Le manque de temps…

J’ai la croyance que l’avenir appartient à ceux qui s’accordent de plus en plus de temps pour façonner leur vie comme ils le souhaitent.

Lorsque l’on interroge les gens sur les raisons pour lesquelles ils ne réalisent pas leurs rêves, on obtient comme réponse : le manque d’argent et surtout le manque de temps. Et cela résonne comme une des pires excuses.

J’ai également utilisé cette excuse trop souvent. On perçoit le bonheur de manière trop quantitative et insuffisamment qualitative.

La plupart des gens ne semble pas s’accorder le temps suffisant pour vivre. Ils vivent à côté de leur vie, ou pire, il la fuient et se fuient eux-mêmes. Les personnes en fuite n’ont jamais assez de temps pour jouir pleinement de leur bonheur. Parfois elles sont peut-être capables de se donner l’illusion du bonheur, mais elles ne peuvent pas être vraiment heureuses.

Le bonheur jaillit d’une force intérieure que nous avons construite en conscience, étape par étape en y mettant du coeur et la volonté nécessaire.

Personne n’arrive à extorquer le bonheur et il ne se situe pas dans l’impatience. La précipitation alimente la peur et nous déconnecte de nous.

Je pense avoir été par le passé, la personne la plus impatiente du monde.

Maintenant, je me remémore ces conseils reçus dès que nécessaire :

1. Prendre le temps d’identifier dans le corps ce qui se passe en respirant lentement.

2. Prendre le temps de décider seule pour ne plus dépendre du regard d’autrui.

3. Prendre le temps de passer du temps dans le silence.

4. Prendre le temps de célébrer de ce qui est là (résultat, moment, …) avant de commencer la chose suivante.

Finalement avec l’âge, on refuse de gaspiller du temps à des choses qui ne nous plaisent plus ou que l’on a précédemment accepté sans conviction.

Avec cette démarche on peut se rendre compte qu’un morceau de chocolat a un goût très différent si on prend le temps de le garder longtemps en bouche. On peut également se rendre compte qu’un moment de partage simple fait partie des meilleurs moments de vie…

Prenons le temps d’aimer, de partager, d’échanger, de rire, de créer, de nous reposer, de nourrir notre esprit et notre corps…

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3 clés pour changer (vos habitudes alimentaires)

Lorsqu’on décide d’opérer des changements alimentaires (et tout changement d’ailleurs) dans notre vie, on fonctionne d’abord avec la motivation. Ce précieux carburant vient rapidement à manquer …on s’auto-flagelle alors en disant manquer de volonté, on accuse autrui ou les conditions inappropriées.

Bien sûr toute réussite demande: discipline, régularité et courage mais il est également primordial de s’assurer un environnement propice.

En effet, celui-ci est souvent plus important que la motivation.

Notre environnement a une influence considérable et mésestimée sur nos changements de comportement.

Voici 3 astuces afin de vous soutenir dans l’installation de nouveaux comportements.

1)Éliminez les tentations visuelles

⁃ Supprimez vos grignotages en rangeant les aliments dans des endroits moins visibles et moins accessibles.

⁃ Épurez vos armoires de cuisine: éviter d’acheter les aliments qui vous tentent. Ayez le minimum pour les enfants éventuellement.

⁃ Ne cuisinez pas des pâtisseries trop fréquemment, cela accentue votre sensation de frustration. Surtout au début des changements.

2) Prenez des décisions une fois pour toute

En effet, si vous remettez chaque décision en question, vous épuiserez rapidement votre volonté.

– Habituez toute la famille à manger dans des assiettes plus petites (et pas que vous !) Cela est utile à tout le monde et favorise la lenteur lors des repas.

– Créez des rituels mouvements : squats aux toilettes, étirements toutes les heures,….

– Mettez votre téléphone en mode avion lors des repas.

– Buvez un verre d’eau avant chaque repas et après chaque passage aux toilettes.

3) Créez un environnement stimulant

Réfléchissez à vos nouvelles habitudes pour qu’elles s’intègrent à votre habitudes déjà présentes ou utilisez la stimulation visuelle.

– si vous souhaitez pratiquer le yoga, le stretching, le pilates plus souvent, laissez votre tapis d’entraînement en vue.

– Disposez des post-it aux endroits de passage, sur le frigo ou dans les armoires/tiroirs pour vous rappeler certaines choses (avec vos propres codes ou pas).

– Placez des gourdes d’eau à divers endroits dans votre maison.

– Coupez des légumes le dimanche pour une partie de la semaine. Laissez-les en vue dans le réfrigérateur.

– Mettez vos vêtements et chaussures de sport face à une porte.

De nombreuses personnes me disent oublier leur vitamine D le soir… Il est facile l’oublier si elle est hors de vue.

Lorsque les signaux qui déclenchent une habitude sont cachés, ils sont faciles à ignorer. Il faut alors les rendre hyper visibles !

Testez, essayez et choisissez les techniques qui seront efficaces pour vous.

Soyez l’architecte de votre environnement pour qu’il soit un déclencheur et non un frein à vos nouvelles habitudes.

Pour plus de motivation quotidienne, rejoignez-nous dans le groupe: Les astuces de Delphine et ses copines.

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Épuisée ? Découragée ?

1er confinement, 2ème confinement, le froid, la neige, le manque de lumière,…

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Épuisement, Démotivation, Déprime, Découragement, Cafard, moral à zéro,…

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Excès alimentaire, alcool, sucre, quantités excessives ,

Prise de poids…. Si cela vous dit quelque chose, il est possible que le prochain coaching vous intéresse.

Énergie & Mindset : 21 jours pour se préparer au printemps. (Du 1er Mars au 21 mars)

Il ne s’agit pas d’un régime !

Pour y participer

✅ Être une femme

✅ Être dans le groupe Facebook (les astuces de Delphine et ses copines)

✅ Être inscrite avant le 27 février 2021

✅ Avoir un objectif santé

✅ Avoir envie que les choses bougent

Si vous souhaitez le programme, envoyez-moi un mail. Je vous l’enverrai rapidement.

L’objectif est de vous redonner de la motivation et augmenter votre énergie en vous donnant des outils pour y arriver.

Le tarif de lancement est de 70 €

Ne tardez pas …

Mon mail: blondel.delphine@gmail.com

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Ptit déj: tu manges ou tu manges pas ?

En nutrition, on entend souvent tout et son contraire. Le petit déjeuner n’échappe pas à cette règle.

Faut-il oui ou non prendre un petit déjeuner ?

⁃ Il y a les « pro petits déjeuners » qui argumentent sur le fait que le matin il faut manger protéiné pour booster notre dopamine

N’oublions pas dès lors, les graisses de qualité en soutient à notre système nerveux, lui-même riche en graisses.

⁃ Et il y a ceux qui sont contre, argumentant que notre corps a besoin de plus de repos pour se régénérer?

Une certitude: VOUS êtes capables de trouver votre vérité.

⁃ Si on n’a pas faim le matin il n’y a aucune raison de se forcer à manger !

⁃ Si on a faim le matin il faut alors manger un vrai petit déjeuner digne de ce nom: pauvre en glucides afin de ne pas solliciter trop notre insuline et riche en protéines et graisses de qualité afin de sécréter suffisamment de dopamine (entre autres). Et bien sûr, dans ce cas, il ne faudra pas avoir un repas du soir trop copieux et tardif.

Il y a eu de nombreuses études sur le sujet et on peut vraiment affirmer que le petit déjeuner à la française avec du sucre, des jus de fruits, la confiture et autres viennoiseries est un vrai poison pour la chimie de notre cerveau et de notre corps.

Quant à l’argument de faire de ce repas, celui LE plus important de la journée, véhiculée encore actuellement par des professionnels de la santé, on sait bien que son origine vient des lobbies des céréales….

Mais méfiez-vous des gourous et autres thérapeutes qui vous imposent de manger tel ou tel aliment ou de ne pas manger lorsque cela va à l’encontre de vos sensations.

Votre énergie stable, votre bonne humeur seront le corollaire que votre alimentation est adaptée à votre physiologie. Nous sommes tous uniques.

L’alimentation vous intéresse ?

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Compulsions? Découvrez le secret du Bliss Point

Vous est-il déjà arrivé de craquer, d’avoir des compulsions pour un aliment ? Et puis de ressentir ensuite un apaisement plus ou moins accompagné de culpabilité ?

La recette pour nous rendre accro à l’alimentation est connue des compagnies agroalimentaires. Il s’agit d’un savant dosage d’un trio gagnant « sucre, graisse et sel ».

Dans la nature, on ne trouve pas d’aliments qui cumulent ces trois éléments. Par contre, les trois réunis font atteindre ce que le Docteur Moskowitz, chercheur et psychophysicien américain nomme « Le BLISS POINT » ou point de félicité en français. C’est un seuil où nous ressentons un bonheur (certes fugace) intense qui nous pousse à réitérer l’expérience et à augmenter notre consommation d’un aliment.

Dans le trio sucre-sel et graisse, chacun joue son rôle

– Le sucre, goût ancré dès le ventre de notre mère, crée un feu d’artifice cérébral en activant les 10 000 papilles gustatives.

– La graisse peut également créer cela d’autant plus qu’elle est sous forme solide (fromage).

– Quant au sel, il ne crée pas d’addiction à proprement parler mais fait partie des condiments cache-misère : conservateur, masque les mauvais goûts, stimule l’envie de sucre par effet de contraste…

Il existe différents types d’addictions : au sucre, au sucre/graisse, au pain, aux pâtes, aux édulcorants, aux fromages,…

En tant que professionnelle de la santé, mon travail consiste aussi à sensibiliser et conscientiser les gens. C’est une fois que l’on a pris conscience de sa dépendance que l’on peut agir. Cela s’appelle un « sevrage » qui provoquera des symptômes de manque que l’on peut minimiser mais pas éviter.

Comment savoir si vous êtes dépendant ?

Le meilleur moyen de savoir si on est dépendant de quelque chose c’est de tester. Il faut se passer de l’aliment/boisson environ 7 jours et voir ce qu’il se passe. Si vous ressentez un manque important et si votre humeur, votre peau, votre moral ou votre sommeil sont affectés.

Une autre technique consiste à s’observer : quels sont les aliments pour lesquels vous ne ressentez pas de satiété ?

Le frein, l’excuse la plus avancée est : oui mais je suis un/une épicurien(ne) et la notion de plaisir ! mais vous devez savoir qu’une addiction a l’apparence d’un plaisir mais n’en n’est pas un !

Sans addiction, le plaisir de manger est nettement supérieur !

Dès janvier 2021, je démarrerai un coaching Libre du sucre (LDS), les candidatures sont ouvertes aux femmes qui souhaitent y participer. Vous serez dès lors, informée en priorité par mail des dates et conditions dès qu’elles seront fixées : Laissez-moi un message par mail (blondel.delphine@gmail.com) et n’oubliez pas de rejoindre mon groupe facebook « Les astuces de Delphine et ses copines ».

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Une erreur à éviter pour atteindre un objectif

Se fixer des objectifs et les atteindre…a priori c’est motivant. J’ai d’ailleurs fonctionné longtemps de cette manière. Mais ce qui est dommage avec cette vision des choses, c’est le peu d’intérêt porté à la relation que l’on a avec nos objectifs.

Elle est si importante, que c’est presque elle seule qui décide de si oui ou non, nous progresserons vers une meilleure version de nous-même.

Longtemps, ma façon de penser fut assez étriquée, binaire et j’imagine ne pas être la seule :

La démarche s’articulait en deux points:

Le premier, vouloir atteindre les objectifs que l’on se fixe, les rêves que l’on a.

Le second, chercher le moyen le plus simple d’y parvenir.

Conséquence de ces deux points ?

Soit on se fixe des objectifs qui nous demandent relativement peu d’effort.

Soit on attend d’avoir une sorte de certitude absolue de pouvoir accomplir cet objectif très ambitieux avant de se lancer.

Résultat : on ne part pas en quête d’objectifs « possibles » mais en quête d’objectifs « probables ».

Honnêtement, c’était quand la dernière fois que vous vous êtes fixé un objectif que vous ne pensiez pas vraiment être capable d’atteindre ? Si l’on pense comme tout le monde, pourquoi se fixer de tels objectifs ?

Il n’y a aucune garantie, se lancer représente presque une perte de temps, non ?

Sauf qu’il me semble qu’on se fourvoie…

Non, le sens premier d’un objectif n’est pas de l’atteindre. Et c’est inhibant de penser cela, précisément parce que cela nous empêche de partir en quête d’objectifs bien plus ambitieux.

Alors si ce qu’on veut rechercher n’est pas d’atteindre à tout prix l’objectif, que faudrait-il faire?

Je vous propose de troquer cette vision contre celle qui vous invite à « devenir le type de personne capable d’atteindre un objectif »

Donc, je me répète :

Le vrai sens d’un objectif n’est pas de l’atteindre, mais de devenir le type de personne qui devient capable de l’atteindre.

Un objectif est simplement une opportunité de développement personnel, un moyen de tester nos capacités, et de devenir une meilleure personne durant le voyage.

La bonne nouvelle ?

Lorsqu’on met son focus sur l’identité, plutôt que sur le résultat final, il n’y a plus d’échec possible. Le seul véritable échec devient le fait de ne pas tout mettre en oeuvre pour progresser et atteindre le sommet.

Ce que vous avez à faire pour réussir, c’est y croire, et tout donner.

Mais une fois de plus, la peur de l’échec n’est plus à craindre…

Le résultat est éphémère, seule la croissance sera pérenne.

Alors, cessons de nous laisser avoir par cette peur de l’objectif impossible.

Tant que nous nous donnons les moyens de progresser, on réussit !

Savoir si l’objectif est atteint ou non, on s’en fiche. C’est la personne que l’on devient qui importe le plus.

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Trop de cholestérol? Mangez des oeufs…

Puis-je manger un œuf tous les jours ?

La peur est souvent présente parce qu’on nous l’a bien transmise !

« Je fais du cholestérol » ….ce à quoi j’ai envie de répondre « heureusement que vous en faites sinon vous ne seriez pas en vie ».

La biologie et la physiologie nous montre que le cholestérol est absolument crucial pour de nombreux systèmes qui conditionnent non seulement la survie des individus mais aussi l’espèce.

Comme pour tout problème de santé, il faut avoir une vision globale concernant plusieurs paramètres comme par exemple

✅ un taux de LDL oxydés (ce sont eux qui sont à la base de la plaque d’athérome)

✅ une hypertension artérielle

✅ une mauvaise alimentation

✅ la prise de pilule….

✅ le tabagisme

Bref je veux vous parler des œufs !

Certes, il y a certaines conditions à privilégier si vous souhaitez manger un œuf/jour.

✅ Si c’est possible, choisissez les œufs des poules de quelqu’un que vous connaissez et qui reçoivent des graines de lin.

✅Privilégiez des œufs bio provenant d’élevage plein air. Je recommande en particulier les œufs issus de filière oméga 3 présentant un meilleur profil lipidique.

✅ si votre taux de « mauvais » cholestérol est haut, il est préférable de consommer l’œuf le matin. En effet, comme le foie fabrique 75% du cholestérol, il réduira sa production.

Le jaune d’œuf est la partie contenant l’ensemble des vitamines, minéraux et antioxydants de l’œuf.

⁃ Choisissez une cuisson qui laissera le jaune coulant, ce qui permettra de conserver un maximum de nutriments.

Contrairement aux idées reçues, consommer des œufs quotidiennement ne favorise pas le développement de pathologies cardiovasculaires. Des études récentes à grande échelle ont montré qu’il n’y avait aucun risque à manger des œufs tous les jours*

À la coque, sur le plat, poché, mollet, cocotte…ces cuissons gardent le jaune bien liquide !

Vous trouverez des recettes partagées dans le groupe Facebook «  Les astuces de Delphine et ses copines »

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Alexander DD, Miller PE, Vargas AJ, Weed DL, Cohen SS. Meta-analysis of Egg Consumption and Risk of Coronary Heart Disease and Stroke. J Am Coll Nutr. 2016 Nov-Dec;35(8):704-716.