Cinq signaux que ton corps t’envoie quand tu t’oublies

Dans la course effrénée de nos vies, il est facile de se mettre de côté, d’ignorer les besoins de son corps au profit des responsabilités, des autres ou simplement d’un quotidien trop chargé. Mais ton corps ne ment jamais. Il t’envoie des signaux, parfois subtils, parfois intenses, pour te rappeler qu’il est temps de t’arrêter, d’écouter et de prendre soin de toi. Voici cinq signes que tu as peut-être déjà remarqués sans toujours les comprendre.

1. Une fatigue écrasante malgré un sommeil “correct”

Tu te réveilles fatiguée, déjà vidée avant même que la journée commence. Tu te dis peut-être : “Mais pourtant, j’ai dormi 7 heures !”. Cette fatigue, c’est souvent ton corps qui n’arrive plus à récupérer parce qu’il est en mode survie, sous l’effet d’un stress prolongé. Lorsque ton corps produit trop de cortisol pendant trop longtemps, il finit par s’épuiser, et toi avec.

2. Des douleurs et tensions que tu n’arrives pas à expliquer 

Ces crispations dans les épaules, ce nœud constant dans la gorge, ou cette mâchoire que tu serres sans t’en rendre compte… Ça te parle ? Ce sont des tensions physiques liées à un trop-plein émotionnel. Ton système nerveux est en alerte permanente, comme si ton corps te disait : “Stop, ça suffit, lâche un peu tout ça !”. Mais tu continues, et les tensions s’accumulent.

3. Un ventre “en vrac” ou des troubles digestifs réguliers

Des ballonnements après presque chaque repas, des spasmes, des inconforts… Peut-être même que tu te dis que “c’est normal” ou que “ça doit être ce que tu as mangé”. Mais en réalité, ton ventre, ce “deuxième cerveau”, est hyper connecté à tes émotions et ton stress. Quand tu es en mode pilotage automatique ou que tu te fais passer en dernier, ton système digestif réagit aussitôt.

4. Un sommeil perturbé qui te laisse à bout

Tu tombes de fatigue, mais une fois dans ton lit, impossible de t’endormir. Ou alors tu te réveilles au milieu de la nuit avec mille pensées qui tournent. Parfois, tu te réveilles aussi bien avant l’alarme, avec cette impression d’être déjà fatiguée avant même de te lever. Ces troubles du sommeil, c’est ton mental qui refuse de s’éteindre parce qu’il est en surcharge.

5. Des émotions qui te débordent facilement

Tu pleures pour un rien, tu t’énerves pour des petites choses ou tu te sens complètement à fleur de peau. Ces montagnes russes émotionnelles ne sont pas là par hasard. Elles sont le résultat d’un déséquilibre dans tes neurotransmetteurs, comme la sérotonine, souvent perturbés par le stress et une surcharge mentale. Ton corps exprime ce que tu n’oses pas toujours dire ou même reconnaître.

Et maintenant, que faire ?

Ces signaux ne sont pas là pour te punir, mais pour t’alerter, te dire qu’il est temps de t’écouter. Bien sûr, cela demande du temps, de la patience et une vraie prise de conscience. Mais chaque petit pas compte.

Si tu te reconnais dans ces descriptions et que tu ressens le besoin de faire le point pour retrouver un équilibre, je suis à ta disposition pour t’apporter des pistes concrètes et adaptées à ton quotidien. Ce cheminement prend du temps, et les délais pour démarrer un accompagnement peuvent être un peu longs, mais chaque moment dédié à toi-même est une avancée précieuse.

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Et si le stress était notre superpouvoir ?

Le mot stress évoque souvent des images négatives : tensions, fatigue, ou même épuisement. Pourtant, le stress est avant tout une réponse naturelle et essentielle à notre survie. De son rôle primordial dans l’évolution humaine à ses implications dans notre fonctionnement quotidien, le stress, lorsqu’il est bien compris, peut devenir un précieux allié.

Le stress est une réaction biologique orchestrée par notre système nerveux autonome face à une situation perçue comme une menace ou un défi. Ce mécanisme, appelé réponse “fight or flight” (combattre ou fuir), est déclenché par la libération d’hormones comme l’adrénaline et le cortisol. Historiquement, ces réactions permettaient à nos ancêtres de survivre face à des prédateurs ou à des dangers immédiats.

Mais cette réponse n’est pas réservée aux situations extrêmes. Aujourd’hui, elle nous mobilise pour des défis modernes : un entretien d’embauche, un examen, ou même une performance sportive. Une dose modérée de stress aigu active les fonctions cognitives, améliore la concentration, et augmente l’énergie nécessaire pour surmonter un obstacle.

On parle d’eustress pour désigner le stress bénéfique. Contrairement au distress (stress négatif), l’eustress motive, inspire et renforce la résilience. Des études montrent que les personnes confrontées à des niveaux modérés de stress dans leur vie développent souvent une meilleure capacité d’adaptation face aux difficultés futures. Ce stress contrôlé stimule également la neuroplasticité, c’est-à-dire la capacité du cerveau à se remodeler, favorisant ainsi l’apprentissage et la croissance personnelle.

Par exemple, se préparer pour un événement important peut être source d’eustress : l’anticipation et l’activation du système de récompense dans le cerveau boostent la motivation. Après avoir surmonté le défi, la dopamine (l’hormone du plaisir) vient renforcer notre sentiment d’accomplissement.

Si le stress est bénéfique, il devient nocif lorsqu’il devient chronique. Un excès de cortisol peut perturber le sommeil, affaiblir le système immunitaire, et altérer les fonctions cognitives. C’est ici que réside le paradoxe : le stress est nécessaire pour évoluer, mais il doit être ponctuel et suivi de phases de récupération.

La psychologie du stress met l’accent sur la perception des situations. Ce qui compte, ce n’est pas tant la situation stressante elle-même, mais la manière dont nous l’interprétons. Une personne qui perçoit le stress comme une opportunité de croissance active des circuits neuronaux différents de ceux d’une personne qui le perçoit comme une menace insurmontable.

Le stress et la nutrition entretiennent une relation réciproque et complexe. Lorsqu’une personne est soumise à un stress, son organisme mobilise davantage de ressources énergétiques, ce qui peut influencer directement ses besoins nutritionnels.

1. Cortisol et glycémie : Lors d’un épisode de stress, le cortisol stimule la libération de glucose dans le sang pour fournir de l’énergie immédiate. Cependant, un stress chronique peut entraîner une perturbation de la régulation glycémique, augmentant le risque de fringales sucrées ou d’hypoglycémies réactionnelles. Une alimentation équilibrée, riche en fibres et en protéines, aide à stabiliser ces variations.

2. Micronutriments et système nerveux : Le stress chronique épuise certains nutriments essentiels comme le magnésium, les vitamines B et le zinc. Ces éléments jouent un rôle clé dans la régulation du système nerveux et dans la production de neurotransmetteurs comme la sérotonine. Une carence peut aggraver les symptômes de stress, créant un cercle vicieux.

3. Le rôle des oméga-3 : Les acides gras oméga-3 ont des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent atténuer les effets négatifs du stress sur le cerveau. Ils favorisent également la résilience en soutenant la plasticité neuronale et la régulation de l’humeur.

4. Le microbiote et l’axe intestin-cerveau : Un microbiote intestinale déséquilibrée peut amplifier les réponses au stress via l’axe intestin-cerveau grâce au nerf vague (que l’on peut vraiment améliorer en y travaillant au quotidien).

Le stress est donc un indicateur précieux de ce qui compte pour nous. Il signale nos aspirations, nos valeurs, et parfois même nos besoins non satisfaits. Lorsqu’il est accueilli avec bienveillance, accompagné d’une alimentation adaptée et géré avec des outils appropriés, il devient un moteur de transformation personnelle. Plutôt que de le fuir, apprenons à l’écouter et à en faire un allié dans notre quête d’épanouissement et de réussite.

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Magnésium et IPP: une histoire de désamour

Un sujet dont on parle trop peu et que je rencontre fréquemment dans ma pratique : l’importance de surveiller l’équilibre nutritionnel chez les patients qui prennent des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sur une longue période.

Ces médicaments, essentiels pour traiter divers troubles gastriques, peuvent avoir des conséquences non négligeables sur les niveaux de magnésium dans l’organisme, conduisant à une situation d’hypomagnésémie.

La baisse de la production d’acide gastrique induite par les IPP joue un rôle clé dans la réduction de l’absorption du magnésium, un minéral vital impliqué dans plus de 300 réactions enzymatiques dans le corps. Les études montrent une corrélation entre la prise à long terme d’IPP et une diminution de l’excrétion urinaire de magnésium, ce qui peut être attribué à une absorption intestinale amoindrie.

Le magnésium est moins soluble dans un environnement moins acide, et les IPP, en augmentant le pH gastrique, peuvent donc réduire la disponibilité du magnésium pour l’absorption. De plus, il a été observé des modifications dans le fonctionnement des protéines responsables du transport actif du magnésium.

Par conséquent, il devient impératif de prêter attention à l’alimentation des patients sous IPP. Les légumes à feuilles vertes, les noix, les graines et les céréales complètes sont d’excellentes sources de magnésium. Encourager l’inclusion de ces aliments dans le régime quotidien peut jouer un rôle crucial dans le maintien des niveaux adéquats de magnésium.

En complément, une supplémentation en magnésium pourrait s’avérer nécessaire pour contrer les effets des IPP.

Cela doit être fait en concertation avec un professionnel de santé, pour assurer une gestion optimale de l’apport en magnésium et prévenir les risques d’hypomagnésémie. Prendre ces mesures proactives est essentiel pour maintenir un équilibre nutritionnel et protéger la santé globale des patients sous traitement par IPP à long terme.

Petit rappel pratique : fractionnez vos prises de magnésium pour une meilleure absorption

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Grossophobie: Le poids injuste des préjugés.

Imaginez Clara, une femme brillante et passionnée. Chaque matin, elle choisit de porter des vêtements larges, espérant se fondre dans la foule, évitant les regards. Pourtant, derrière ses yeux tristes, elle détient un doctorat, parle trois langues et a voyagé à travers le monde. Mais la société ne voit que son poids, la réduisant à un stéréotype. Chaque commentaire, chaque regard en coin, chaque rire étouffe un peu plus son éclat.

Dans les tréfonds de notre société, une blessure silencieuse saigne : la grossophobie. Cette discrimination envers les personnes en surpoids ou obèses étreint les âmes, étouffe les rires, et obscurcit les espoirs. Pourquoi? Car dans le regard de certains, un excès de poids équivaut à un déficit de valeur humaine. Les murmures, les jugements sournois peuvent fendre un cœur aussi sûrement qu’une épée.

L’idée toxique que le surpoids est synonyme de paresse ou d’indiscipline est une épine cruellement enfoncée dans le cœur de nombreux individus. Mais chaque personne est un univers, riche de rêves, d’expériences, et de luttes intérieures. Réduire quelqu’un à son apparence est une injustice qui brise des vies.

Mais dans cette nuit sombre brille une lueur d’espoir : la curiosité et l’éducation. Il est temps de plonger profondément dans les histoires des autres, de ressentir leurs douleurs, leurs espoirs et leurs rêves. L’éducation est notre bouclier contre l’ignorance et la curiosité est la clé qui ouvre les portes de la compassion.

Reconnaissons la souffrance que cause la grossophobie. Engageons-nous à écouter, apprendre et agir. Car dans chaque cœur blessé par le poids des préjugés, il y a un esprit vibrant, une étincelle qui mérite d’être célébrée et aimée.

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Le secret des personnes qui ne peuvent s’empêcher de mettre leur grain de sel partout !

« N’écoutez les conseils de personnes, sinon du vent qui passe et nous raconte l’histoire du monde » disait Claude Debussy

Faut-il être aussi radicale ?

Les personnes qui nous entourent ont tendance à projeter leur propre expérience, leur cadre de référence et leur passé sur les situations présentes.

Il y a les personnes « qui savent » mieux que nous avant même de nous avoir écouté, il y a celles qui se sentent « obligées » de conseiller, il y a celles qui ont tout vécu….

Bref, on a toutes été cette personne a un moment où l’autre non ?

Nos pensées, émotions et croyances passées influencent la façon dont nous percevons et interprétons le monde qui nous entoure.

Il est essentiel de comprendre que malgré cette tendance naturelle, cela ne signifie pas que nous devons ignorer les conseils des autres !

Cela élargit notre perspective et nous permet de voir les choses sous un nouvel angle. Même si nous avons une réaction émotionnelle initiale en entendant ces conseils, nous pouvons toujours en tirer des enseignements précieux.

Cependant, il est également important de

1. garder une certaine distance émotionnelle et de réflexion vis-à-vis des conseils reçus.

2. Nous devons observer la personne qui nous donne ces conseils,

3. réfléchir à leur pertinence par rapport à notre propre situation,

4. et faire preuve de discernement pour déterminer ce qui résonne vraiment avec nous.

5. Il est essentiel d’écouter notre intuition et de choisir ce qui semble juste et approprié pour nous, tout en laissant de côté ce qui ne correspond pas à notre réalité ou à nos aspirations.

Voici un secret 🤫

Lorsque nous sommes attentives à nos réactions et à notre vécu intérieur, nous réalisons souvent que les autres, lorsqu’ils nous parlent, peuvent en fait s’adresser à des versions passées d’eux-mêmes. Cette compréhension nous aide à prendre du recul et à ne pas prendre personnellement les projections ou les conseils qui ne nous conviennent pas.

Au final, la pleine conscience de nos propres processus internes nous permet de mieux discerner ce qui nous convient réellement et de prendre des décisions éclairées pour notre propre croissance et épanouissement.

À nous de trier le bon grain de l’ivraie

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Le meilleur des coupe-faim

Pourriez-vous me conseiller un « coupe-faim »?

Cela fait partie des questions que j’ai le plus entendues en consultation.

Peut-être avez-vous déjà souhaité également consommer cette pilule miracle qui couperait ce que vous pensez être de la faim?

Sachez que c’est précisément PARCE QUE VOUS NE RESSENTEZ plus la faim que cette envie arrive ! (Si si je vous assure !)

Je m’explique

Les deux grandes explications à cette impression d’avoir faim tout le temps sont:

1. Manger tout le temps, et des aliments faisant varier fortement la glycémie

2. Manger pour anesthésier des émotions trop inconfortables.

3. Un mélange des 2 premières explications (le plus souvent)

Ce dont vous avez besoin n’est dès lors PAS d’un coupe-faim mais d’un OUVRE-FAIM ! (Je n’ai pas dit apéritif)

C’est en mangeant que vous couperez votre faim ….oui je sais cela fait un peu lapalissade mais en réalité cela ne l’est pas (voir point 1)

Comment faire ? Voici 3 astuces qui vous aideront sans aucun doute.

– Boire régulièrement et suffisamment d’eau (le conseil peut sembler banal et pourtant l’appliquez-vous?)

⁃ En mangeant de vrais aliments, le moins transformés possibles en ayant la sensation de faim. (Au début, sans compter ni peser mais en mangeant lentement).

⁃ En respectant votre corps, votre tube digestif en lui offrant un temps de repos suffisant sans manger. (À vous de modifier progressivement ce délai si besoin).

C’est surtout en mangeant mieux que l’on peut re paramétrer les vraies sensations de faim qui sont des informations utiles et nécessaires à ne pas confondre avec la faim émotionnelle.

Ah ces émotions qui nous dérèglent tellement de choses !

Et pourtant, quand on apprend à les écouter, à les ressentir sans s’identifier à elles, on peut en faire nos meilleures alliées.

C’est le thème de ma prochaine formation et si vous voulez être tenue au courant: rejoignez ma liste d’émail VIP.

https://delphineblondel.podia.com/

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Fatigue, sommeil et gestion du poids

Perdre du poids en dormant : rêve ou réalité ?

Ces dernières années, plusieurs recherches scientifiques ont montré qu’un sommeil de qualité est essentiel pour perdre les kilos superflus, pour maigrir. Autrement dit, il est grand temps d’inclure à votre régime minceur, en plus du bonne diététique et de l’exercice physique, un sommeil réparateur! 

1. LES GRAISSES ET LES SUCRES

Le fait de mal dormir, d’avoir du mal à s’endormir, de se réveiller constamment, de ronfler sont des signaux d’alarme qui permettent de détecter des troubles métaboliques tels que les triglycérides et l’hyperglycémie (graisses et sucres) et, par conséquent, l’excès de graisse localisé et l’hypertension.

2. DIABÈTE

La quantité de sommeil a une relation directe avec la régulation de l’insuline. Même quelques nuits de mauvais sommeil peuvent entraîner une résistance à l’insuline et donc, à long terme, vous prédisposer au diabète.

3. STRESS

Le sommeil régule le cortisol, l’hormone du stress. Un sommeil réparateur diminue le taux de cortisol, alors qu’au contraire, si ce taux reste élevé, il entraîne une augmentation de la glycémie, de l’hypertension ainsi que des sautes d’humeur, de l’irritabilité et l’envie de manger. 

4. POIDS EXCESSIF

Insuline, cortisol, comme nous l’avons vu, mais aussi ghréline et leptine.Toutes sont des hormones qui transmettent la sensation de faim et de satiété, et influencent l’appétit et le stockage des graisses.

Une étude a même montré qu’après seulement deux nuits avec seulement 4 heures de sommeil, l’hormone de la faim, ghréline, augmentait de 28 % tandis que l’hormone de la satiété, leptine, diminuait de 18 %.

5. DÉSÉQUILIBRES HORMONAUX

Le sommeil stimule la production de l’hormone de croissance. Pour les enfants, elle est essentielle au développement, tandis que pour les adultes, elle régule la relation entre la masse musculaire, osseuse et graisseuse. Un manque de cette hormone entraîne non seulement un déséquilibre de la masse corporelle, c’est-à-dire qu’elle diminue la masse musculaire et augmente la masse grasse, mais a également des effets négatifs sur l’humeur et la perception de son propre bien-être.

Moins vous dormez, plus vous mangez (et vice versa).

Peut-être est-ce dû à des déséquilibres hormonaux ou au stress, mais ce qui est certain, c’est que ceux qui dorment peu mangent plus. Non seulement le métabolisme ralentit, mais ils ont plus faim et, comme si cela ne suffisait pas, le corps a besoin de plus d’aliments énergétiques, de glucides et de graisses. 

Si le manque de sommeil entraîne des troubles alimentaires et l’obésité, l’inverse est malheureusement également vrai. Les personnes en surpoids sont certainement exposées à des troubles du sommeil tels que l’apnée du sommeil, l’une des principales causes des réveils fréquents qui empêchent un bon repos.

Que pouvez-vous faire pour bénéficier d’un sommeil de qualité ? 

Une alimentation équilibrée et saine aide à bien se reposer. Il est important de prendre des repas légers et digestes, surtout à l’heure du dîner, et si nécessaire de l’anticiper pour avoir le temps d’éliminer les graisses et les calories avant de se coucher. En outre, laisser passer plus de 8 heures entre le dîner et le petit-déjeuner stimule la lipolyse, c’est-à-dire l’élimination des graisses, car cela met l’organisme en réserve et aide alors à brûler les graisses !

Une attention particulière doit être en même temps accordée à tous les aliments qui contiennent de la mélatonine, l’hormone du sommeil qui aide à perdre du poids. Des études ont montré que la mélatonine stimule la production de « graisse beige ».

Les personnes en surpoids ont une dette de graisse beige qui peut, par conséquent, être stimulée par la prise de mélatonine. À noter que la mélatonine peut être incluse dans le régime alimentaire sous la forme d’un complément. Cette hormone est plus efficace lorsqu’elle est prise par le biais d’aliments qui en contiennent naturellement.

Pour finir, retenez que la quantité de sommeil est toujours liée à la qualité du sommeil. Nous pourrions dormir 10 heures d’affilée, mais si nous dormons mal, nous n’en tirerons aucun bénéfice, au contraire… mal dormir est très souvent la cause de nombreux troubles nerveux, alimentaires et aussi cognitifs…

Si cela vous parle et vous intéresse, j’ai créé une formation sur le sujet accompagnée des recettes pour chacun des repas de la journée.

Vous pouvez accéder au programme de la formation en cliquant ici. Lien vers le programme

La formation SLEEP ou mieux manger pour mieux dormir travaille sur 3 axes:

– nourrir le cerveau correctement afin de favoriser la production de neurotransmetteurs.

– une alimentation anti-inflammatoire

– un équilibre du microbiote intestinal.

Vous recevez également des recettes, des conseils généraux, une liste d’huiles essentielles pour soutenir le sommeil, une respiration guidée….

La formation est accessible 24h/24 à vie

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Actuellement 70€ et 99€ dès novembre

SLEEP