Un boost sous-estimé pour la femme active.

La vitamine C, également connue sous le nom d’acide ascorbique, joue un rôle crucial dans notre nutrition. Elle est essentielle pour maintenir la santé de notre corps de plusieurs façons :

1. Antioxydant:

La vitamine C est un puissant antioxydant, ce qui signifie qu’elle protège nos cellules contre les dommages causés par les radicaux libres, contribuant ainsi à réduire le risque de maladies chroniques telles que les maladies cardiaques et certains types de cancer.

2. Système immunitaire:

La vitamine C renforce le système immunitaire en favorisant la production et l’activation des globules blancs, qui sont essentiels pour combattre les infections et les maladies.

3. Formation du collagène:

Elle est essentielle à la formation du collagène, une protéine qui maintient la santé de la peau, des vaisseaux sanguins, des os et des articulations.

4. Absorption du fer:

La vitamine C améliore l’absorption du fer non-hémique (présent dans les aliments d’origine végétale), ce qui est important pour prévenir l’anémie.

5. Réparation cellulaire:

Elle aide à la réparation des tissus et des cellules, favorisant ainsi une guérison plus rapide en cas de blessures.

6. Santé cardiaque:

La vitamine C contribue à maintenir la santé des vaisseaux sanguins, ce qui peut aider à réduire le risque de maladies cardiaques.

voici une liste non exhaustive d’aliments riches en vitamine C

Cynorhodon (églantier)

Camu camu

Baies d’argousier

Poivrons rouges

Kiwi vert et jaune

Fraises

Les agrumes: Les oranges, les pamplemousses, les citrons et les mandarines restent des sources populaires

Papaye

Ananas

Le Brocoli

Le Chou-fleur

Le persil

Évidemment la teneur en vitamine C des aliments peut varier en fonction de facteurs tels que la variété, la fraîcheur et la méthode de préparation et de conservation.

Il est parfois utile d’avoir recours à des compléments alimentaires.

Rejoins-nous en cliquant ici

Nutrition & Émotions: Le combat silencieux des femmes.

Il est courant de rencontrer des femmes qui semblent “avoir tout” en surface, mais qui, au fond, se sentent insatisfaites ou même dégoûtées de leurs vies. Ces femmes ont souvent atteint des sommets dans leurs carrières, acquis une certaine prospérité matérielle, et pourtant, elles éprouvent un vide existentiel. Et souvent, ce malaise se traduit par un rapport compliqué avec l’alimentation. Pourquoi une telle contradiction ?

La quête d’objectifs externes

L’une des embûches les plus courantes pour ces femmes est de se concentrer uniquement sur des réalisations extérieures. L’argent, le succès professionnel peuvent offrir une satisfaction temporaire, mais ils n’apportent pas nécessairement un équilibre intérieur. Ce déséquilibre peut se manifester par des troubles alimentaires, où la nourriture devient soit une source de réconfort soit un ennemi.

La culture de la comparaison

À l’ère des réseaux sociaux, comparer constamment son physique et son assiette à celles des autres est devenu une seconde nature pour beaucoup. Cette comparaison incessante peut nourrir un sentiment d’insuffisance, conduisant à des comportements alimentaires malsains.

La quête de sens

Atteindre des sommets sans trouver de sens véritable à ses actions peut laisser un sentiment de vide. Certaines femmes compensent ce manque en se tournant vers la nourriture, cherchant un apaisement émotionnel à travers elle.

L’adaptation hédonique

Ce phénomène psychologique décrit la tendance humaine à revenir à un niveau de bonheur stable, peu importe les hauts et les bas de la vie. Les plaisirs initiaux d’une gourmandise peuvent s’estomper avec le temps, incitant à une surconsommation pour retrouver ce sentiment initial.

La peur de la perte

La crainte de perdre ce que l’on a accumulé peut aussi influencer le rapport à la nourriture. Pour certaines, manger devient un moyen de contrôle lorsque tout le reste semble incertain.

Face à ces défis, ces femmes doivent redéfinir leur relation à la nourriture, tout en cherchant un équilibre entre leurs réalisations extérieures et leur bien-être intérieur. La clé réside peut-être dans la compréhension que la véritable harmonie ne vient pas seulement des succès visibles, mais aussi d’une nutrition saine et d’une paix intérieure.

👉🏻 :Mon groupe Facebook

Quand pleurer aide à guérir

Récemment, j’ai été témoin d’une jeune fille en train de pleurer devant ses parents. Sa mère lui a dit « non, ne pleure pas », tandis que son père a dit « Oh, cela n’en vaut pas la peine. » Ensuite, la mère a ajouté : « tu es trop jolie pour pleurer ! »

C’est hallucinant comme la plupart des gens sont mal à l’aise lorsque les gens pleurent. Cela suscite des sentiments d’impuissance, le désir de réparer les choses et la croyance que nous devons faire cesser les « mauvaises » émotions ou les réparer

Pourtant, pleurer est très régulateur du système nerveux.

Les larmes émotionnelles contiennent des hormones et des protéines qui aident à réduire le stress et à soulager les émotions désagréables. En pleurant, notre corps libère cette tension émotionnelle accumulée, ce qui permet de rétablir l’équilibre et de se sentir plus apaisé après avoir pleuré.

Après avoir pleuré, nous nous sentons toujours plus calmes et plus détendues. Le corps a traversé sa résolution naturelle d’une émotion.

Cependant, de nombreuses personnes ne permettent pas aux larmes de s’exprimer. Elles bloquent ou refoulent leurs pleurs. Certaines s’excusent même pour leurs réactions physiologiques. Il est difficile pour elles de faire face à la vulnérabilité de voir quelqu’un pleurer devant elles.

Pleurer est un moyen sain de libérer les émotions accumulées, de soulager le stress et de réguler notre système nerveux. C’est une façon naturelle pour notre corps de faire face aux défis émotionnels de la vie. Autoriser nos larmes à s’exprimer nous permet de mieux nous comprendre, de prendre soin de notre bien-être émotionnel et d’établir une connexion plus profonde avec nous-mêmes et avec les autres. Il est important de se rappeler que pleurer ne fait pas de nous des personnes faibles, mais témoigne plutôt de notre humanité et de notre capacité à ressentir et à exprimer nos émotions de manière authentique.

Le groupe Facebook

Le secret des personnes qui ne peuvent s’empêcher de mettre leur grain de sel partout !

« N’écoutez les conseils de personnes, sinon du vent qui passe et nous raconte l’histoire du monde » disait Claude Debussy

Faut-il être aussi radicale ?

Les personnes qui nous entourent ont tendance à projeter leur propre expérience, leur cadre de référence et leur passé sur les situations présentes.

Il y a les personnes « qui savent » mieux que nous avant même de nous avoir écouté, il y a celles qui se sentent « obligées » de conseiller, il y a celles qui ont tout vécu….

Bref, on a toutes été cette personne a un moment où l’autre non ?

Nos pensées, émotions et croyances passées influencent la façon dont nous percevons et interprétons le monde qui nous entoure.

Il est essentiel de comprendre que malgré cette tendance naturelle, cela ne signifie pas que nous devons ignorer les conseils des autres !

Cela élargit notre perspective et nous permet de voir les choses sous un nouvel angle. Même si nous avons une réaction émotionnelle initiale en entendant ces conseils, nous pouvons toujours en tirer des enseignements précieux.

Cependant, il est également important de

1. garder une certaine distance émotionnelle et de réflexion vis-à-vis des conseils reçus.

2. Nous devons observer la personne qui nous donne ces conseils,

3. réfléchir à leur pertinence par rapport à notre propre situation,

4. et faire preuve de discernement pour déterminer ce qui résonne vraiment avec nous.

5. Il est essentiel d’écouter notre intuition et de choisir ce qui semble juste et approprié pour nous, tout en laissant de côté ce qui ne correspond pas à notre réalité ou à nos aspirations.

Voici un secret 🤫

Lorsque nous sommes attentives à nos réactions et à notre vécu intérieur, nous réalisons souvent que les autres, lorsqu’ils nous parlent, peuvent en fait s’adresser à des versions passées d’eux-mêmes. Cette compréhension nous aide à prendre du recul et à ne pas prendre personnellement les projections ou les conseils qui ne nous conviennent pas.

Au final, la pleine conscience de nos propres processus internes nous permet de mieux discerner ce qui nous convient réellement et de prendre des décisions éclairées pour notre propre croissance et épanouissement.

À nous de trier le bon grain de l’ivraie

Rejoins-nous ici si tu es une femme

Le roi des antioxydants

Encore trop peu connu des professionnels de la santé, le gluthation est considéré comme le plus puissant des antioxydants.

Le glutathion est un regroupement de 3 acides aminés : la glycine, la cystéine et l’acide glutamique.

Il est naturellement fabriqué par notre organisme mais sa production diminue avec l’âge et le stress oxydant.

Après 50 ans, il serait réduit d’environ 40% et de plus de 90% après 60 ans.

Sa principale action est de ralentir le vieillissement de nos cellules.

Un corrélation est établie entre l’apparition de divers problèmes de santé et un taux bas de gluthation‌. Notamment, le stress chronique, l’anxiété et la dépression‌.

Il intervient dans de nombreuses réactions métaboliques et biochimiques dont la synthèse et la réparation de l’ADN, l’élimination de toxines et de métaux lourds.

Il est également un immunostimulant puissant et à ce titre, on l’utilise pour lutter contre de nombreuses maladies.

Voici un petit résumé des principales actions du gluthation

Antioxydant : protège les cellules contre le stress oxydatif, contribue à lutter contre le vieillissement et ses différents troubles associés: (diabète, Athérosclérose et hypercholestérolémie, Cataracte, glaucome, maladies neuro-dégénératives, déclin cognitif,…)

Immunostimulant

Détoxifiant du foie.

Élimination des toxines et métaux lourds

Anti-inflammatoire pulmonaire et digestif: protège également de l’inflammation du système digestif. Notamment dans les cas de (gastrite, ulcères de l’estomac et de pancréatite,colite, rectocolite et maladie de Crohn‌)

Le dosage varie en fonction de l’effet recherché: la prévention ou lors d’un traitement d’une pathologie avérée (où il joue le rôle d’adjuvant)

En prévention: 300 mg au coucher est très efficace.

Discutez-en avec votre nutrithérapeute ou votre médecin.

Rejoins-moi dans mon groupe Facebook : Les astuces de Delphine et ses copines

Le meilleur des coupe-faim

Pourriez-vous me conseiller un « coupe-faim »?

Cela fait partie des questions que j’ai le plus entendues en consultation.

Peut-être avez-vous déjà souhaité également consommer cette pilule miracle qui couperait ce que vous pensez être de la faim?

Sachez que c’est précisément PARCE QUE VOUS NE RESSENTEZ plus la faim que cette envie arrive ! (Si si je vous assure !)

Je m’explique

Les deux grandes explications à cette impression d’avoir faim tout le temps sont:

1. Manger tout le temps, et des aliments faisant varier fortement la glycémie

2. Manger pour anesthésier des émotions trop inconfortables.

3. Un mélange des 2 premières explications (le plus souvent)

Ce dont vous avez besoin n’est dès lors PAS d’un coupe-faim mais d’un OUVRE-FAIM ! (Je n’ai pas dit apéritif)

C’est en mangeant que vous couperez votre faim ….oui je sais cela fait un peu lapalissade mais en réalité cela ne l’est pas (voir point 1)

Comment faire ? Voici 3 astuces qui vous aideront sans aucun doute.

– Boire régulièrement et suffisamment d’eau (le conseil peut sembler banal et pourtant l’appliquez-vous?)

⁃ En mangeant de vrais aliments, le moins transformés possibles en ayant la sensation de faim. (Au début, sans compter ni peser mais en mangeant lentement).

⁃ En respectant votre corps, votre tube digestif en lui offrant un temps de repos suffisant sans manger. (À vous de modifier progressivement ce délai si besoin).

C’est surtout en mangeant mieux que l’on peut re paramétrer les vraies sensations de faim qui sont des informations utiles et nécessaires à ne pas confondre avec la faim émotionnelle.

Ah ces émotions qui nous dérèglent tellement de choses !

Et pourtant, quand on apprend à les écouter, à les ressentir sans s’identifier à elles, on peut en faire nos meilleures alliées.

C’est le thème de ma prochaine formation et si vous voulez être tenue au courant: rejoignez ma liste d’émail VIP.

https://delphineblondel.podia.com/

Ou alors retrouvez-moi dans mon groupe Facebook

https://www.facebook.com/groups/453745628296735/

L’hangxiety un nouveau mot pour un phénomène ancien

Nous vivons une période très anxiogène et ce, depuis un long moment.

En consultation, de nombreuses personnes m’expliquent avoir besoin de leur consommation d’alcool pour gérer leur anxiété.

Le piège est là…c’est que la consommation d’alcool est souvent suivie d’un lendemain accompagné d’anxiété… et pour gérer l’anxiété, il est tentant de boire…

Un cercle vicieux.

Le néologisme « hangxiety » décrit l’anxiété qui suit une soirée (trop) arrosée.

Cela arrive aux consommateurs réguliers comme à ceux qui exagèrent ponctuellement.

Tout cela s’explique en partie par une chute de dopamine, qui est un neurotransmetteur qui motive et met en joie.

Parallèlement, le taux de cortisol augmente et s’accompagne d’une sensation de stress.

À cela s’associent également des pertes en minéraux et vitamines.

Quant aux interactions avec la prise de médicaments, elles potentialisent les effets délétères de l’alcool sur le corps.

On peut sortir de ce cercle vicieux. Il faut parfois se faire aider.

Manger des aliments digestes, Consommer beaucoup d’eau et sortir s’aérer fait partie des choses que vous pouvez faire les lendemains d’excès.

Sur le long terme, la nutrithérapie va soutenir la chimie cérébrale: hydratation, omega3, acides aminés précurseurs de neurotransmetteurs,…

L’ingrédient de départ reste le souhait de se sentir mieux et de trouver des alternatives à l’anxiété.

Rejoignez le groupe Facebook 😀