Que font celles qui y arrivent ?

La perte de poids fait partie des résolutions les plus courantes, surtout au mois de janvier, souvent après les excès alimentaires des fêtes de fin d’année. Mais que ce soit en début d’année ou à tout autre moment, il existe des points communs entre les personnes qui atteignent leurs objectifs de manière durable. Voici les comportements et habitudes, validés par la science, qui permettent de mieux gérer son poids et de retrouver un équilibre.

1. Une motivation ancrée dans le personnel

Les recherches montrent que la motivation intrinsèque (celle qui provient de nos propres désirs, et non d’une pression externe) est un facteur clé de réussite. Plutôt que de se focaliser uniquement sur un chiffre sur la balance, ces personnes définissent des objectifs liés à leur bien-être : plus d’énergie, un meilleur sommeil, ou un sentiment de légèreté.

2. Le temps et la patience comme alliés

Les changements physiologiques, comme la régulation des hormones de la faim (ghréline, leptine), prennent du temps. Ces personnes acceptent que le processus soit lent et progressif, tout en comprenant que des habitudes ancrées sur le long terme produisent des résultats durables.

3. Un focus sur la qualité des aliments

Au lieu de compter des calories ou des points, elles privilégient une alimentation riche en aliments entiers : fruits, légumes, protéines de qualité, bonnes graisses, et glucides complexes. Les aliments ultra-transformés, souvent riches en sucres et additifs, sont évités car ils perturbent les signaux de satiété.

4. Une gestion des écarts sans culpabilité

Les études sur les comportements alimentaires montrent que culpabiliser après un “craquage” peut renforcer les comportements impulsifs ou compulsifs. Ces personnes analysent plutôt ce qui s’est passé, identifient les déclencheurs émotionnels ou environnementaux, et reprennent leur parcours sans s’auto-flageller.

5. La continuité des rendez-vous, même en cas de reprise de poids

Annuler un rendez-vous par honte est contre-productif. Les moments de stagnation ou de reprise de poids sont une opportunité pour le thérapeute d’analyser les habitudes, de proposer des ajustements, et de maintenir le soutien psychologique nécessaire.

6. L’écoute des signaux corporels

Apprendre à différencier la faim biologique de l’envie émotionnelle est essentiel. Cela peut inclure des pratiques comme :

• Ne pas manger en l’absence de faim.

• Respecter les périodes de digestion pour éviter le grignotage constant.

• Manger lentement, ce qui améliore les signaux de satiété (régulés par des hormones comme la leptine et le GLP-1).

7. Une lecture attentive des étiquettes

Les études nutritionnelles insistent sur l’importance de vérifier les ingrédients plutôt que de se focaliser sur les calories. Les listes longues et incompréhensibles indiquent souvent la présence d’additifs, de sucres cachés, ou de graisses de mauvaise qualité.

8. Un respect accru de soi-même

Les personnes qui réussissent cessent de se critiquer constamment et pratiquent davantage d’auto-compassion. L’auto-dénigrement augmente le stress, lequel peut à son tour perturber les hormones du poids, comme le cortisol.

9. L’intégration du jeûne intermittent

Bien qu’il ne convienne pas à tout le monde, le jeûne intermittent, lorsqu’il est bien encadré, peut améliorer la sensibilité à l’insuline, réguler les hormones de la faim, et favoriser une meilleure digestion.

10. Des activités pour réguler les émotions

Plutôt que d’utiliser la nourriture comme seul régulateur émotionnel, elles trouvent d’autres moyens de gérer le stress et les émotions : sport, méditation, écriture, ou activités créatives.

Un appel à changer de paradigme

Il est temps de sortir de la vision restrictive des régimes qui prônent la privation et les calculs incessants. Ces approches créent un cercle vicieux de frustration, de reprise de poids, et d’insatisfaction personnelle.

Investissez dans votre santé et dans une relation de confiance avec un professionnel. Ensemble, vous pourrez bâtir un plan qui respecte votre corps, vos émotions, et vos besoins individuels.

Arrêtez d’espérer des solutions miracles vendues par les médias et les réseaux sociaux. Votre bien-être ne réside pas dans une pilule magique, mais dans une compréhension profonde de votre corps, de vos émotions, et de vos habitudes.

Mon groupe de femmes

20 règles d’or pour une vie saine et équilibrée

Parce que je sais que tout le monde ne peut pas toujours se rendre en consultation, j’ai voulu créer ce petit guide accessible à toutes. Ces 20 règles d’or ne remplacent pas un accompagnement personnalisé, mais elles peuvent déjà vous aider à clarifier votre vision d’une vie saine et équilibrée. Mon objectif est de vous offrir des pistes simples et concrètes pour avancer à votre rythme, avec bienveillance et sans pression.

1. Privilégier des repas aux ingrédients identifiables

Consommer des aliments dont vous connaissez les ingrédients permet de contrôler leur qualité nutritionnelle et d’éviter les produits ultra-transformés. Ces derniers, souvent riches en sucres raffinés, graisses saturées, additifs, et pauvres en fibres, sont conçus pour leur rentabilité et non pour leurs bienfaits. De plus, les procédés industriels (extrusion, cuisson à haute température) dégradent leur valeur nutritive et favorisent une ingestion rapide, réduisant la satiété.

2. Augmenter la consommation de légumes

Les légumes devraient constituer au moins la moitié de l’assiette à chaque repas. Riches en fibres, antioxydants et micronutriments essentiels, ils soutiennent la santé intestinale, indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire. De plus, ils contribuent à réguler l’acidité corporelle, limitant ainsi les processus inflammatoires et les troubles métaboliques comme la glycémie instable, l’hypercholestérolémie, ou la fatigue chronique.

3. Éviter les aliments contenant des calories vides

Les aliments raffinés, dépourvus de micronutriments, comme les biscuits industriels, n’apportent que des sucres simples, graisses hydrogénées, et additifs. Remplacez ces produits par des plaisirs occasionnels faits maison, où vous pouvez contrôler la qualité des ingrédients pour limiter les effets métaboliques négatifs.

4. Réduire la consommation de sodas

Les boissons sucrées augmentent le risque de développer une stéatose hépatique non alcoolique (NASH) et perturbent la régulation de l’appétit. Le cerveau ne comptabilise pas les calories liquides, ce qui peut entraîner un apport calorique excessif. Privilégiez l’eau ou les infusions comme alternatives.

5. Consommer des bonnes graisses

Les lipides de qualité, essentiels pour la régénération cellulaire et la santé du système nerveux, doivent faire partie de l’alimentation quotidienne. Optez pour des huiles végétales de première pression à froid (olive, colza), les avocats, les noix et graines. Ces graisses influencent positivement l’état inflammatoire, la fluidité sanguine et l’équilibre hormonal.

6. Favoriser les aliments à index glycémique bas

Privilégier des aliments à faible index glycémique limite les variations brutales de la glycémie, réduisant ainsi la sollicitation excessive du pancréas. Une évaluation précise de la charge glycémique des repas est recommandée pour optimiser l’impact sur la santé métabolique.

7. Assurer une hydratation suffisante

L’eau, essentielle à la vie, doit être consommée en quantité adaptée selon l’âge, le poids, et le niveau d’activité physique. Un minimum de 1,5 litre d’eau par jour est recommandé pour maintenir l’équilibre hydrique et soutenir les fonctions métaboliques. Privilégiez les eaux faiblement minéralisées pour une consommation quotidienne.

8. Mastiquer correctement et manger en pleine présence

Une mastication adéquate améliore la digestion en facilitant l’assimilation des nutriments et favorise la satiété. Manger lentement, sans distraction, permet de mieux écouter ses signaux corporels et d’éviter la surconsommation.

9. Consommer des aliments de saison et locaux

Les produits de saison, cultivés localement, sont plus riches en nutriments, plus frais, et souvent moins contaminés par les pesticides. Ils soutiennent également une agriculture durable et respectueuse de l’environnement.

10. Diversifier les sources de protéines

Une alimentation équilibrée doit inclure des protéines d’origine végétale (légumineuses, tofu, graines) pour réduire la dépendance aux protéines animales, limiter l’acidification de l’organisme, et bénéficier de fibres et micronutriments supplémentaires.

11. Réduire le stress alimentaire

Manger dans un environnement calme et sans distraction améliore la digestion et permet de mieux interpréter les signaux de faim et de satiété, réduisant ainsi les comportements de surconsommation liés au stress.

12. Introduire des aliments fermentés

Les aliments fermentés comme le kéfir, la choucroute, ou le miso, riches en probiotiques, soutiennent l’équilibre du microbiote intestinal, essentiel à l’immunité, à la régulation de l’humeur, et à une digestion efficace.

13. Limiter la consommation de sel

Un apport excessif en sel peut contribuer à l’hypertension et aux maladies cardiovasculaires. Remplacez le sel par des herbes aromatiques et des épices pour relever les plats tout en préservant votre santé.

14. Augmenter l’apport en fibres

Les fibres, présentes dans les fruits, légumes, céréales complètes et légumineuses, favorisent un bon transit intestinal, régulent la glycémie et le cholestérol, et nourrissent les bactéries bénéfiques du microbiote.

15. Maintenir un rythme alimentaire régulier mais à l’écoute 

Des repas espacés suis permettent de stabiliser la glycémie et d’éviter les fluctuations énergétiques et hormonales, notamment celles liées à l’insuline.

16. Optimiser la qualité du sommeil

Un sommeil de qualité est indispensable à l’équilibre métabolique. Le manque de sommeil perturbe les hormones régulant l’appétit (leptine et ghréline), favorisant la prise de poids et les troubles métaboliques.

17. Limiter l’alcool

L’alcool perturbe le métabolisme hépatique, la régulation glycémique, et le sommeil. Réservez-le à des occasions exceptionnelles et consommez-le avec modération. Et honnêtement, si vous pouvez vous en passer, c’est beaucoup mieux chaque verre consommé augmente le risque de cancer et ça, la société de consommation ne le met pas en avant.

18. Intégrer une activité physique régulière

L’exercice, même modéré, améliore la sensibilité à l’insuline, réduit l’inflammation et contribue au bien-être mental. Choisissez une activité adaptée à vos goûts pour garantir une pratique durable.

19. Essayer les pauses digestives (jeûne suffisant)

Le jeûne est physiologique, et nous en avons besoin pour permettre au système digestif de se reposer et d’améliorer la régulation hormonale, en particulier celle de l’insuline. Chaque personne doit trouver l’intervalle qui lui convient.

20. Développer une relation saine avec l’alimentation

Adoptez une approche bienveillante et équilibrée, sans culpabilité, pour que manger reste un plaisir. Écoutez vos sensations corporelles et vos envies tout en maintenant des choix éclairés.

Il y a évidemment plein d’autres choses à faire si on veut améliorer notre relation à nous et à l’alimentation. Notre principale difficulté se trouve dans les angles morts. On croit savoir mais en réalité on ne sait pas vraiment.

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Psychonutrition : faire la paix avec notre assiette.

En psychonutrition, l’un des objectifs essentiels est d’explorer et d’apaiser la relation complexe que de nombreuses femmes entretiennent avec la nourriture. 

Combien de fois t’es-tu retrouvée à culpabiliser après un repas, te reprochant de ne pas avoir été « raisonnable » ou d’avoir manqué de contrôle ? 

Peut-être connais-tu cette sensation de te juger sévèrement pour avoir cédé à une envie ou pour ne pas avoir suivi le plan parfait que tu t’étais fixé. Cette voix intérieure, souvent critique, peut devenir un fardeau au quotidien.

Ces pensées, ces jugements, ne surgissent pas par hasard. Ils sont souvent le fruit d’années de conditionnement :

– des injonctions sociales,

– des croyances familiales (« finis ton assiette », « ne mange pas trop si tu veux être mince ») ou

– des expériences personnelles qui ont façonné ta vision de l’alimentation et de ton corps. 

Ces moments où tu te dis : « Pourquoi je n’arrive jamais à m’y tenir ? » ou « Tout est ma faute », sont en réalité des manifestations d’un dialogue intérieur influencé par des schémas inconscients et émotionnels profondément enracinés.

La psychonutrition propose de libérer ces poids et de transformer ta relation avec la nourriture. Imagine pouvoir sortir de ce cercle vicieux où chaque écart se transforme en culpabilité, où chaque envie est perçue comme une faiblesse. 

La culpabilité alimentaire, par exemple, est souvent une stratégie de l’ego : elle te pousse à te définir à travers tes choix alimentaires, comme si ta valeur personnelle dépendait de ce que tu mets ( ou ne mets pas) dans ton assiette. Peut-être as-tu déjà ressenti cette pression, cette petite voix qui dit : « Si je mange sainement, je vaux quelque chose. Si je craque, je perds toute crédibilité. »

Mais voici la réalité : ce n’est pas toi qui es en faute. Ces comportements sont souvent des réponses inconscientes à des besoins émotionnels non exprimés.

Manger pour te réconforter après une journée difficile, sauter un repas pour « compenser », ou te lancer dans un régime strict pour regagner un sentiment de contrôle : tout cela reflète une tentative de ton corps et de ton esprit pour naviguer dans une vie parfois trop exigeante.

La psychonutrition, c’est t’aider à comprendre ces mécanismes et à t’en libérer. Ce n’est pas un simple programme alimentaire ou une liste de règles à suivre. C’est une démarche qui t’accompagne pour identifier ce qui te pousse à agir ainsi, pour te reconnecter à tes besoins profonds (qu’ils soient physiologiques ou émotionnels) et pour te permettre d’écouter ton corps sans jugement.

Peut-être te reconnais-tu dans ces phrases :

« Je mange parfois sans faim, juste pour me calmer, mais après, je me sens encore plus mal. »

« Je m’interdis certains aliments, mais ils finissent par me manquer tellement que je craque. »

« Je suis fatiguée de cette bataille constante avec la nourriture. Pourquoi est-ce si compliqué ? »

Ces luttes, tu n’as pas à les vivre seule. En psychonutrition, nous travaillons ensemble pour transformer ta relation à la nourriture en une source d’équilibre et de sérénité. L’objectif n’est pas de viser la perfection, mais de te permettre de dire un jour : « Je mange avec plaisir, sans culpabilité, et je me sens bien dans mon corps et dans ma tête. »

Cette approche va au-delà des repas : elle t’invite à te reconnecter à toi-même, à tes émotions, et à tes besoins. Parce que derrière chaque choix alimentaire se cache une histoire, et chaque histoire mérite d’être comprise, écoutée, et apaisée.

La psychonutrition te donne les clés pour écrire un nouveau chapitre : celui d’une relation plus libre, plus douce, et plus authentique avec toi-même et ton alimentation.

Si cela t’intéresse, tu peux lire l’histoire de Rose

Histoire de Rose

Ralentir le vieillissement: ça commence dans l’assiette !

Dans le tumulte du quotidien, combien de fois te surprends-tu à manger sans y penser, entre deux rendez-vous ou en te préoccupant des besoins des autres avant les tiens ?

Pourtant, ce que tu mets dans ton assiette est bien plus qu’une simple source d’énergie : c’est un outil puissant pour freiner les traces du temps, retrouver ta vitalité et révéler cette lumière intérieure qui sommeille en toi.

Beaucoup de femmes, peut-être toi aussi, ressentent le poids des années à travers une fatigue persistante, une peau moins éclatante, ou cette sensation de “ne plus être en phase avec son corps”. Ces signes ne sont pas une fatalité. Ils sont souvent l’expression d’un corps qui appelle à plus de présence, à une attention bienveillante portée à ses besoins.

Quand tu prends le temps de te reconnecter à ton corps par une nutrition consciente, quelque chose de profond se transforme. Ce n’est plus simplement une question de “bien manger”, mais d’être à l’écoute de toi-même. Les aliments que tu choisis, leur qualité, leur diversité, leur préparation deviennent des alliés pour alléger non seulement ton corps, mais aussi ton esprit.

En adoptant des aliments riches en antioxydants (comme les fruits rouges, les légumes verts et les noix), en bonnes graisses (oméga-3 des poissons ou huiles végétales comme l’huile de cameline), et en nutriments essentiels, tu aides tes cellules à mieux se régénérer. Tu remarqueras alors peut-être que ta peau devient plus lumineuse, que ta digestion s’améliore, ou que ton énergie revient au fil des jours.

Et si l’idée de te retrouver piégée dans des régimes contraignants t’effraie, sache que ce n’est pas le but. Ici, il s’agit de te respecter. Écoute ces signaux subtils que ton corps t’envoie : ce creux dans l’estomac qui appelle à une collation, cette sensation de satiété qui te dit “c’est suffisant”. Ces moments d’écoute sont des clés pour apaiser la charge mentale et émotionnelle qui pèse sur toi.

Imagine-toi à 80 ans, vibrant encore d’une énergie lumineuse, car tu as choisi de nourrir ton corps et ton esprit dès aujourd’hui. La présence, cette attention portée à l’instant et à toi-même, ralentit le vieillissement, non seulement dans tes cellules, mais dans tout ce que tu es. Elle te permet d’accueillir les années avec une sérénité confiante et de montrer au monde une version de toi-même qui rayonne, bien au-delà des apparences.

Tu n’as pas besoin de tout changer en un jour. Il suffit de commencer par un petit pas, une petite décision : une assiette plus colorée, une bouchée savourée avec attention, ou un moment de pause pour ressentir ce dont ton corps a vraiment besoin.

Parce que chaque femme mérite de ralentir le temps, de nourrir la vie en elle, et de laisser transparaître cette essence intemporelle qui fait sa beauté unique.

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Le collagène : attention aux arnaques !

Il ne se passe pas une semaine sans que vous me posiez des questions sur le collagène :

« Est-ce vraiment utile ? Comment choisir un produit de qualité ? Quelle dose prendre ? Avec quoi l’associer ? »

Avec tout ce qu’on entend sur le sujet, je comprends que vous puissiez vous sentir un peu perdues. Alors, pour répondre à toutes vos interrogations (et pour éviter les erreurs ou les achats inutiles), voici un mini guide pour vous informer sur cette fameuse protéine : ses origines, ses bienfaits, les dosages recommandés, les précautions à prendre et les associations qui boostent ses effets.

Qu’est-ce que le collagène et pourquoi est-il important ?

Le collagène est une protéine fibreuse composée de glycine, proline, hydroxyproline et arginine. Elle constitue un élément clé de la peau, des articulations et des tissus conjonctifs. Cependant, dès la vingtaine (hé oui, déjà !), notre production naturelle diminue, accélérant l’apparition des rides, des douleurs articulaires et la fragilité osseuse.

Les types de collagène les plus courants :

• Type I : Présent dans la peau, les os et les tendons, il améliore la fermeté et l’élasticité de la peau.

• Type II : Essentiel pour le cartilage et la santé articulaire.

• Type III : Complémentaire du type I, il est associé à la peau et aux vaisseaux sanguins.

Pourquoi la taille moléculaire est-elle si importante ?

La taille des peptides de collagène, exprimée en daltons (Da), détermine leur absorption :

• >10 000 Da : Trop grands pour une absorption efficace.

• 3 000 à 5 000 Da : Taille idéale pour une biodisponibilité optimale.

• < 3 000 Da : Utile pour des besoins spécifiques comme les troubles intestinaux.

Les compléments les plus efficaces contiennent des peptides de collagène hydrolysé pesant entre 2 000 et 5 000 Da.

Origines et sources de collagène :

1. Collagène marin

• Source : Peaux et écailles de poissons.

• Avantages : Très biodisponible, idéal pour la peau, les cheveux et les ongles.

2. Collagène bovin

• Source : Cartilages et peaux de bovins.

• Avantages : Parfait pour les articulations et les tissus conjonctifs.

3. Alternatives végétaliennes (contrairement à ce que j’ai déjà vu)

• Il n’existe pas de collagène végétalien, mais des nutriments comme la vitamine C, le zinc et le silicium stimulent sa production naturelle.

Dosages recommandés :

• Peau et anti-âge : 2,5 à 5 g par jour (jusqu’à 10 g ou plus sur avis médical).

• Articulations : 10 g par jour, particulièrement en cas d’arthrose.

• Sport et récupération : 10 à 15 g par jour avant ou après l’effort.

Durée d’utilisation :

Une cure de 8 à 12 semaines est nécessaire pour constater des résultats. Une prise régulière est recommandée pour maintenir les bienfaits.

Associations bénéfiques pour booster la production de collagène :

Pour maximiser les effets du collagène, il est possible de l’associer à d’autres substances :

• Vitamine C : Indispensable à la synthèse du collagène, elle aide à stabiliser ses fibres.

• Silicium : Soutient la formation des tissus conjonctifs et améliore la structure du collagène.

• Zinc et cuivre : Favorisent la régénération des tissus et stabilisent les fibres de collagène.

• Acide hyaluronique : Complémente le collagène pour hydrater et renforcer l’élasticité des tissus.

• Soufre (MSM) : Soutient la souplesse des articulations et des tissus conjonctifs.

• Oméga-3 : Protègent le collagène des effets inflammatoires.

• Antioxydants (polyphénols, vitamine E, bêta-carotène) : Luttent contre les radicaux libres qui dégradent le collagène.

Conseils d’achat et précautions :

• Achetez des produits de qualité, idéalement en pharmacie ou recommandés par des professionnels qualifiés.

• Évitez les recommandations de personnes non formées (désolée, Tata Gilberte et cousine Eulalie, mais on ne joue pas avec la santé !).

• Vérifiez la traçabilité, les certifications et la taille moléculaire des peptides.

Pourquoi le collagène ne convient pas à tout le monde ?

1. Problèmes rénaux ou hépatiques : Une surcharge en acides aminés peut aggraver les dysfonctionnements de ces organes.

2. Hypercalcémie : Certains collagènes contiennent du calcium, à surveiller en cas de troubles métaboliques.

3. Allergies : Attention aux protéines animales ou marines.

4. Interactions médicamenteuses : Les anticoagulants ou certains compléments peuvent interagir avec le collagène.

5. Problèmes digestifs : Des ballonnements ou nausées peuvent survenir chez les personnes sensibles.

L’importance d’une analyse sanguine préalable :

Avant de commencer une supplémentation, une analyse sanguine peut évaluer votre état général :

• Protéines totales et albumine : État des réserves protéiques.

• Créatinine et urée : Fonction rénale.

• Calcium et phosphore : Métabolisme osseux et minéral.

Conclusion :

Le collagène peut être un allié précieux pour la santé de la peau, des articulations et des tissus conjonctifs. Cependant, sa supplémentation doit être adaptée à vos besoins et guidée par un professionnel qualifié. Privilégiez des produits de qualité et n’oubliez pas que votre santé mérite une analyse personnalisée par un professionnel de santé !

Le chocolat, le secret santé dont les femmes rêvent ?

Ah, le chocolat… Ce petit carré noir qui fait battre notre cœur (et parfois grimper notre balance). Mais au-delà de son goût irrésistible, le chocolat pourrait bien cacher des vertus insoupçonnées pour votre santé. Une récente étude, issue de la prestigieuse Women’s Health Initiative, s’est penchée sur la relation entre la consommation de chocolat et la mortalité chez les femmes. 

 🍫 Alors, verdict ? Bonne ou mauvaise idée de craquer pour un carré (ou deux) ?

Bonne nouvelle ! Une consommation modérée de chocolat serait associée à une réduction du risque de mortalité toutes causes confondues. Vous avez bien lu : du chocolat pour vivre plus longtemps, qui aurait cru ? 

Cette découverte s’explique notamment par les flavonoïdes, ces petites molécules magiques présentes en quantité généreuse dans le chocolat noir. Elles agissent comme de puissants antioxydants et anti-inflammatoires, parfaits pour protéger notre système cardiovasculaire et améliorer la circulation sanguine.

Mais attention, tout n’est pas permis : si le chocolat noir (70 % de cacao et plus) brille par ses qualités nutritionnelles, les versions au lait et encore plus le chocolat blanc (qui, soyons honnêtes, est plus proche du bonbon que du chocolat) n’offrent pas les mêmes bénéfices.

Avant de vous ruer sur la tablette entière, un petit rappel s’impose :

l’excès de sucre et de graisses contenus dans le chocolat peut vite faire basculer la balance (au sens propre comme au figuré).

Autrement dit, oui au chocolat, mais sans abus. Les chercheurs recommandent de ne pas dépasser 10 à 20 g par jour, soit l’équivalent de deux petits carrés. Cela suffit pour profiter des bienfaits sans risquer d’annuler les effets positifs.

Et si vous pensiez que grignoter un carré de chocolat en cachette était un péché, détrompez-vous : cette petite pause gourmande pourrait même vous aider à réduire le stress. Par contre, ne transformez pas votre barre chocolatée en stratégie pour affronter les réunions stressantes ou les caprices des enfants !

Comment bien choisir son chocolat ?

Parce que tous les chocolats ne se valent pas, voici quelques astuces pour faire le bon choix :

• Privilégiez le chocolat noir, à 70 % de cacao ou plus. Plus il est riche en cacao, mieux c’est.

• Lisez les étiquettes et fuyez les tablettes pleines de sucre et d’additifs.

• Savourez-le lentement, sans culpabilité, et faites-en un moment de plaisir conscient.

Le chocolat, une histoire d’équilibre

Finalement, cette étude nous rappelle que le chocolat peut être notre allié santé… à condition de ne pas en faire notre meilleur ami (ou de lui confier toutes nos émotions). Alors, mesdames, profitez-en, mais avec modération ! Parce que oui, deux carrés suffisent pour la santé ….même si, soyons honnêtes, votre cœur en réclamera toujours un troisième.

Voici l’étude : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36549566/

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16 vérités que j’aurais aimé connaître plus tôt

Quand j’étais plus jeune, je pensais que prendre le temps de réfléchir était une perte de temps. Pourquoi regarder en arrière alors que tout nous pousse à avancer, à faire toujours plus ? Aujourd’hui, je vois les choses différemment. La réflexion est devenue un pilier, un moment précieux où je me dépose pour mieux me comprendre et mieux accompagner celles qui croisent ma route. C’est dans ces pauses que naissent les enseignements les plus profonds, ceux qui résonnent longtemps après.

Alors, pour 2025, je veux te partager 16 réflexions, nées de mon chemin, de mes doutes, et des enseignements que m’ont offerts les femmes que j’accompagne.

1. L’écoute du corps est la clé de toutes les transformations.

Chaque femme possède une boussole intérieure. Apprendre à entendre les signaux de son corps, c’est se reconnecter à une force intime, plus puissante que n’importe quel régime ou méthode imposée.

2. La perfection n’existe pas, et c’est une bénédiction.

Nos imperfections racontent notre humanité, notre singularité. Les accueillir, c’est se libérer du poids des attentes irréalistes et se donner la permission d’être pleinement soi.

3. L’alimentation est un acte d’amour, pas une punition.

Manger devrait toujours être un geste de soin envers soi, jamais une contrainte ni une source de culpabilité. C’est dans le plaisir qu’on nourrit vraiment son corps et son âme.

4. Les émotions sont des alliées, pas des ennemies.

Les refuser, c’est les laisser nous contrôler. Les accueillir, c’est ouvrir la porte à une alimentation plus intuitive, à un équilibre profond et durable.

5. Le changement commence par une toute petite action.

Les grandes transformations ne naissent pas de bouleversements soudains, mais d’actions simples, répétées avec constance et alignées avec nos valeurs.

6. S’entourer d’autres femmes change tout.

Il y a une puissance unique dans un cercle de femmes bienveillantes. Ensemble, on se porte, on se révèle, et on avance avec plus de force et de courage.

7. Le stress est l’ennemi numéro un de la santé et de l’épanouissement.

Apprendre à apaiser le stress, c’est offrir à son corps et à son esprit un espace pour s’épanouir, guérir, et retrouver son énergie.

8. Se reconnecter à soi, c’est redécouvrir la vie.

Ralentir, respirer, ressentir. Ce sont ces moments simples qui nous ramènent à l’essentiel et nous rappellent qui nous sommes vraiment.

9. La comparaison est un voleur de joie.

Chaque chemin est unique, et se comparer aux autres, c’est s’éloigner de sa propre vérité et de ce qui nous rend véritablement heureuse.

10. Le plaisir est une vitamine essentielle.

Qu’il se trouve dans un repas savoureux, un éclat de rire ou un moment de détente, le plaisir nourrit autant le corps que l’âme.

11. Le mouvement est une célébration, pas une obligation.

Bouger son corps devrait être un acte de joie, une célébration de ce qu’il peut faire, et non une punition pour ce qu’on a mangé.

12. L’équilibre se crée dans la souplesse.

Trop de rigidité peut briser l’harmonie. Être flexible et s’adapter, c’est permettre à l’équilibre de s’installer avec douceur et durabilité.

13. On ne peut pas tout contrôler, et c’est une libération.

Accepter qu’on ne contrôle pas tout, c’est lâcher un poids immense et ouvrir la porte à plus de sérénité.

14. La connaissance de soi est le plus grand des super-pouvoirs.

Apprendre à connaître ses besoins, ses limites et ses envies, c’est poser les fondations d’une vie alignée et épanouie.

15. Le sommeil est le pilier oublié du bien-être.

Un sommeil de qualité transforme tout : nos émotions, nos choix alimentaires, et même notre vision du monde.

16. Il n’est jamais trop tard pour commencer.

Chaque instant est une nouvelle chance. Une opportunité d’avancer, de prendre soin de soi, et de bâtir un mieux-être durable.

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