Et si mincir commençait par ressentir ?

Ce matin, au cœur d’une conversation sincère et profonde avec une patiente, nous avons exploré ensemble les émotions qu’elle vit actuellement. Ces échanges, authentiques et chargés d’émotion, sont un témoignage puissant de la complexité et de la beauté de l’expérience humaine.

Les émotions, ces vagues intérieures, sont le reflet de notre être. Souvent, nous aspirons à les effacer, à les repousser dans l’ombre de notre esprit, croyant à tort que c’est la voie vers la paix intérieure.

Or, effacer nos émotions, c’est comme effacer une partie de nous-même !

La stabilité émotionnelle n’est pas l’absence d’émotions, mais l’art de les accueillir, de les comprendre. C’est un voyage intérieur où chaque émotion devient un guide, un messager qui nous parle de nos besoins, de nos peurs, de nos joies.

Écouter nos émotions, c’est s’ouvrir à la richesse de notre monde intérieur. C’est apprendre le langage subtil de notre cœur. Chaque sentiment, chaque frémissement est une invitation à la découverte de soi. C’est dans cette écoute attentive que réside la vraie force. Car comprendre ses émotions, c’est se comprendre soi-même. C’est bâtir un pont entre le cœur et l’esprit, où règnent l’équilibre et l’harmonie.

Les émotions ne sont pas nos ennemies. Elles sont les couleurs de notre âme, les nuances de notre existence. Elles nous rendent vivantes, authentiques, uniques. Alors, au lieu de chercher à les effacer, apprenons à les vivre, à les réguler, à les chérir. Car c’est dans leur étreinte que se trouve la véritable sagesse du cœur.

En intégrant cette compréhension profonde des émotions et de leur résonance dans le corps, nous apprenons aussi à transformer notre relation avec la nourriture. Plutôt que de manger pour anesthésier une émotion, pour masquer un inconfort, nous commençons à manger parce que nous en avons envie et parce que cela nous procure du plaisir. Cette approche consciente et attentive nous permet de savourer les aliments, non pas comme un moyen d’échapper à nos sentiments, mais comme une expérience enrichissante et joyeuse en soi.

Ce changement de perspective marque un tournant significatif. Lorsque nous mangeons en pleine présence, en écoutant les signaux de notre corps et en respectant nos émotions, nous échappons au cycle de l’alimentation compulsive. Nous apprenons à reconnaître les vraies faims (qu’elles soient physiques ou émotionnelles) et à y répondre de manière saine. Ainsi, chaque bouchée devient une célébration de l’instant présent, une affirmation de notre choix de prendre soin de nous avec amour et respect.

En somme, cette approche holistique, qui englobe les émotions, le corps et nos habitudes alimentaires, nous guide vers une vie plus équilibrée et épanouie, où manger n’est plus un acte irrépressible pour effacer un inconfort, mais un choix conscient de plaisir et de bien-être.

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Finis ton assiette et reste mince : Le diktat imposé aux femmes

Dans notre société, les femmes sont constamment soumises à des injonctions paradoxales épuisantes, en particulier en ce qui concerne leur poids, leur alimentation et leur silhouette. On leur demande d’afficher une minceur presque irréelle, tout en célébrant la gourmandise et le plaisir de bien manger. Les publicités et les médias sociaux les bombardent de messages contradictoires : elles doivent savourer des repas riches et délicieux, mais en même temps, elles sont pressées de maintenir un corps parfaitement sculpté.

Le culte de la silhouette idéale les pousse vers des régimes restrictifs, mais simultanément, elles sont encouragées à s’accepter telles qu’elles sont. Cette dualité crée un conflit intérieur constant. La pression de paraître toujours en forme, tout en profitant de la vie, est une source de stress et d’anxiété. Chaque bouchée de nourriture devient un choix lourd de conséquences, et chaque variation de poids est scrutée et souvent jugée. Ce raz-le-bol émotionnel est un appel désespéré à la libération de ces attentes contradictoires, à la reconnaissance de la diversité corporelle et à l’acceptation de soi.

En tant que psycho nutritionniste, mon travail va au-delà de la simple gestion du poids ou de l’optimisation alimentaire. J’accompagne les femmes à se libérer de ces injonctions paradoxales qui pèsent lourdement sur elles. Ma mission est de les aider à trouver un équilibre sain et durable, où la nourriture n’est plus une source de stress mais un plaisir et un moyen de prendre soin de soi.

Je les guide depuis 28 ans vers une relation apaisée avec leur corps, en mettant l’accent sur l’écoute de leurs besoins réels plutôt que de se conformer à des idéaux inatteignables. Ensemble, nous travaillons à déconstruire les mythes autour de la « perfection » corporelle, en favorisant une approche bienveillante et personnalisée. Mon objectif est de les voir épanouies et libres de choisir leur propre voie vers le bien-être, loin des contraintes et des jugements extérieurs.

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Plaisirs coupables: La réalité quotidienne des femmes.

Dans un monde où l’image corporelle règne en maître, chaque femme se trouve au cœur d’une lutte intime et émotionnellement chargée. C’est une bataille qui se joue quotidiennement, oscillant entre l’envie de se laisser aller aux plaisirs culinaires et la nécessité de préserver une silhouette conforme aux standards sociétaux.

Imaginez un instant : un plat délicieux devant vous, une tentation presque tangible. C’est le plaisir à l’état pur, une évasion momentanée, un réconfort pour l’âme. Mais à peine ce plaisir est-il savouré qu’un sentiment de culpabilité s’installe. C’est la voix de la discipline, rappelant les normes de beauté strictes et parfois irréalistes qui pèsent sur nos épaules.

Cette voix intérieure est un murmure constant, un rappel des « devrais-je » et des « ne devrais-je pas ». Elle transforme chaque bouchée en un acte chargé de significations, en une décision qui dépasse largement le simple acte de manger. C’est une lutte entre le désir de se faire plaisir et celui de correspondre à un idéal.

Trouver l’équilibre entre ces deux extrêmes est une quête personnelle, un chemin semé d’embûches et de réconciliations. Il ne s’agit pas simplement de choisir entre manger et ne pas manger, mais de naviguer dans les eaux complexes de l’acceptation de soi et de la résistance aux pressions extérieures.

Ce voyage est marqué par la résilience et la vulnérabilité. Chaque femme qui entreprend ce périple se confronte à ses propres démons, tout en cherchant à s’épanouir et à trouver la paix avec elle-même. C’est un récit de force, d’amour-propre et de la découverte que, finalement, le véritable bonheur réside dans l’harmonie entre nos désirs et nos besoins.

En tant que nutritionniste, ma passion réside dans l’accompagnement bienveillant et empathique des femmes sur leur voyage personnel vers la découverte de soi et la sérénité. Avec cœur et dévouement, je m’engage à être votre guide, éclairant le chemin vers un équilibre où vos désirs culinaires et vos aspirations corporelles se rencontrent en harmonie. Ensemble, nous explorerons bien plus que la nutrition et le bien-être physique; nous plongerons dans les profondeurs de l’acceptation et de l’amour de soi, transformant chaque petit pas en une avancée ressentie avec gratitude.

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L’énergie au féminin: la part négligée

Dans chaque femme réside une flamme sacrée, un éclat d’énergie et de lumière, qui habite un sanctuaire nécessitant affection et égards. La nourriture se mélange avec les éléments, et harmonise les énergies vives parcourant son être.

Se nourrir devient pour la femme un geste sacré, bien au-delà de l’apaisement d’une faim corporelle ; c’est une cérémonie qui enrichit son aura, ces ondulations énergétiques qui la drapent, échos de ses expériences, de ses joies et de ses chagrins.

Chaque bouchée est une invitation à retrouver l’harmonie, à se reconnecter avec sa véritable nature.

Le rapport qu’entretient la femme avec la nourriture est imprégné d’une complexité émotionnelle, nourri par les traditions culturelles et familiales. Des ombres peuvent parfois obscurcir son champ énergétique, des voiles de honte et de culpabilité qui influencent ses choix alimentaires et la perception de son corps.

Mais la guérison est à sa portée, lui offrant l’opportunité d’identifier ces barrières, de les accueillir avec douceur et de les transformer en éclats de lumière. En prenant conscience de ses corps subtils, elle fait des choix alimentaires qui résonnent avec elle.

L’acte de se nourrir devient une pratique méditative, un rituel empreint de conscience.

À l’écoute des murmures de son corps, elle interprète les signaux de son énergie et choisit des aliments qui vibrent en accord avec sa fréquence personnelle. Elle comprend que chaque aliment détient une force énergétique qui influence son équilibre intime.

En harmonisant sa relation avec la nourriture, la femme entreprend un parcours de métamorphose profonde. Elle renoue avec le savoir ancestral inscrit dans son corps, rend hommage à la terre qui la sustente et célèbre l’existence avec une gratitude ravivée. Son aura se pare de lumière, révélant l’éclat intérieur de son âme, et elle devient un vecteur de guérison, pour elle-même et pour les autres.

Dans cet équilibre retrouvé, la femme ne se contente pas de vivre : elle rayonne, elle inspire, et chaque pas vers son essence est un coup de tonnerre qui résonne avec la force des éléments, proclamant sa renaissance énergétique au monde.

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Magnésium et IPP: une histoire de désamour

Un sujet dont on parle trop peu et que je rencontre fréquemment dans ma pratique : l’importance de surveiller l’équilibre nutritionnel chez les patients qui prennent des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sur une longue période.

Ces médicaments, essentiels pour traiter divers troubles gastriques, peuvent avoir des conséquences non négligeables sur les niveaux de magnésium dans l’organisme, conduisant à une situation d’hypomagnésémie.

La baisse de la production d’acide gastrique induite par les IPP joue un rôle clé dans la réduction de l’absorption du magnésium, un minéral vital impliqué dans plus de 300 réactions enzymatiques dans le corps. Les études montrent une corrélation entre la prise à long terme d’IPP et une diminution de l’excrétion urinaire de magnésium, ce qui peut être attribué à une absorption intestinale amoindrie.

Le magnésium est moins soluble dans un environnement moins acide, et les IPP, en augmentant le pH gastrique, peuvent donc réduire la disponibilité du magnésium pour l’absorption. De plus, il a été observé des modifications dans le fonctionnement des protéines responsables du transport actif du magnésium.

Par conséquent, il devient impératif de prêter attention à l’alimentation des patients sous IPP. Les légumes à feuilles vertes, les noix, les graines et les céréales complètes sont d’excellentes sources de magnésium. Encourager l’inclusion de ces aliments dans le régime quotidien peut jouer un rôle crucial dans le maintien des niveaux adéquats de magnésium.

En complément, une supplémentation en magnésium pourrait s’avérer nécessaire pour contrer les effets des IPP.

Cela doit être fait en concertation avec un professionnel de santé, pour assurer une gestion optimale de l’apport en magnésium et prévenir les risques d’hypomagnésémie. Prendre ces mesures proactives est essentiel pour maintenir un équilibre nutritionnel et protéger la santé globale des patients sous traitement par IPP à long terme.

Petit rappel pratique : fractionnez vos prises de magnésium pour une meilleure absorption

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Grossophobie: Le poids injuste des préjugés.

Imaginez Clara, une femme brillante et passionnée. Chaque matin, elle choisit de porter des vêtements larges, espérant se fondre dans la foule, évitant les regards. Pourtant, derrière ses yeux tristes, elle détient un doctorat, parle trois langues et a voyagé à travers le monde. Mais la société ne voit que son poids, la réduisant à un stéréotype. Chaque commentaire, chaque regard en coin, chaque rire étouffe un peu plus son éclat.

Dans les tréfonds de notre société, une blessure silencieuse saigne : la grossophobie. Cette discrimination envers les personnes en surpoids ou obèses étreint les âmes, étouffe les rires, et obscurcit les espoirs. Pourquoi? Car dans le regard de certains, un excès de poids équivaut à un déficit de valeur humaine. Les murmures, les jugements sournois peuvent fendre un cœur aussi sûrement qu’une épée.

L’idée toxique que le surpoids est synonyme de paresse ou d’indiscipline est une épine cruellement enfoncée dans le cœur de nombreux individus. Mais chaque personne est un univers, riche de rêves, d’expériences, et de luttes intérieures. Réduire quelqu’un à son apparence est une injustice qui brise des vies.

Mais dans cette nuit sombre brille une lueur d’espoir : la curiosité et l’éducation. Il est temps de plonger profondément dans les histoires des autres, de ressentir leurs douleurs, leurs espoirs et leurs rêves. L’éducation est notre bouclier contre l’ignorance et la curiosité est la clé qui ouvre les portes de la compassion.

Reconnaissons la souffrance que cause la grossophobie. Engageons-nous à écouter, apprendre et agir. Car dans chaque cœur blessé par le poids des préjugés, il y a un esprit vibrant, une étincelle qui mérite d’être célébrée et aimée.

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7 raisons de mettre de l’ananas dans notre corps

L’ananas est bien plus qu’un fruit savoureux et bien plus que le symbole de ma communauté de copines 🍍 . Il est une mine de nutriments essentiels qui peuvent contribuer à une santé optimale. Que ce soit pour son apport en vitamines, en minéraux, pour sa bromélaïne ou encore pour ses fibres, il mérite une place de choix dans notre alimentation. Toutefois, comme pour tous les fruits, il est préférable de le consommer avec modération en raison de sa teneur en fructose.

1. Apport calorique et nutritionnel :

L’ananas est relativement faible en calories. Il contient principalement des glucides, en particulier du fructose, qui lui confère sa douceur.

2. Vitamines et minéraux :

L’ananas est riche en vitamine C, un antioxydant puissant qui contribue à la protection des cellules contre les dommages des radicaux libres. Cette vitamine joue également un rôle crucial dans la formation du collagène, essentiel pour la peau, les cartilages et les os. Outre la vitamine C, l’ananas contient du manganèse, nécessaire à la formation des os et à la régulation du métabolisme des glucides et des lipides.

3. La bromélaïne :

L’un des atouts majeurs de l’ananas est sa teneur en bromélaïne, une enzyme qui facilite la digestion des protéines. Elle est souvent utilisée pour traiter les troubles digestifs et réduire les inflammations.

Vous ne le saviez peut-être pas mais la bromélaïne est capable de décomposer les protéines. C’est pourquoi l’ananas frais est souvent utilisé dans la cuisine pour attendrir la viande, en particulier dans certaines recettes de marinades.

4. Fibres alimentaires :

L’ananas est une bonne source de fibres alimentaires, ce qui favorise la santé intestinale et aide à réguler le transit. Consommer des fibres peut également contribuer à la prévention des maladies cardiaques et à la régulation de la glycémie.

5. Hydratation :

L’ananas est composé à plus de 85 % d’eau. Il aide donc à l’hydratation, essentielle pour le bon fonctionnement de nos organes et la beauté de notre peau.

6. Propriétés diurétiques :

L’ananas peut aider à éliminer l’excès d’eau du corps grâce à ses propriétés diurétiques, ce qui peut être bénéfique pour les personnes souffrant de rétention d’eau.

7. Amélioration de la circulation sanguine :

Les antioxydants et les nutriments présents dans l’ananas peuvent contribuer à la dilatation des vaisseaux sanguins, favorisant ainsi une meilleure circulation sanguine.

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