Les émotions fortes incitent à manger. On en arrive alors à manger n’importe quoi n’importe quand. Le plus souvent, cela concerne la consommation des aliments sucrés qui présentent un pouvoir réconfortant et sécurisant mais qui sont aussi les plus déséquilibrants pour notre corps.
Il réagit alors dans un premier temps à ces apports anarchiques par des « coups de pompe » qui dérèglent notre centre de satiété.
Ensuite, on rentre dans un cercle vicieux de: fausses faims –> suralimentation –> dérèglement de l’insuline –> stockage de graisses –> impact du moral –> …
Cela agissant sur l’humeur et abîme l’image de soi.
À ce problème, vient souvent se greffer un sentiment de culpabilité car lorsqu’on se sent mal dans son corps, on a une propension à se reprocher tout et n’importe quoi: ce qu’on a fait, ce qu’on n’a pas fait, les événements passés, ceux qu’on anticipe,…
Cela peut conduire certaines personnes sensibles à régresser à un stade infantile où la satisfaction était liée à une prise alimentaire, à la réplétion gastrique.
Un contexte de fragilité émotionnelle crée facilement une hyperphagie réactionnelle qui s’ajoute au fait que le centre de satiété du cerveau est perturbé par les variations glycémiques et insuliniques.
Vous voyez un peu l’imbroglio dans lequel se retrouvent ces personnes…
Il est plus qu’urgent de se reconnecter à ses sensations et d’aider son corps à se « re-paramétrer » concernant la faim et la satiété.
Voilà pourquoi un accompagnement doit se faire à différents niveaux et doit impérativement tenir compte de la gestion des émotions et améliorer la reconnexion à soi. Cela prend du temps, mais c’est bien plus efficace à long terme pour la santé !
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