Manger ses émotions est la nouvelle « norme »?

On aspire toutes à des vies apaisées et plus calmes… L’urgence de ralentir !

Un nombre effarant de femmes se sentent oppressées telle une cocotte minute.

Courir après le temps

Faire le taxi

Faire le ménage, les courses, les repas

….

Une petite trace judéo-chrétienne du « sacrifice » dont on aime à se vanter parfois (avec tout ce que je fais…)

Et puis, on parle de manger ses émotions, de compulsions et autres moments de débordement émotionnel.

Ces moments viennent ajouter une dose de culpabilité à un comportement qui est juste normal au vu des emplois du temps !

Dans ces conditions, les gens expriment qu’ils mangent leurs émotions (l’expression est incorrecte)

Aux stress conscients, on en ajoute une couche ?

⁃ Le stress généré par les bruits qui nous entourent: au travail et à la maison, les enfants qui disposent de nous comme d’une télécommande…

⁃ Les stress inconscients (comme les injonctions encodées depuis l’enfance)

⁃ Le stress physiologique dû aux carences en micro nutriments

⁃ Le stress biochimique dû au manque d’antioxydants

⁃ Le stress épigénétique

Tout cela semble devenir un nouveau paradigme ….

Lucie se plaindra de sa fatigue dès le matin face à ses enfants, le midi en partageant le repas avec ses collègues, à sa cousine par téléphone qui lui dira qu’elle aussi est épuisée… Lucie finira par engloutir un paquet de bonbons devant la télé pour oublier qu’elle est fatiguée et ira se coucher tard se promettant chaque matin que le soir, elle se couchera plus tôt…

Et si on prenait un peu de hauteur? Un peu d’espace ?

Et si on prenait un peu de temps pour des moments de présence à soi ?

Revenir à notre Essence: l’écoute des sensations corporelles.

• La respiration dont on s’est déconnectée: réapprendre à être présente à notre souffle.

• La méditation simple (non vous n’avez pas besoin d’être en position du lotus) face à un paysage

• L’entraînement à ressentir des émotions fortement positives telles que la gratitude, la reconnaissance et l’amour.

• Réduire la liste des choses à faire

• Faire 1 seule chose à la fois (me concernant, l’apprentissage est en cours mais l’effet apaisant est tellement puissant)

Cultiver le calme intérieur …

Je sais combien cela peut réellement changer la façon dont nous appréhendons la vie et la maîtrise de nous. Cette maîtrise nécessaire pour ne plus succomber aux charmes des sirènes que sont le sucre, l’alcool, l’excès de médicaments, le tabac, les excès d’excès 😄

Vous devez trouver ce qui vous convient, mais l’orientation commune est de faire MOINS mais MIEUX.

Le confinement a permis à de nombreuses personnes de prendre des décisions en ce sens. Il faut juste veiller à garder ses engagements. Pour les autres, il n’est pas trop tard, mais agissez avant la vague de burn-out…

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Une réflexion au sujet de « Manger ses émotions est la nouvelle « norme »? »

  1. Cela demande du courage de se créer la vie qu’on veut, celle où justement on peut caser toutes les choses essentielles : le travail bien sûr, les enfants bien sûr, mais aussi et surtout le soin de soi : la détente, le sport, les moments entre amis !

    J’ai expérimenté la vie où on veut être une mère parfaite, une épouse parfaite, une employée parfaite, ça a finit en burn-out doublé d’une dépression … épuisement total … Cela m’a pris 3 ans pour m’en remettre !

    Maintenant, je fais d’autres choix, des choix où mon bien-être est aussi important que celui des enfants et du conjoint … et vous savez quoi … c’est un tel kif !!!

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