Le cholestérol: ce faux ennemi

L’une des croyances les plus ancrée en nutrition concerne le cholestérol. Quand on parle de cholestérol, on pense souvent aux « maladies cardiovasculaires ».

C’est incroyable ! Même en cherchant l’image libre de droit pour cet article, je ne trouve que des photos d’œufs…c’est d’ailleurs le premier aliment cité quand on parle du sujet!

Chaque semaine des gens me demandent comment ils peuvent baisser leur taux de cholestérol ! Ce n’est absolument pas la bonne question à se poser. Laissez-moi vous expliquer.

Qu’est-ce que le cholestérol ? C’est un lipide (graisse) principalement produit par le foie et présent dans les aliments. Le corps produit 70 à 85 % de notre cholestérol total. Si nous en produisons autant, c’est uniquement parce que nous en avons besoin.

⁃ Le cholestérol entre dans la composition des membranes cellulaires et assure leur fluidité et le bon passage des nutriments et des messagers chimiques au niveau cellulaire.

⁃ Synthèse hormonale : DHEA, cortisol, oestrogène, progestérone, testostérone

⁃ Synthèse de vitamine D

⁃ Produire les sels biliaires nécessaires à la digestion des lipides

⁃ Transfert d’informations entre les cellules et les organes

⁃ Entre dans la composition de la gaine de myéline qui facilite le passage de l’influx nerveux.

Vous comprenez dés lors, que vouloir d’emblée le baisser, n’est pas forcément la 1ère chose à faire. Et là, je précise que je parle d’un contexte où il n’y a pas encore eu de problème cardiovasculaire.

Pourquoi est-il si diabolisé ?

Cette croyance dans le lien entre le cholestérol et la crise cardiaque vient du nutritionniste renommé Ancel Keys et de son étude dans 7 pays dans les années 1950 sur les effets des graisses alimentaires sur les maladies cardiovasculaires.

Cependant, plus de sept pays ont été étudiés et seuls les résultats compatibles avec Ancel Keys, largement financé par le lobby du sucre, ont été divulgués. En Norvège, la population consomme beaucoup de graisses mais les problèmes cardiaques étaient moins présents. Au Chili ,la consommation de lipides est faible mais la population est sujette aux problèmes cardiaques. Les extrêmes disparaissent de ses conclusions…

C’est ainsi que se crée la peur du gras, au profit du sucre et de son industrie.

La pandémie d’obésité a permis de mettre en exergue que le cholestérol n’était pas le problème.

La véritable cause des crises cardiaques est un mode de vie malsain qui empêche leur élimination en altérant les transporteurs du cholestérol.

Ce n’est qu’alors que le cholestérol s’accumule dans les artères.

Quelles sont les causes des maladies cardiovasculaires ?

Intéressons-nous aux plaques d’athérosclérose : elles sont principalement composées de lipides qui se déposent sur les parois des artères et réduisent leur diamètre interne.

Par conséquent, ces plaques d’athérosclérose sont à l’origine de maladies cardiovasculaires, mais elles ne sont pas causées par un excès de cholestérol, mais par :

– L’hypertension artérielle et tout ce qui l’aggrave : tabac, stress, aliments pro-inflammatoires, substances toxiques, surpoids, diabète de type 2, etc.

– le transporteur du cholestérol, qui, une fois oxydé, n’est pas reconnu par les leucocytes. Ce transporteur de cholestérol, appelé LDL (lipoprotéine de basse densité), s’accumule dans les artères.

Que faire alors en pratique ?

1⃣ Prendre conscience que consommer du cholestérol n’est pas un problème.

2️⃣ Analyser son mode de vie, seul(e) ou en se faisant aider.

3️⃣ Différencier le HDL, du LDL et du LDL oxydé. Ils n’ont pas le même impact sur la santé.

4️⃣ Traiter les causes de l’oxydation du LDL : excès de stress endogène et exogène, manque d’antioxydants et de mouvement au quotidien, le tabagisme…

5️⃣ Améliorer son hygiène alimentaire surtout concernant la consommation de sucre et en améliorant la qualité des graisses.

6️⃣ Comprendre que les recommandations médicales changent lentement. La fausse problématique du cholestérol touche des millions de personnes et rapporte des milliards de bénéfices à certaines firmes…!

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Fatigue, sommeil et gestion du poids

Perdre du poids en dormant : rêve ou réalité ?

Ces dernières années, plusieurs recherches scientifiques ont montré qu’un sommeil de qualité est essentiel pour perdre les kilos superflus, pour maigrir. Autrement dit, il est grand temps d’inclure à votre régime minceur, en plus du bonne diététique et de l’exercice physique, un sommeil réparateur! 

1. LES GRAISSES ET LES SUCRES

Le fait de mal dormir, d’avoir du mal à s’endormir, de se réveiller constamment, de ronfler sont des signaux d’alarme qui permettent de détecter des troubles métaboliques tels que les triglycérides et l’hyperglycémie (graisses et sucres) et, par conséquent, l’excès de graisse localisé et l’hypertension.

2. DIABÈTE

La quantité de sommeil a une relation directe avec la régulation de l’insuline. Même quelques nuits de mauvais sommeil peuvent entraîner une résistance à l’insuline et donc, à long terme, vous prédisposer au diabète.

3. STRESS

Le sommeil régule le cortisol, l’hormone du stress. Un sommeil réparateur diminue le taux de cortisol, alors qu’au contraire, si ce taux reste élevé, il entraîne une augmentation de la glycémie, de l’hypertension ainsi que des sautes d’humeur, de l’irritabilité et l’envie de manger. 

4. POIDS EXCESSIF

Insuline, cortisol, comme nous l’avons vu, mais aussi ghréline et leptine.Toutes sont des hormones qui transmettent la sensation de faim et de satiété, et influencent l’appétit et le stockage des graisses.

Une étude a même montré qu’après seulement deux nuits avec seulement 4 heures de sommeil, l’hormone de la faim, ghréline, augmentait de 28 % tandis que l’hormone de la satiété, leptine, diminuait de 18 %.

5. DÉSÉQUILIBRES HORMONAUX

Le sommeil stimule la production de l’hormone de croissance. Pour les enfants, elle est essentielle au développement, tandis que pour les adultes, elle régule la relation entre la masse musculaire, osseuse et graisseuse. Un manque de cette hormone entraîne non seulement un déséquilibre de la masse corporelle, c’est-à-dire qu’elle diminue la masse musculaire et augmente la masse grasse, mais a également des effets négatifs sur l’humeur et la perception de son propre bien-être.

Moins vous dormez, plus vous mangez (et vice versa).

Peut-être est-ce dû à des déséquilibres hormonaux ou au stress, mais ce qui est certain, c’est que ceux qui dorment peu mangent plus. Non seulement le métabolisme ralentit, mais ils ont plus faim et, comme si cela ne suffisait pas, le corps a besoin de plus d’aliments énergétiques, de glucides et de graisses. 

Si le manque de sommeil entraîne des troubles alimentaires et l’obésité, l’inverse est malheureusement également vrai. Les personnes en surpoids sont certainement exposées à des troubles du sommeil tels que l’apnée du sommeil, l’une des principales causes des réveils fréquents qui empêchent un bon repos.

Que pouvez-vous faire pour bénéficier d’un sommeil de qualité ? 

Une alimentation équilibrée et saine aide à bien se reposer. Il est important de prendre des repas légers et digestes, surtout à l’heure du dîner, et si nécessaire de l’anticiper pour avoir le temps d’éliminer les graisses et les calories avant de se coucher. En outre, laisser passer plus de 8 heures entre le dîner et le petit-déjeuner stimule la lipolyse, c’est-à-dire l’élimination des graisses, car cela met l’organisme en réserve et aide alors à brûler les graisses !

Une attention particulière doit être en même temps accordée à tous les aliments qui contiennent de la mélatonine, l’hormone du sommeil qui aide à perdre du poids. Des études ont montré que la mélatonine stimule la production de « graisse beige ».

Les personnes en surpoids ont une dette de graisse beige qui peut, par conséquent, être stimulée par la prise de mélatonine. À noter que la mélatonine peut être incluse dans le régime alimentaire sous la forme d’un complément. Cette hormone est plus efficace lorsqu’elle est prise par le biais d’aliments qui en contiennent naturellement.

Pour finir, retenez que la quantité de sommeil est toujours liée à la qualité du sommeil. Nous pourrions dormir 10 heures d’affilée, mais si nous dormons mal, nous n’en tirerons aucun bénéfice, au contraire… mal dormir est très souvent la cause de nombreux troubles nerveux, alimentaires et aussi cognitifs…

Si cela vous parle et vous intéresse, j’ai créé une formation sur le sujet accompagnée des recettes pour chacun des repas de la journée.

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– nourrir le cerveau correctement afin de favoriser la production de neurotransmetteurs.

– une alimentation anti-inflammatoire

– un équilibre du microbiote intestinal.

Vous recevez également des recettes, des conseils généraux, une liste d’huiles essentielles pour soutenir le sommeil, une respiration guidée….

La formation est accessible 24h/24 à vie

Le tarif préférentiel est temporaire.

Actuellement 70€ et 99€ dès novembre

SLEEP

Stop au comptage des calories !

Êtes-vous de celles qui choisissent un aliment en fonction du nombre de calories ou qui les calculent au quotidien ?

Une calorie est une unité d’énergie qui correspond à quantité de chaleur nécessaire pour élever de 14,5 à 15,5 degrés Celsius, la température d’un gramme d’eau. Point !

Malgré cela, on leur octroie un pouvoir injustifié

Il existe un nombre important de facteurs qui influencent l’absorption d’un aliment ou d’un repas. En mangeant la même chose, 2 personnes n’absorbent pas la même quantité d’énergie. Voici quelques variables:

⁃ le degré de cuisson de l’aliment

⁃ L’intégrité de l’intestin

⁃ Le microbiote

⁃ La qualité des enzymes digestives

⁃ La qualité de mastication

⁃ …

Si d’un point de vue mathématique, 200 calories de chocolat correspondent à 200 calories de chou-fleur, il n’en est rien d’un point de vue physiologique.

Le coût énergétique des 3 macro nutriments n’est pas équivalent.

La digestion des protéines requiert plus d’énergie que celle des glucides et des lipides

Ne choisissez jamais un aliment en fonction de son apport moindre en calories, cela se fera sans nul doute au détriment du plaisir organoleptique.

A terme, on sait que cette vision qui fait abstraction du plaisir sensoriel conduit à des pertes de contrôle suivies elles-mêmes de culpabilité et de baisse d’estime de soi.

Nos signaux de faim et de satiété restent nos meilleurs alliés pour manger selon nos besoins.

Selon moi, la meilleure manière de faire pour sortir de cet engrenage, reste la pratique du jeûne intermittent. le programme de la formation

Si vous souhaitez découvrir et débuter cette pratique incroyablement efficace pour re-paramétrer vos sensations de faim et de satiété, je vous invite à rejoindre la formation « Le jeûne intermittent pour les débutants » Le jeûne intermittent m’intéresse

La formation est interactive et je réponds à vos questions.

Le prix de lancement reste accessible jusqu’au 30 juin 2021 à minuit

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Le manque de temps…

J’ai la croyance que l’avenir appartient à ceux qui s’accordent de plus en plus de temps pour façonner leur vie comme ils le souhaitent.

Lorsque l’on interroge les gens sur les raisons pour lesquelles ils ne réalisent pas leurs rêves, on obtient comme réponse : le manque d’argent et surtout le manque de temps. Et cela résonne comme une des pires excuses.

J’ai également utilisé cette excuse trop souvent. On perçoit le bonheur de manière trop quantitative et insuffisamment qualitative.

La plupart des gens ne semble pas s’accorder le temps suffisant pour vivre. Ils vivent à côté de leur vie, ou pire, il la fuient et se fuient eux-mêmes. Les personnes en fuite n’ont jamais assez de temps pour jouir pleinement de leur bonheur. Parfois elles sont peut-être capables de se donner l’illusion du bonheur, mais elles ne peuvent pas être vraiment heureuses.

Le bonheur jaillit d’une force intérieure que nous avons construite en conscience, étape par étape en y mettant du coeur et la volonté nécessaire.

Personne n’arrive à extorquer le bonheur et il ne se situe pas dans l’impatience. La précipitation alimente la peur et nous déconnecte de nous.

Je pense avoir été par le passé, la personne la plus impatiente du monde.

Maintenant, je me remémore ces conseils reçus dès que nécessaire :

1. Prendre le temps d’identifier dans le corps ce qui se passe en respirant lentement.

2. Prendre le temps de décider seule pour ne plus dépendre du regard d’autrui.

3. Prendre le temps de passer du temps dans le silence.

4. Prendre le temps de célébrer de ce qui est là (résultat, moment, …) avant de commencer la chose suivante.

Finalement avec l’âge, on refuse de gaspiller du temps à des choses qui ne nous plaisent plus ou que l’on a précédemment accepté sans conviction.

Avec cette démarche on peut se rendre compte qu’un morceau de chocolat a un goût très différent si on prend le temps de le garder longtemps en bouche. On peut également se rendre compte qu’un moment de partage simple fait partie des meilleurs moments de vie…

Prenons le temps d’aimer, de partager, d’échanger, de rire, de créer, de nous reposer, de nourrir notre esprit et notre corps…

Si vous êtes une femme, n’hésitez pas à nous rejoindre dans le groupe « les astuces de Delphine et ses copines »

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3 clés pour changer (vos habitudes alimentaires)

Lorsqu’on décide d’opérer des changements alimentaires (et tout changement d’ailleurs) dans notre vie, on fonctionne d’abord avec la motivation. Ce précieux carburant vient rapidement à manquer …on s’auto-flagelle alors en disant manquer de volonté, on accuse autrui ou les conditions inappropriées.

Bien sûr toute réussite demande: discipline, régularité et courage mais il est également primordial de s’assurer un environnement propice.

En effet, celui-ci est souvent plus important que la motivation.

Notre environnement a une influence considérable et mésestimée sur nos changements de comportement.

Voici 3 astuces afin de vous soutenir dans l’installation de nouveaux comportements.

1)Éliminez les tentations visuelles

⁃ Supprimez vos grignotages en rangeant les aliments dans des endroits moins visibles et moins accessibles.

⁃ Épurez vos armoires de cuisine: éviter d’acheter les aliments qui vous tentent. Ayez le minimum pour les enfants éventuellement.

⁃ Ne cuisinez pas des pâtisseries trop fréquemment, cela accentue votre sensation de frustration. Surtout au début des changements.

2) Prenez des décisions une fois pour toute

En effet, si vous remettez chaque décision en question, vous épuiserez rapidement votre volonté.

– Habituez toute la famille à manger dans des assiettes plus petites (et pas que vous !) Cela est utile à tout le monde et favorise la lenteur lors des repas.

– Créez des rituels mouvements : squats aux toilettes, étirements toutes les heures,….

– Mettez votre téléphone en mode avion lors des repas.

– Buvez un verre d’eau avant chaque repas et après chaque passage aux toilettes.

3) Créez un environnement stimulant

Réfléchissez à vos nouvelles habitudes pour qu’elles s’intègrent à votre habitudes déjà présentes ou utilisez la stimulation visuelle.

– si vous souhaitez pratiquer le yoga, le stretching, le pilates plus souvent, laissez votre tapis d’entraînement en vue.

– Disposez des post-it aux endroits de passage, sur le frigo ou dans les armoires/tiroirs pour vous rappeler certaines choses (avec vos propres codes ou pas).

– Placez des gourdes d’eau à divers endroits dans votre maison.

– Coupez des légumes le dimanche pour une partie de la semaine. Laissez-les en vue dans le réfrigérateur.

– Mettez vos vêtements et chaussures de sport face à une porte.

De nombreuses personnes me disent oublier leur vitamine D le soir… Il est facile l’oublier si elle est hors de vue.

Lorsque les signaux qui déclenchent une habitude sont cachés, ils sont faciles à ignorer. Il faut alors les rendre hyper visibles !

Testez, essayez et choisissez les techniques qui seront efficaces pour vous.

Soyez l’architecte de votre environnement pour qu’il soit un déclencheur et non un frein à vos nouvelles habitudes.

Pour plus de motivation quotidienne, rejoignez-nous dans le groupe: Les astuces de Delphine et ses copines.

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Épuisée ? Découragée ?

1er confinement, 2ème confinement, le froid, la neige, le manque de lumière,…

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Épuisement, Démotivation, Déprime, Découragement, Cafard, moral à zéro,…

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Excès alimentaire, alcool, sucre, quantités excessives ,

Prise de poids…. Si cela vous dit quelque chose, il est possible que le prochain coaching vous intéresse.

Énergie & Mindset : 21 jours pour se préparer au printemps. (Du 1er Mars au 21 mars)

Il ne s’agit pas d’un régime !

Pour y participer

✅ Être une femme

✅ Être dans le groupe Facebook (les astuces de Delphine et ses copines)

✅ Être inscrite avant le 27 février 2021

✅ Avoir un objectif santé

✅ Avoir envie que les choses bougent

Si vous souhaitez le programme, envoyez-moi un mail. Je vous l’enverrai rapidement.

L’objectif est de vous redonner de la motivation et augmenter votre énergie en vous donnant des outils pour y arriver.

Le tarif de lancement est de 70 €

Ne tardez pas …

Mon mail: blondel.delphine@gmail.com

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Ptit déj: tu manges ou tu manges pas ?

En nutrition, on entend souvent tout et son contraire. Le petit déjeuner n’échappe pas à cette règle.

Faut-il oui ou non prendre un petit déjeuner ?

⁃ Il y a les « pro petits déjeuners » qui argumentent sur le fait que le matin il faut manger protéiné pour booster notre dopamine

N’oublions pas dès lors, les graisses de qualité en soutient à notre système nerveux, lui-même riche en graisses.

⁃ Et il y a ceux qui sont contre, argumentant que notre corps a besoin de plus de repos pour se régénérer?

Une certitude: VOUS êtes capables de trouver votre vérité.

⁃ Si on n’a pas faim le matin il n’y a aucune raison de se forcer à manger !

⁃ Si on a faim le matin il faut alors manger un vrai petit déjeuner digne de ce nom: pauvre en glucides afin de ne pas solliciter trop notre insuline et riche en protéines et graisses de qualité afin de sécréter suffisamment de dopamine (entre autres). Et bien sûr, dans ce cas, il ne faudra pas avoir un repas du soir trop copieux et tardif.

Il y a eu de nombreuses études sur le sujet et on peut vraiment affirmer que le petit déjeuner à la française avec du sucre, des jus de fruits, la confiture et autres viennoiseries est un vrai poison pour la chimie de notre cerveau et de notre corps.

Quant à l’argument de faire de ce repas, celui LE plus important de la journée, véhiculée encore actuellement par des professionnels de la santé, on sait bien que son origine vient des lobbies des céréales….

Mais méfiez-vous des gourous et autres thérapeutes qui vous imposent de manger tel ou tel aliment ou de ne pas manger lorsque cela va à l’encontre de vos sensations.

Votre énergie stable, votre bonne humeur seront le corollaire que votre alimentation est adaptée à votre physiologie. Nous sommes tous uniques.

L’alimentation vous intéresse ?

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