L’alimentation des enfants atteints de TDA(H)

Même si les dysfonctionnements du cerveau se déterminent dès la grossesse (carence en iode ou en vit.B9 pendant la grossesse est corrélée à des TDA(H) plus importants), l’épigénétique montre que tout peut se corriger par une alimentation et une complémentation adaptées.

On retrouve des carences communes chez ces enfants (et adultes) qui sont proportionnelles à l’intensité des troubles.

Avant de mettre les enfants sous un traitement médicamenteux lourd, la modification de l’alimentation et la correction des carences et subcarences est une priorité.

Ces changements peuvent donner des résultats sur la concentration, les mouvements agités et les apprentissages en quelques semaines.

Cela demande l’adhésion de l’enfant et des parents. L’implication des frères et sœurs est un plus pour une meilleure compliance de l’enfant.

Dans les carences fréquemment mises en exergue par la biologie, on retrouve sans surprise:

la vitamine D3 qui protège, entre autres, de la neuro-inflammation présente dans cette situation.

La vitamine B9 en soutien aux neurotransmetteurs

Le zinc, très abondant dans le cerveau.

⁃ Le magnésium surtout si il y a des troubles anxieux associés

Le fer dont la carence a été une des premières à être pointée du doigt.

Les omega3 qui est la graisse la plus représentée dans notre cerveau.

Pour ne citer que les plus importants.

Attention, il ne s’agit pas de bourrer vos enfants de compléments à l’aveugle.

La première chose à faire est de modifier l’alimentation en fonction du profil initial de l’enfant. Un petit déjeuner contenant des protéines est indispensable.

La santé intestinale est également au centre de l’attention car un état inflammatoire peut avoir des répercussions sur l’activité cérébrale.

Une complémentation en acides aminés précurseurs de neurotransmetteurs peut parfois être utile.

Ensuite, selon les cas, le thérapeute formé en micronutrition, pourra sur base de l’anamnèse et de la prise de sang, proposer une complémentation.

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Le manque de temps…

J’ai la croyance que l’avenir appartient à ceux qui s’accordent de plus en plus de temps pour façonner leur vie comme ils le souhaitent.

Lorsque l’on interroge les gens sur les raisons pour lesquelles ils ne réalisent pas leurs rêves, on obtient comme réponse : le manque d’argent et surtout le manque de temps. Et cela résonne comme une des pires excuses.

J’ai également utilisé cette excuse trop souvent. On perçoit le bonheur de manière trop quantitative et insuffisamment qualitative.

La plupart des gens ne semble pas s’accorder le temps suffisant pour vivre. Ils vivent à côté de leur vie, ou pire, il la fuient et se fuient eux-mêmes. Les personnes en fuite n’ont jamais assez de temps pour jouir pleinement de leur bonheur. Parfois elles sont peut-être capables de se donner l’illusion du bonheur, mais elles ne peuvent pas être vraiment heureuses.

Le bonheur jaillit d’une force intérieure que nous avons construite en conscience, étape par étape en y mettant du coeur et la volonté nécessaire.

Personne n’arrive à extorquer le bonheur et il ne se situe pas dans l’impatience. La précipitation alimente la peur et nous déconnecte de nous.

Je pense avoir été par le passé, la personne la plus impatiente du monde.

Maintenant, je me remémore ces conseils reçus dès que nécessaire :

1. Prendre le temps d’identifier dans le corps ce qui se passe en respirant lentement.

2. Prendre le temps de décider seule pour ne plus dépendre du regard d’autrui.

3. Prendre le temps de passer du temps dans le silence.

4. Prendre le temps de célébrer de ce qui est là (résultat, moment, …) avant de commencer la chose suivante.

Finalement avec l’âge, on refuse de gaspiller du temps à des choses qui ne nous plaisent plus ou que l’on a précédemment accepté sans conviction.

Avec cette démarche on peut se rendre compte qu’un morceau de chocolat a un goût très différent si on prend le temps de le garder longtemps en bouche. On peut également se rendre compte qu’un moment de partage simple fait partie des meilleurs moments de vie…

Prenons le temps d’aimer, de partager, d’échanger, de rire, de créer, de nous reposer, de nourrir notre esprit et notre corps…

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3 clés pour changer (vos habitudes alimentaires)

Lorsqu’on décide d’opérer des changements alimentaires (et tout changement d’ailleurs) dans notre vie, on fonctionne d’abord avec la motivation. Ce précieux carburant vient rapidement à manquer …on s’auto-flagelle alors en disant manquer de volonté, on accuse autrui ou les conditions inappropriées.

Bien sûr toute réussite demande: discipline, régularité et courage mais il est également primordial de s’assurer un environnement propice.

En effet, celui-ci est souvent plus important que la motivation.

Notre environnement a une influence considérable et mésestimée sur nos changements de comportement.

Voici 3 astuces afin de vous soutenir dans l’installation de nouveaux comportements.

1)Éliminez les tentations visuelles

⁃ Supprimez vos grignotages en rangeant les aliments dans des endroits moins visibles et moins accessibles.

⁃ Épurez vos armoires de cuisine: éviter d’acheter les aliments qui vous tentent. Ayez le minimum pour les enfants éventuellement.

⁃ Ne cuisinez pas des pâtisseries trop fréquemment, cela accentue votre sensation de frustration. Surtout au début des changements.

2) Prenez des décisions une fois pour toute

En effet, si vous remettez chaque décision en question, vous épuiserez rapidement votre volonté.

– Habituez toute la famille à manger dans des assiettes plus petites (et pas que vous !) Cela est utile à tout le monde et favorise la lenteur lors des repas.

– Créez des rituels mouvements : squats aux toilettes, étirements toutes les heures,….

– Mettez votre téléphone en mode avion lors des repas.

– Buvez un verre d’eau avant chaque repas et après chaque passage aux toilettes.

3) Créez un environnement stimulant

Réfléchissez à vos nouvelles habitudes pour qu’elles s’intègrent à votre habitudes déjà présentes ou utilisez la stimulation visuelle.

– si vous souhaitez pratiquer le yoga, le stretching, le pilates plus souvent, laissez votre tapis d’entraînement en vue.

– Disposez des post-it aux endroits de passage, sur le frigo ou dans les armoires/tiroirs pour vous rappeler certaines choses (avec vos propres codes ou pas).

– Placez des gourdes d’eau à divers endroits dans votre maison.

– Coupez des légumes le dimanche pour une partie de la semaine. Laissez-les en vue dans le réfrigérateur.

– Mettez vos vêtements et chaussures de sport face à une porte.

De nombreuses personnes me disent oublier leur vitamine D le soir… Il est facile l’oublier si elle est hors de vue.

Lorsque les signaux qui déclenchent une habitude sont cachés, ils sont faciles à ignorer. Il faut alors les rendre hyper visibles !

Testez, essayez et choisissez les techniques qui seront efficaces pour vous.

Soyez l’architecte de votre environnement pour qu’il soit un déclencheur et non un frein à vos nouvelles habitudes.

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11 astuces pour un cerveau en pleine forme

Lors de mes études, j’ai appris que des milliers de neurones mouraient chaque jour…cela a contribué à me stresser et m’a mis une pression pour utiliser au mieux ceux que je possédais…

En 1994 pourtant un certain Joseph Altman a démontré qu’il existait une neurogénèse (= naissance de nouveaux neurones) adulte et non plus exclusivement embryonnaire.

Mais aujourd’hui c’est du BDNF dont je voudrais vous parler

Le facteur neurotrophique dérivé du cerveau ou BDNF est un tonique pour le cerveau, une sorte d’engrais qui augmente les connexions neuronales et stimule même la production de nouveaux neurones. Cette neurogénèse se produit surtout dans l’hippocampe et le cortex pré frontal (deux zones impliquées dans le traitement et le stockage d’informations nouvelles).

Des taux de BDNF élevés, sont associés à de bonnes fonctions cognitives, notre vitesse d’esprit et notre capacité d’apprendre.

Des niveaux bas de BDNF sont retrouvés dans certaines pathologies comme la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et à la dépression.

D’autres études tentent à démontrer qu’une bonne flore intestinale va avoir tendance à augmenter le taux de BDNF.

Selon le professeur Ratey, de l’université de Harvard, le facteur le plus puissant est l’activité physique aérobie.

La restriction des calories, comme le jeûne intermittent a un effet positif ainsi que la consommation d’acides gras oméga3

La méditation permet une augmentation considérable de BDNF ainsi qu’un sommeil profond de qualité.

L’exposition au soleil (mais qui cela surprendra-t’il ?)

Les polyphénols du café, thé vert, chocolat noir et des myrtilles

A l’inverse,

Les hormones de stress, la consommation de sucre, l’isolation sociale, la pollution et l’inflammation systémique diminuent les taux de cet engrais vital à un cerveau en plein forme.

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