chez les individus ayant des antécédents de frénésie alimentaire en secret. L’anxiété sociale peut conduire à des comportements d’évitement, comme manger en cachette, pour réduire le stress perçu et protéger son image personnelle.

L’effet de la projection et de l’auto-jugement

Les personnes qui jugent sévèrement leurs propres comportements alimentaires projettent souvent ces jugements sur les autres, croyant à tort qu’elles sont observées et critiquées de la même manière. Ce phénomène psychologique est appelé projection. Pour réduire ce sentiment de jugement, elles préfèrent manger en secret, loin du regard des autres.

La théorie du plaisir anticipé en isolement

Certaines personnes pensent qu’elles peuvent mieux savourer leur nourriture lorsqu’elles sont seules, sans risque de remarques extérieures. Cette croyance peut être liée à la théorie du plaisir anticipé, qui suggère que les individus s’attendent à une plus grande satisfaction alimentaire en l’absence de distractions sociales. Cependant, lors de crises de frénésie alimentaire, le plaisir gustatif est souvent absent, car la consommation rapide et compulsive empêche la réelle appréciation des saveurs.

Les rôles sociaux et l’internalisation des étiquettes

Les femmes qui se sont assignées, ou qui ont accepté des étiquettes sociales telles que « la personne dynamique » ou « celle qui est toujours au régime », ressentent une pression pour maintenir cette image en public. Cette pression sociale interne les pousse à éviter de consommer des aliments perçus comme malsains en présence des autres, favorisant ainsi des comportements alimentaires en secret pour préserver leur rôle social et éviter la dissonance cognitive.

Surmonter la tendance à manger en secret nécessite de développer une relation plus saine et moins critique avec l’alimentation, d’apprendre à gérer l’anxiété sociale et de remettre en question les étiquettes sociales internalisées. Une meilleure conscience de ces dynamiques psychologiques peut aider à adopter des comportements alimentaires plus équilibrés et moins chargés émotionnellement.

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Briser le cycle des scripts toxiques de l’enfance

L’une des réalités les plus tristes de notre culture est la manière insidieuse dont les femmes héritent de scripts corporels dysfonctionnels et toxiques.

🌳Ces scripts, enracinés dès l’enfance, sont façonnés par les discours que nous entendons, amplifiés par les médias et la culture. Ils nous inculquent souvent l’idée que notre corps doit être corrigé ou que la minceur est la norme ultime.

Les parents (mère ou père), souvent sans en être conscients, répètent les mêmes discours entendus de leurs propres parents, perpétuant un cycle intergénérationnel de critique corporelle. Cela conduit à des relations malsaines avec nos corps dès le plus jeune âge. Par exemple, certaines peuvent commencer à se peser fréquemment, sauter des repas, ou se livrer à des épisodes de frénésie alimentaire suivis de honte et de culpabilité.

🦋Prenez conscience de la manière dont vous parlez de votre corps. 👁️ Observez vos comportements alimentaires : y a-t-il une notion de punition et de récompense ? Vous imposez-vous des restrictions sévères, puis vous culpabilisez-vous lorsque la faim reprend naturellement ses droits ?

🔁Pour briser ce cycle destructeur, il est essentiel de remplacer la punition par des renforcements positifs. Bougez votre corps de manière agréable : dansez librement, partez en randonnée, ou pratiquez un sport qui vous passionne.

🏃‍♀️ Chaque fois que vous vous engagez dans une activité physique, félicitez-vous. Après une promenade au parc ou une séance de natation, reconnaissez votre effort et la satisfaction que vous en tirez. 🍽️ Nourrissez votre corps avec des repas équilibrés, riches en graisses saines et en protéines, pour stabiliser votre glycémie et votre humeur.

En adoptant ces nouvelles habitudes, nous pouvons réécrire nos scripts corporels, cultivant une relation plus saine et bienveillante avec nos corps. Ces changements ne sont pas seulement des actes de soin personnel ; ils sont des gestes puissants de résistance contre les normes culturelles oppressives. En réapprenant à aimer et à respecter notre corps, nous posons les fondations pour les générations futures, rompant ainsi le cycle des scripts toxiques.


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Finis ton assiette et reste mince : Le diktat imposé aux femmes

Dans notre société, les femmes sont constamment soumises à des injonctions paradoxales épuisantes, en particulier en ce qui concerne leur poids, leur alimentation et leur silhouette. On leur demande d’afficher une minceur presque irréelle, tout en célébrant la gourmandise et le plaisir de bien manger. Les publicités et les médias sociaux les bombardent de messages contradictoires : elles doivent savourer des repas riches et délicieux, mais en même temps, elles sont pressées de maintenir un corps parfaitement sculpté.

Le culte de la silhouette idéale les pousse vers des régimes restrictifs, mais simultanément, elles sont encouragées à s’accepter telles qu’elles sont. Cette dualité crée un conflit intérieur constant. La pression de paraître toujours en forme, tout en profitant de la vie, est une source de stress et d’anxiété. Chaque bouchée de nourriture devient un choix lourd de conséquences, et chaque variation de poids est scrutée et souvent jugée. Ce raz-le-bol émotionnel est un appel désespéré à la libération de ces attentes contradictoires, à la reconnaissance de la diversité corporelle et à l’acceptation de soi.

En tant que psycho nutritionniste, mon travail va au-delà de la simple gestion du poids ou de l’optimisation alimentaire. J’accompagne les femmes à se libérer de ces injonctions paradoxales qui pèsent lourdement sur elles. Ma mission est de les aider à trouver un équilibre sain et durable, où la nourriture n’est plus une source de stress mais un plaisir et un moyen de prendre soin de soi.

Je les guide depuis 28 ans vers une relation apaisée avec leur corps, en mettant l’accent sur l’écoute de leurs besoins réels plutôt que de se conformer à des idéaux inatteignables. Ensemble, nous travaillons à déconstruire les mythes autour de la « perfection » corporelle, en favorisant une approche bienveillante et personnalisée. Mon objectif est de les voir épanouies et libres de choisir leur propre voie vers le bien-être, loin des contraintes et des jugements extérieurs.

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